Invité dimanche à assister à la rencontre-bilan de l'année 2009 du Rassemblement des jeunes républicains (Rjr), Karamoko Yayoro, le président national du Rjr, a fait part de la volonté de son parti de se « battre pour arracher l'élection ».
Joindre l'utile à l'agréable. C'est le souci qui anime, depuis quatre ans, les responsables du Rassemblement des jeunes républicains (Rjr) de Port-Bouët qui font le bilan annuel de leurs activités autour d'un repas. Dimanche, la tradition a été respectée avec ce qu'ils ont dénommé une ''Journée gastronomique en détente''. Le président national du Rjr, Karamoko Yayoro, en a profité pour réaffirmer le souhait de son parti d'avoir la présidentielle dans de brefs délais. « Nous allons nous battre pour arracher l'élection », a-t-il prévenu avant d'expliquer que, désormais, deux camps « s'affrontent » en Côte d'Ivoire. D'un côté, ceux qui luttent pour la démocratie et qui aiment la Côte d'Ivoire : « ceux-là veulent les élections ». Et, de l'autre, « ceux qui n'aiment pas les élections. Ils n'aiment pas la Côte d'Ivoire. Ils ne pensent qu'à leurs ventres ». Karamoko Yayoro a invité les jeunes à « choisir leur camp ». De l'avis de l'intervenant, ceux-ci doivent assurer leur rôle historique qui est de faire de la Côte d'Ivoire, un pays démocratique. « Nous avons décidé que la jeunesse joue son rôle historique. Celui de lutter pour la démocratie », a-t-il exhorté avant de rappeler aux militants, la tenue, le 15 mai prochain, d'une « gigantesque et grande marche pour la libération de la Côte d'Ivoire ». Ce rendez-vous, selon Karamoko Yayoro, a également pour objectif de réclamer la liste électorale définitive et une date précise pour l'élection présidentielle. « Si nous voulons que de telles rencontres se multiplient, il nous faut être dans une Côte d'Ivoire libre où chaque Ivoirien est égal à l'autre. C'est ce combat que nous avons décidé de mener », a-t-il poursuivi tout en invitant l'assistance à participer massivement au rassemblement de mai. L'adjoint d'Hamed Bakayoko à la direction de campagne d'Alassane Ouattara chargée de la jeunesse, a salué la maturité politique des jeunes. Il leur a demandé de travailler et de lire afin d'acquérir la culture nécessaire pour assurer la relève.
Le responsable local du Rjr, Tuo Frédéric, s'est réjoui d'avoir permis, au cours de l'année 2009, l'adhésion de plusieurs personnes au Rassemblement des républicains (Rdr). Il projette, pour cette année, de donner un dynamisme plus grand à ses actions. Touré Losséni, secrétaire départemental du Rdr, a recommandé aux jeunes d'être plus présents sur le terrain politique. « Les jeunes doivent faire un mano à mano avec les électeurs. Ils doivent faire du porte-à-porte», a-t-il conseillé. Et d'attirer leur attention sur leur rôle dans l'accession de l'ex-fonctionnaire du Fonds monétaire international (Fmi) à la magistrature suprême. « Vous avez des responsabilités. Vous devez les assumer. Vous n'aurez pas d'excuse si Alassane Ouattara n'est pas élu. Car, en ce moment, votre avenir sera entre parenthèses », a-t-il insisté.
Bamba K. Inza (stagiaire)
Joindre l'utile à l'agréable. C'est le souci qui anime, depuis quatre ans, les responsables du Rassemblement des jeunes républicains (Rjr) de Port-Bouët qui font le bilan annuel de leurs activités autour d'un repas. Dimanche, la tradition a été respectée avec ce qu'ils ont dénommé une ''Journée gastronomique en détente''. Le président national du Rjr, Karamoko Yayoro, en a profité pour réaffirmer le souhait de son parti d'avoir la présidentielle dans de brefs délais. « Nous allons nous battre pour arracher l'élection », a-t-il prévenu avant d'expliquer que, désormais, deux camps « s'affrontent » en Côte d'Ivoire. D'un côté, ceux qui luttent pour la démocratie et qui aiment la Côte d'Ivoire : « ceux-là veulent les élections ». Et, de l'autre, « ceux qui n'aiment pas les élections. Ils n'aiment pas la Côte d'Ivoire. Ils ne pensent qu'à leurs ventres ». Karamoko Yayoro a invité les jeunes à « choisir leur camp ». De l'avis de l'intervenant, ceux-ci doivent assurer leur rôle historique qui est de faire de la Côte d'Ivoire, un pays démocratique. « Nous avons décidé que la jeunesse joue son rôle historique. Celui de lutter pour la démocratie », a-t-il exhorté avant de rappeler aux militants, la tenue, le 15 mai prochain, d'une « gigantesque et grande marche pour la libération de la Côte d'Ivoire ». Ce rendez-vous, selon Karamoko Yayoro, a également pour objectif de réclamer la liste électorale définitive et une date précise pour l'élection présidentielle. « Si nous voulons que de telles rencontres se multiplient, il nous faut être dans une Côte d'Ivoire libre où chaque Ivoirien est égal à l'autre. C'est ce combat que nous avons décidé de mener », a-t-il poursuivi tout en invitant l'assistance à participer massivement au rassemblement de mai. L'adjoint d'Hamed Bakayoko à la direction de campagne d'Alassane Ouattara chargée de la jeunesse, a salué la maturité politique des jeunes. Il leur a demandé de travailler et de lire afin d'acquérir la culture nécessaire pour assurer la relève.
Le responsable local du Rjr, Tuo Frédéric, s'est réjoui d'avoir permis, au cours de l'année 2009, l'adhésion de plusieurs personnes au Rassemblement des républicains (Rdr). Il projette, pour cette année, de donner un dynamisme plus grand à ses actions. Touré Losséni, secrétaire départemental du Rdr, a recommandé aux jeunes d'être plus présents sur le terrain politique. « Les jeunes doivent faire un mano à mano avec les électeurs. Ils doivent faire du porte-à-porte», a-t-il conseillé. Et d'attirer leur attention sur leur rôle dans l'accession de l'ex-fonctionnaire du Fonds monétaire international (Fmi) à la magistrature suprême. « Vous avez des responsabilités. Vous devez les assumer. Vous n'aurez pas d'excuse si Alassane Ouattara n'est pas élu. Car, en ce moment, votre avenir sera entre parenthèses », a-t-il insisté.
Bamba K. Inza (stagiaire)