Le président de l’Ung, Stéphane Kipré et ses plus proches collaborateurs ont célébré la fête de pâques le dimanche dernier à Diabo avec les membres de l’Eglise Cma. A cette occasion, il a invité les chrétiens à prendre leur place sur la scène politique.
Stéphane Kipré, président de l’Ung et sa délégation ont pris part au culte du dimanche de pâques, organisé par les chrétien de l’église Cma de Diabo. Cette fête de la résurrection a été l’occasion pour le président de l’Union des nouvelles générations d’inviter les Chrétiens à donner un nouveau visage à la politique par leur mode de vie et par leur engagement. Sur la base de la sainte écriture, il a rappelé ceci : « Quand la bible dit que nous sommes le sel de la terre, cela veut dire que nous devons faire avancer la terre par nos œuvres. Nos mamans sont là, pour le témoigner, c’est quand on met le sel dans la sauce qu’elle devient salée. C’est pour quoi nous qui sommes le sel de la terre, notre implication dans les œuvres d’ici-bas fait avancer la terre ». En conséquence, la politique, selon lui, doit être au service des populations en vue de répondre à leurs besoins par des actes concrets.
Mieux, servir l’œuvre de Dieu, d’où cette définition « la politique, ce ne sont pas les discours, c’est plutôt de donner à manger à nos parents, de refuser que nos mamans se lèvent tôt le matin pour aller chercher de l’eau qui n’est pas potable, de surbvenir aux besoins de l’Eglise. Je dirai, même aux besoins de l’œuvre de Dieu, des mosquées ». Pour le président de l’Ung, cette vision de la politique, c’est-à-dire l’engagement du Chrétien à la politique n’est pas nouvelle et ne sort surtout pas du cadre biblique. Car, selon ses propos, le Seigneur Jésus Christ avait déjà donné le ton par sa mission sur terre. « Lorsque nous regardons tous le parcours de Jésus sur la terre, il a donné à manger à la foule qui le suivait, il a fait des miracles, il a guéri des paralytiques, donc à donné la santé. Le vrai homme politique que nous suivons, c’est le Christ », a-t-il expliqué avant de justifier que c’est pour toutes ces raisons que le Chrétien doit faire la politique. Stéphane Kipré à en outre demandé aux Chrétiens de l’Eglise protestante Cma, la plus importante des Eglises évangéliques de Côte d’Ivoire de s’unir en vue d’aller de l’avant. « Nous sommes les plus nombreux, mais depuis quand les plus nombreux sont-il à la traîne ? Il est temps que l’Eglise soit au contrôle. Il est temps pour nous, d’être à la tête de nos départements, de nos régions, de notre pays afin qu’on puisse rendre gloire à Dieu », a-t-il suggéré. Le président de l’Ung a, par ailleurs demandé aux populations de la zone ex-assiégée en général et en particulier au peuple du centre du pays, d’oublier la crise et de s’engager résolument dans la voie de la reconstruction du pays. En définitive, il leur a demandé de garder la foi parce que Jésus Christ est ressuscité avec toutes les difficultés que ces populations ont connues lors de la crise. « Quelle que soit la situation du pays, nous avançons et je crois que c’est ce que nous, Ivoiriens et particulièrement les membres de l’Eglise Cma essentiellement implantés dans le centre du pays si nous continuons de louer Dieu, c’est par la foi. Car nous sommes les premières victimes de la situation que le pays a connue », a-t-il exhorté. Pour sa part, le pasteur Djè Kouamé, au cours de son message, a révélé que c’est N’Guessan Etienne, délégué départemental de Diabo, secrétaire général adjoint de l’Ung, qui a doté le groupe musical de l’Eglise d’équipement musicaux. Et que, par reconnaissance à ses actions, l’Eglise a formé un groupe de prière pour soutenir ses actions politiques afin que Dieu le positionne selon son souhait pour les prochaines élections. Il a par ailleurs indiqué que cette Eglise qui fait plus de 4 millions de membres dont le grand-père (Pasteur André N’Guessan) du président de l’Ung a été l’un des précurseurs, se doit de soutenir les actions de cette formation politique.
