Initiée par le maire de la commune de Daloa, Me Kossougro Séry Emile Christophe, la première édition des festivités de ‘’Paquinou 2010’’ de Daloa organisées à la place pétanque de la cité, les 3 et 4 avril 2010, a connu un succès populaire avec la participation de la communauté Baoulé.
« Nous sommes heureux d’être avec vous pour célébrer ‘’Paquinou’’ 2010, ici à Daloa. Il est anormal que ‘’Paquinou’’ soit seulement fêtée dans les régions Baoulé alors que Daloa a ses filles et fils Baoulé natifs de Daloa. Ainsi chaque Baoulé de Bouaké, de Didiévi, Botro, Tiébissou et autres habitant ou natif de Daloa doit fêter son ‘’Paquinou’’ sur place à Daloa car cette fête est désormais institutionnalisée. ‘’Paquinou 2010’’ ne sera pas la première et dernière édition, la commune aura, hormis ‘’Paquinou’’ sa foire, son festival, son carnaval et son rallye. Par nos efforts, ‘’Paquinou’’ sera un patrimoine socio-culturel de la Côte d’Ivoire.» Telle a été la brève allocution que le maire de la commune de Daloa, Me Kossougro Séry Emile Christophe a adressée à la communauté Baoulé de sa cité, le samedi 3 avril 2010, lors de la célébration de la première édition de ‘’Paquinou’’. Quant à Lahouré Dackouri Dabet, préfet de région, préfet de Daloa, il a soutenu que l’union fait la force. C’est pourquoi, il dit avoir donné sa caution à l’organisation de ‘’Paquinou’’, parce que cet événement est un élément de développement pour sa circonscription administrative. Pour le porte-parole du chef central des Baoulé à Daloa, Nanan Ahua Boni, c’est grâce à l’accueil des parents Bété que cette fête a été possible. C’est pourquoi, il a dit merci aux autorités politiques, préfectorales et municipales. Après les allocutions, place a été faite aux festivités et à la danse avec les groupes ‘’Akromiabla’’, ‘’Adjoblé’’ et l’artiste Konan Moïse sans oublier le groupe ‘’Soteka’’ qui ont assuré l’ambiance jusqu’au petit matin. Côté religieux, le maire et le préfet de région ont sacrifié à la tradition en allant fortifier leur foi comme tout bon chrétien, assistant ensemble à la veillée de prière à la cathédrale Christ-Roi avant de se rendre aux festivités de ‘’Paquinou’’. Tard dans la nuit, le maire Kossougro et sa délégation ont fait le tour des ‘’maquis’’ pour voir dans quelles conditions les populations s’éclataient.
M. Ouattara, envoyé spécial
« Nous sommes heureux d’être avec vous pour célébrer ‘’Paquinou’’ 2010, ici à Daloa. Il est anormal que ‘’Paquinou’’ soit seulement fêtée dans les régions Baoulé alors que Daloa a ses filles et fils Baoulé natifs de Daloa. Ainsi chaque Baoulé de Bouaké, de Didiévi, Botro, Tiébissou et autres habitant ou natif de Daloa doit fêter son ‘’Paquinou’’ sur place à Daloa car cette fête est désormais institutionnalisée. ‘’Paquinou 2010’’ ne sera pas la première et dernière édition, la commune aura, hormis ‘’Paquinou’’ sa foire, son festival, son carnaval et son rallye. Par nos efforts, ‘’Paquinou’’ sera un patrimoine socio-culturel de la Côte d’Ivoire.» Telle a été la brève allocution que le maire de la commune de Daloa, Me Kossougro Séry Emile Christophe a adressée à la communauté Baoulé de sa cité, le samedi 3 avril 2010, lors de la célébration de la première édition de ‘’Paquinou’’. Quant à Lahouré Dackouri Dabet, préfet de région, préfet de Daloa, il a soutenu que l’union fait la force. C’est pourquoi, il dit avoir donné sa caution à l’organisation de ‘’Paquinou’’, parce que cet événement est un élément de développement pour sa circonscription administrative. Pour le porte-parole du chef central des Baoulé à Daloa, Nanan Ahua Boni, c’est grâce à l’accueil des parents Bété que cette fête a été possible. C’est pourquoi, il a dit merci aux autorités politiques, préfectorales et municipales. Après les allocutions, place a été faite aux festivités et à la danse avec les groupes ‘’Akromiabla’’, ‘’Adjoblé’’ et l’artiste Konan Moïse sans oublier le groupe ‘’Soteka’’ qui ont assuré l’ambiance jusqu’au petit matin. Côté religieux, le maire et le préfet de région ont sacrifié à la tradition en allant fortifier leur foi comme tout bon chrétien, assistant ensemble à la veillée de prière à la cathédrale Christ-Roi avant de se rendre aux festivités de ‘’Paquinou’’. Tard dans la nuit, le maire Kossougro et sa délégation ont fait le tour des ‘’maquis’’ pour voir dans quelles conditions les populations s’éclataient.
M. Ouattara, envoyé spécial