La menace est à prendre au sérieux. Puisque l'avenir de la Côte d'Ivoire en dépend. Le Rdr qui veut par tous les moyens, diriger la Côte d'Ivoire, n'est pas un parti comme tout autre. C'est un rassemblement hétéroclite de mafieux qui veut mettre la Côte d'Ivoire en coupes réglées. Le Rdr qui est plus une société secrète n'est pas encore au pouvoir, mais son passage dans un simple gouvernement d'union est catastrophique. Le Rdr montre déjà son visage hideux là où, il devait servir d'exemple de bonne gouvernance. Le passage de Ahmed Bakayoko, le fils spirituel de Ouattara, l'homme qui a inventé la bonne gouvernance, est plus que désastreux aux Ntic. On ne parle pas de son incapacité à gérer ce département. Parce qu'on ne pouvait pas s'attendre à mieux que ça, de la part d'un loubard, qui a passé presque toute sa jeunesse entre coups de poings et autres activismes au service de ses maîtres. Ce qui irrite ici, c'est le pillage organisé au ministère des Ntic. Les bonnes rumeurs abidjanaises rapportent qu'à sa nomination dans ce département, le jour de sa prise de fonction, sa première phrase était de savoir " qui garde l'argent ici là ? " Il n'était donc ministre que pour se servir et remplir les comptes de son maître Ouattara. Et l'argent du contribuable ivoirien, Ahmed Bakayoko en a dilapidé comme il le voulait. Les chiffres donnent le tournis. Juste quelques exemples de sa gestion scandaleuse. Chaque année, il recevait 450 millions du Fonds national des télécommunications, pour une arnaque montée de toutes pièces et appelée renforcement des capacités du ministère. Sans oublier les 300 millions qu'il prend aussi à l'Atci comme frais d'entretien du ministère. On n'oubliera pas les grosses commissions qu'il a perçues sur les licences d'exploitations accordées aux compagnies d'entreprises de cellulaire. Le ministère des Ntic et les opérateurs du secteur ont terriblement souffert de Ahmed Bakayoko. On ne dira pas qu'il est une honte pour le Rdr. Tout le monde étant comme lui là-bas. D'ailleurs, il n'y a que dans ce parti que des personnes comme Ahmed Bakayoko peuvent être ministre. Là-bas, il n'y a de place pour l'éthique, la morale et le patriotisme. Le programme de gouvernement du mentor ne se résume-t-il pas à des promesses intenables de milliards ? Ahmed Bakayoko, son homme de main chargé de sa campagne au niveau de la jeunesse prouve là qu'il n'est pas un exemple pour la jeunesse ivoirienne. D'ailleurs, il ne l'a jamais été vu son passé sulfureux et ses écarts dans le monde très souillé de la nuit abidjanaise. Bref, là n'est pas le problème. Hamback, comme aime bien l'appeler cette nuit abidjanaise, continuera son activisme dans son parti. L'opposition se plaît bien à accuser la Refondation de toutes les dérives, comme un chien qu'elle veut noyer. Après Hamback, Amon Tanoh et Amadou Gon, les Ivoiriens savent désormais où se trouve la mauvaise gestion.
Guéhi Brence
gb08301660@yahoo.fr
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