Avant de quitter le sol américain le 6 avril dernier, la Première dame Simone Ehivet Gbagbo a fait un aller-retour le samedi 3 avril sur New York City, la capitale économique des Etats-Unis. Objectif de ce voyage éclair: faire des achats dans les plus grands magasins de laplace.
Lebanco.net a suivi les traces de la Première dame dans les grandes vitrines de la capitale économique des Etats-Unis. En effet, c’est au 611 5th Avenue New York, NY à la grande surface Saks Fith Avenue que la délégation princière a fait un malheur à tel point que la caissière d’origine dominicaine a confié à des proches qu’en sept ans de carrière, elle n’a jamais vu autant de folies. Il faut préciser que le Saks Fith Avenue a été fondé en 1924 et est particulièrement populaire auprès des femmes de la haute société new yorkaise désirant créer la différence vestimentaire. A Abidjan, on dirait des femmes «boucantières». Prêt-à-porter de luxe, sacs à main, accessoires, bijoux, produis de beauté, sont entre autres, les produits qui sont vendus dans ce magasin haut de gamme.
Par ailleurs, avant de prendre congé pour ses hôtes d’une journée pour sa base du Maryland, Simone Gbagbo a remis à chacun des employés de la résidence de Son Excellence Alcide Djédjé et autres porteurs, le pourboire de 1000 dollars soit environ 500.000 FCFA.
Générosité à double vitesse
Nos sources révèlent qu’une fois retournée à Washington DC, Simone Gbagbo a eu droit à un compte rendu détaillé de la part de sa fille, Marie-Antoinette Singleton, qui n’est autre que le vice-consul de l`Ambassade. Cette dernière a relevé les peaux de banane qu’elle reçoit de la majorité des employés depuis sa prise de fonction, il y a de cela un an. Elle a estimé que ces intrigues sont difficiles à digérer par elle, en dépit des diligences constantes du chef de mission, Charles Yao Koffi. Le représentant de l’Etat ivoirien à Washington est en effet obligé de monter au créneau et de menacer lors des réunions hebdomadaires. Sans doute, du fait de ces rapports conflictuels entre des employés de la chancellerie et le vice-consul, sa fille, notre bien aimée Première dame, a remis le jour de son départ pour Abidjan, la somme de 2130 dollars à répartir entre trente (30) employés de la chancellerie. La division euclidienne donne 71 dollars par employé. Certains employés ont, dans un premier temps poliment refusé le don, avant de se résoudre à l’accepter, après avoir subi des pressions.
Si à la chancellerie, tous les employés reconnaissent à l’ambassadeur des grandes qualités de «coupeur de routes» comme ce fut le cas lors du dernier voyage du Président Laurent Gbagbo où l’enveloppe des pourboires s’est évaporée comme une pilule de savon, tel ne semble pas être le cas, cette fois-ci. Nous pouvons affirmer, sans risque de nous tromper que ce «butin» était trop maigre pour qu’il «coupe» la Mass avenue.
La thèse la plus plausible, celle qui circule dans les couloirs de la chancellerie, c’est que Mme Gbagbo était fâchée de cette eau aux requins qu’est notre chancellerie à Washington DC.
(Source lebanco.net. )
Lebanco.net a suivi les traces de la Première dame dans les grandes vitrines de la capitale économique des Etats-Unis. En effet, c’est au 611 5th Avenue New York, NY à la grande surface Saks Fith Avenue que la délégation princière a fait un malheur à tel point que la caissière d’origine dominicaine a confié à des proches qu’en sept ans de carrière, elle n’a jamais vu autant de folies. Il faut préciser que le Saks Fith Avenue a été fondé en 1924 et est particulièrement populaire auprès des femmes de la haute société new yorkaise désirant créer la différence vestimentaire. A Abidjan, on dirait des femmes «boucantières». Prêt-à-porter de luxe, sacs à main, accessoires, bijoux, produis de beauté, sont entre autres, les produits qui sont vendus dans ce magasin haut de gamme.
Par ailleurs, avant de prendre congé pour ses hôtes d’une journée pour sa base du Maryland, Simone Gbagbo a remis à chacun des employés de la résidence de Son Excellence Alcide Djédjé et autres porteurs, le pourboire de 1000 dollars soit environ 500.000 FCFA.
Générosité à double vitesse
Nos sources révèlent qu’une fois retournée à Washington DC, Simone Gbagbo a eu droit à un compte rendu détaillé de la part de sa fille, Marie-Antoinette Singleton, qui n’est autre que le vice-consul de l`Ambassade. Cette dernière a relevé les peaux de banane qu’elle reçoit de la majorité des employés depuis sa prise de fonction, il y a de cela un an. Elle a estimé que ces intrigues sont difficiles à digérer par elle, en dépit des diligences constantes du chef de mission, Charles Yao Koffi. Le représentant de l’Etat ivoirien à Washington est en effet obligé de monter au créneau et de menacer lors des réunions hebdomadaires. Sans doute, du fait de ces rapports conflictuels entre des employés de la chancellerie et le vice-consul, sa fille, notre bien aimée Première dame, a remis le jour de son départ pour Abidjan, la somme de 2130 dollars à répartir entre trente (30) employés de la chancellerie. La division euclidienne donne 71 dollars par employé. Certains employés ont, dans un premier temps poliment refusé le don, avant de se résoudre à l’accepter, après avoir subi des pressions.
Si à la chancellerie, tous les employés reconnaissent à l’ambassadeur des grandes qualités de «coupeur de routes» comme ce fut le cas lors du dernier voyage du Président Laurent Gbagbo où l’enveloppe des pourboires s’est évaporée comme une pilule de savon, tel ne semble pas être le cas, cette fois-ci. Nous pouvons affirmer, sans risque de nous tromper que ce «butin» était trop maigre pour qu’il «coupe» la Mass avenue.
La thèse la plus plausible, celle qui circule dans les couloirs de la chancellerie, c’est que Mme Gbagbo était fâchée de cette eau aux requins qu’est notre chancellerie à Washington DC.
(Source lebanco.net. )