Konan Julien (envoyé spécial)
Stéphane Kipré, président de l’Ung et sa délégation ont pris part au culte du dimanche de pâques, organisé par les chrétien de l’église Cma de Diabo. Cette fête de la résurrection a été l’occasion pour le président de l’Union des nouvelles générations d’inviter les Chrétiens à donner un nouveau visage à la politique par leur mode de vie et par leur engagement. Sur la base de la sainte écriture, il a rappelé ceci : « Quand la bible dit que nous sommes le sel de la terre, cela veut dire que nous devons faire avancer la terre par nos œuvres. Nos mamans sont là, pour le témoigner, c’est quand on met le sel dans la sauce qu’elle devient salée. C’est pour quoi nous qui sommes le sel de la terre, notre implication dans les œuvres d’ici-bas fait avancer la terre ». En conséquence, la politique, selon lui, doit être au service des populations en vue de répondre à leurs besoins par des actes concrets.
Mieux, servir l’œuvre de Dieu, d’où cette définition « la politique, ce ne sont pas les discours, c’est plutôt de donner à manger à nos parents, de refuser que nos mamans se lèvent tôt le matin pour aller chercher de l’eau qui n’est pas potable, de surbvenir aux besoins de l’Eglise. Je dirai, même aux besoins de l’œuvre de Dieu, des mosquées ». Pour le président de l’Ung, cette vision de la politique, c’est-à-dire l’engagement du Chrétien à la politique n’est pas nouvelle et ne sort surtout pas du cadre biblique. Car, selon ses propos, le Seigneur Jésus Christ avait déjà donné le ton par sa mission sur terre. « Lorsque nous regardons tous le parcours de Jésus sur la terre, il a donné à manger à la foule qui le suivait, il a fait des miracles, il a guéri des paralytiques, donc à donné la santé. Le vrai homme politique que nous suivons, c’est le Christ », a-t-il expliqué avant de justifier que c’est pour toutes ces raisons que le Chrétien doit faire la politique. Stéphane Kipré à en outre demandé aux Chrétiens de l’Eglise protestante Cma, la plus importante des Eglises évangéliques de Côte d’Ivoire de s’unir en vue d’aller de l’avant. « Nous sommes les plus nombreux, mais depuis quand les plus nombreux sont-il à la traîne ? Il est temps que l’Eglise soit au contrôle. Il est temps pour nous, d’être à la tête de nos départements, de nos régions, de notre pays afin qu’on puisse rendre gloire à Dieu », a-t-il suggéré. Le président de l’Ung a, par ailleurs demandé aux populations de la zone ex-assiégée en général et en particulier au peuple du centre du pays, d’oublier la crise et de s’engager résolument dans la voie de la reconstruction du pays. En définitive, il leur a demandé de garder la foi parce que Jésus Christ est ressuscité avec toutes les difficultés que ces populations ont connues lors de la crise. « Quelle que soit la situation du pays, nous avançons et je crois que c’est ce que nous, Ivoiriens et particulièrement les membres de l’Eglise Cma essentiellement implantés dans le centre du pays si nous continuons de louer Dieu, c’est par la foi. Car nous sommes les premières victimes de la situation que le pays a connue », a-t-il exhorté. Pour sa part, le pasteur Djè Kouamé, au cours de son message, a révélé que c’est N’Guessan Etienne, délégué départemental de Diabo, secrétaire général adjoint de l’Ung, qui a doté le groupe musical de l’Eglise d’équipement musicaux. Et que, par reconnaissance à ses actions, l’Eglise a formé un groupe de prière pour soutenir ses actions politiques afin que Dieu le positionne selon son souhait pour les prochaines élections. Il a par ailleurs indiqué que cette Eglise qui fait plus de 4 millions de membres dont le grand-père (Pasteur André N’Guessan) du président de l’Ung a été l’un des précurseurs, se doit de soutenir les actions de cette formation politique.
Konan Julien (envoyé spécial)