A l’instar de leurs coreligionnaires du monde entier, les chrétiens de Côte d’Ivoire ont vécu, hier, le chemin de croix. Par des processions ponctuées de quatorze stations, les fidèles ont mimé le calvaire de Jésus.
Des méditations et des prédications accompagnées de chants sacrés. Hier, les chrétiens ivoiriens tout comme ceux du monde entier ont vécu la passion du Christ, depuis sa condamnation à mort jusqu’à sa mise au tombeau. Dans toutes les communes du district d’Abidjan, ces fidèles en grand nombre sont sortis pour revivre la souffrance endurée par « leur sauveur » avant sa mort au travers des processions ponctuées de quatorze stations. Le Christ qui, il y a cinq jours avait été triomphalement accueilli à Jérusalem (dimanche des rameaux) a vécu hier (vendredi saint), le pire supplice avant d’être mis à mort. Mais il ressuscitera demain, jour de la Pâques à la grande joie de tous les chrétiens. Cette résurrection signe de la victoire de la vie sur la mort, est considérée comme le fondement même de la foi chrétienne. Car, comme le disent les saintes écritures, « si le Christ n’était pas ressuscité, vaine serait notre foi ».
Encadré
Des méditations et des prédications accompagnées de chants sacrés. Hier, les chrétiens ivoiriens tout comme ceux du monde entier ont vécu la passion du Christ, depuis sa condamnation à mort jusqu’à sa mise au tombeau. Dans toutes les communes du district d’Abidjan, ces fidèles en grand nombre sont sortis pour revivre la souffrance endurée par « leur sauveur » avant sa mort au travers des processions ponctuées de quatorze stations. Le Christ qui, il y a cinq jours avait été triomphalement accueilli à Jérusalem (dimanche des rameaux) a vécu hier (vendredi saint), le pire supplice avant d’être mis à mort. Mais il ressuscitera demain, jour de la Pâques à la grande joie de tous les chrétiens. Cette résurrection signe de la victoire de la vie sur la mort, est considérée comme le fondement même de la foi chrétienne. Car, comme le disent les saintes écritures, « si le Christ n’était pas ressuscité, vaine serait notre foi ».
Encadré