Découvertes sensorielles, coordination des mouvements, développement psychoaffectif… les activités du type « bébés nageurs » contribuent sans conteste, à l’éveil des tout-petits. Patauger avec Papa et Maman permet aussi de se familiariser avec le milieu aquatique, mais est-ce vraiment sans danger ? Oui, sous réserve de quelques précautions.
Jusqu’à 9 mois, la séance ne devra pas excéder 20 minutes. Ce qui n’est déjà pas si mal, compte tenu de l’attention qu’il est nécessaire de mobiliser. Vous pourrez ensuite allonger progressivement les séances, sans jamais dépasser 45 minutes.
Selon deux études publiées en 2007, l’exposition à de fortes concentrations de chlore augmenterait la sensibilité aux allergènes aériens, favorisant une hyperréactivité bronchique. Pour le Dr Fabienne Rancé, pneumo-pédiatre à l’Hôpital des Enfants de Toulouse ce n’est pas tant le chlore qui est à craindre… La piscine étant un lieu de promiscuité, elle peut favoriser les bronchiolites. Et le risque de crise asthmatique est quatre fois plus important chez les enfants qui ont eu une bronchiolite.
Si la chlorine est employée pour désinfecter l’eau, les piscines restent propices à la circulation de certains virus. Chez les adeptes réguliers, on observe ainsi plus volontiers des verrues -qui se développent volontiers en terrain chaud et humide - et des molluscums, qui sont de petites excroissances de peau très contagieuses, mais sans gravité.
Le chlore est irritant pour la peau de Bébé. Pensez donc à le protéger avec une crème barrière, qui formera un film invisible à la surface de l’épiderme. C’est même absolument indispensable si votre enfant est sujet à l’eczéma. Différents produits hydrophobes sont disponibles, utilisables aussi bien pour les bains de mer qu’en piscine. Il s’agit notamment d’Exomega® de Ducray Aderma, et d’Antihydro® de Sorifa. Après le bain et un passage sous la douche, essuyez bien Bébé. Badigeonnez ensuite tout son corps avec une crème hydratante, pour éviter l’apparition de rougeurs.
www.destinationsante.com
Jusqu’à 9 mois, la séance ne devra pas excéder 20 minutes. Ce qui n’est déjà pas si mal, compte tenu de l’attention qu’il est nécessaire de mobiliser. Vous pourrez ensuite allonger progressivement les séances, sans jamais dépasser 45 minutes.
Selon deux études publiées en 2007, l’exposition à de fortes concentrations de chlore augmenterait la sensibilité aux allergènes aériens, favorisant une hyperréactivité bronchique. Pour le Dr Fabienne Rancé, pneumo-pédiatre à l’Hôpital des Enfants de Toulouse ce n’est pas tant le chlore qui est à craindre… La piscine étant un lieu de promiscuité, elle peut favoriser les bronchiolites. Et le risque de crise asthmatique est quatre fois plus important chez les enfants qui ont eu une bronchiolite.
Si la chlorine est employée pour désinfecter l’eau, les piscines restent propices à la circulation de certains virus. Chez les adeptes réguliers, on observe ainsi plus volontiers des verrues -qui se développent volontiers en terrain chaud et humide - et des molluscums, qui sont de petites excroissances de peau très contagieuses, mais sans gravité.
Le chlore est irritant pour la peau de Bébé. Pensez donc à le protéger avec une crème barrière, qui formera un film invisible à la surface de l’épiderme. C’est même absolument indispensable si votre enfant est sujet à l’eczéma. Différents produits hydrophobes sont disponibles, utilisables aussi bien pour les bains de mer qu’en piscine. Il s’agit notamment d’Exomega® de Ducray Aderma, et d’Antihydro® de Sorifa. Après le bain et un passage sous la douche, essuyez bien Bébé. Badigeonnez ensuite tout son corps avec une crème hydratante, pour éviter l’apparition de rougeurs.
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