Abidjan, capitale économique de Côte d’Ivoire, abrite du 29 au 31 mars 2010, l’Assemblée générale constitutive du RIAFPI (Réseau international des agences francophones de promotion des investissements). Une structure qui se veut le creuset de toutes démarches visant à la recherche de mécanisme et de moyens en vue de la promotion de l’investissement. L’ouverture des travaux le lundi 29 mars 2010, a enregistré la participation du Président du conseil économique et social, Laurent Dona Fologo et du nouveau ministre de la Culture et de la Francophonie, Azoumana Moutaye.
«Nous ne sommes pas des aventuriers qui s’engagent dans une aventure sans un lendemain meilleur». Sont entre autres les mots rassurants du Directeur général du CEPCI (Centre de Promotion des investissements en Côte d’Ivoire), M. Silué Daouda. Entant qu’activiste de la naissance du RIAFPI (Réseau international des agences francophones de promotion des investissements), M. Silué Daouda justifie la nécessité pour tous les pays francophones à se mettre ensemble pour penser le développement. Un objectif qui, selon lui, ne pourrait être atteint que si seulement et si l’union prônée autour du RIAFPI se traduit en fait. C’est pourquoi, en appelant à la mobilisation de tous, il a lancé cet appel: «Si l’union fait la force, alors unissons-nous». Le sens du plaidoyer du Directeur général du CEPICI montre clairement que RIAFPI constitue à n’en point douter, un puissant moyen de promotion de l’investissement. Sa naissance a été conditionnée par cinq faits majeurs. Il s’agit entre autres du faible poids des pays francophones dans l’économie mondiale (12% du PIB mondial et 19% des échanges commerciaux internationaux en 2007) qu’il convient de relever. En plus, il y a le fait que les pays francophones ne soient pas attractifs dans de l’investissement direct. Non sans rappeler la faible prise en compte des préoccupations des agences francophones dans les conférences internationales du fait de la barrière linguistique que constitue la pratique de l’anglais. En outre, face à ces entraves, les pays francophones ont eu besoin d’une plateforme de concertation sur les problèmes spécifiques afin d’être attractifs dans l’investissement étranger direct. D’où l’idée de la création du RIAFPI. Lors de la cérémonie inaugurale, le Président du Conseil économique et social, Laurent Dona Fologo n’a pas manqué de saluer l’acte des initiateurs qui ont décidé de penser à la promotion de l’investissement. «Nous vous attendons à bras ouverts pour reprendre le chemin de la prospérité. Notre souhait est de voir tous les investisseurs qui veulent travailler avec nous, venir en Côte d’Ivoire », a indiqué Laurent Dona Fologo, président de l’AG constitutive du RIAFPI. Saluant ainsi la création du RIAFPI, le président du CES a indiqué que ‘’l’heure est venue de resserrer les rangs’’. Une allusion faite aux pays francophones, pour dire que les pays africains doivent s’ouvrir. Un désir que le président Laurent Dona Fologo manifeste dans un environnement où la mondialisation s’impose à tous. Prenant en compte tous ces paramètres, le président du CES a révélé que c’est aux agences de promotion de l’investissement de dire aux autorités les conditions qu’il faut pour assurer les investisseurs pour que le pays se mette en route pour la croissance. En effet, c’était lors de l’assemblée générale des AFRIPANET (Agences de Promotion des investissements en Afrique), en marge de la CAMI (Conférence africaines des ministres de l’Industrie en 2008 à Durban, en Afrique du Sud que, M. Silué Daouda a muri l’idée de la création du RIAFPI. L’idée a été poursuivie en juin 2009 lors de la conférence de la CEDEAO tenue à Bruxelles sur les Commerce et l’Investissement.
Honoré Kouassi
«Nous ne sommes pas des aventuriers qui s’engagent dans une aventure sans un lendemain meilleur». Sont entre autres les mots rassurants du Directeur général du CEPCI (Centre de Promotion des investissements en Côte d’Ivoire), M. Silué Daouda. Entant qu’activiste de la naissance du RIAFPI (Réseau international des agences francophones de promotion des investissements), M. Silué Daouda justifie la nécessité pour tous les pays francophones à se mettre ensemble pour penser le développement. Un objectif qui, selon lui, ne pourrait être atteint que si seulement et si l’union prônée autour du RIAFPI se traduit en fait. C’est pourquoi, en appelant à la mobilisation de tous, il a lancé cet appel: «Si l’union fait la force, alors unissons-nous». Le sens du plaidoyer du Directeur général du CEPICI montre clairement que RIAFPI constitue à n’en point douter, un puissant moyen de promotion de l’investissement. Sa naissance a été conditionnée par cinq faits majeurs. Il s’agit entre autres du faible poids des pays francophones dans l’économie mondiale (12% du PIB mondial et 19% des échanges commerciaux internationaux en 2007) qu’il convient de relever. En plus, il y a le fait que les pays francophones ne soient pas attractifs dans de l’investissement direct. Non sans rappeler la faible prise en compte des préoccupations des agences francophones dans les conférences internationales du fait de la barrière linguistique que constitue la pratique de l’anglais. En outre, face à ces entraves, les pays francophones ont eu besoin d’une plateforme de concertation sur les problèmes spécifiques afin d’être attractifs dans l’investissement étranger direct. D’où l’idée de la création du RIAFPI. Lors de la cérémonie inaugurale, le Président du Conseil économique et social, Laurent Dona Fologo n’a pas manqué de saluer l’acte des initiateurs qui ont décidé de penser à la promotion de l’investissement. «Nous vous attendons à bras ouverts pour reprendre le chemin de la prospérité. Notre souhait est de voir tous les investisseurs qui veulent travailler avec nous, venir en Côte d’Ivoire », a indiqué Laurent Dona Fologo, président de l’AG constitutive du RIAFPI. Saluant ainsi la création du RIAFPI, le président du CES a indiqué que ‘’l’heure est venue de resserrer les rangs’’. Une allusion faite aux pays francophones, pour dire que les pays africains doivent s’ouvrir. Un désir que le président Laurent Dona Fologo manifeste dans un environnement où la mondialisation s’impose à tous. Prenant en compte tous ces paramètres, le président du CES a révélé que c’est aux agences de promotion de l’investissement de dire aux autorités les conditions qu’il faut pour assurer les investisseurs pour que le pays se mette en route pour la croissance. En effet, c’était lors de l’assemblée générale des AFRIPANET (Agences de Promotion des investissements en Afrique), en marge de la CAMI (Conférence africaines des ministres de l’Industrie en 2008 à Durban, en Afrique du Sud que, M. Silué Daouda a muri l’idée de la création du RIAFPI. L’idée a été poursuivie en juin 2009 lors de la conférence de la CEDEAO tenue à Bruxelles sur les Commerce et l’Investissement.
Honoré Kouassi