Dans une adresse aux élèves et étudiants de Côte d’Ivoire, Alain Zagol Durand, qui dispute le Secrétaire général de la Fesci( Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire) à Mian Augustin, fait de troublantes révélations sur cette organisation et les maux qui minent l’école ivoirienne. « Originellement prisée par la gent estudiantine et scolaire, la FESCI fût créée pour la défense des droits frustrés des syndiqués qui étaient très proches et impliqués dans les actions et décisions y affairant », rappelle t-il. Pour lui, le bilan-constat est amer avec son corollaire de sentiments Baudelairiens : spleen, désillusion, désintérêt le plus total surtout une aversion manifestée à l’encontre des acteurs contemporains du mouvement.
« Notre scrutation objective de la situation nous amène à cerner l’une des principales raisons tributaires de la volonté manifeste d’un certain Kacou Brou alias KB, Sous-Directeur de la Garde Côtière à la Direction Générale des Affaires Maritimes de caporaliser la structure, dans le souci de préserver ses acquis dans les résidences universitaires et écoles de Côte d’Ivoire », accuse ouvertement Zagol. Avant d’ajouter : « S’autoproclamant parrain de la FESCI, ce sinistre individu qui n’a jamais occupé le moindre poste de responsabilité au sein de la structure, a néanmoins compris que les franchises universitaires pouvaient lui assurer une couverture, une impunité pour ses pratiques mafieuses ». Lesquelles, poursuit Zagol, sont : expropriation des chambres aux ayant-droit (2800 lits), extorsions de fonds sur les bourses des laborieux élèves et étudiants, instauration des frais d’inscription excessifs (inscriptions pédagogiques dans les universités dans les lycées, collèges et grandes écoles dont les perdiems lui sont reversés grâce aux chantages et actes d’intimidation exercés sur les chefs d’Etablissements), dépravation des mœurs au « MARE NIGHT-CLUB » à la Cité rouge-Cocody St-Jean dont il est le propriétaire, où les lundis, sont organisées des soirées de strip-tease qui aboutissent à des partouzes, piraterie artistique et duplication des œuvres de l’esprit dont il perçoit les ristournes, atteinte à l’intégrité des étudiants handicapés physiques sur les résidences universitaires.
Selon Zagol, les mensonges du « fanfaron » de KB, qui fait croire qu’il a le soutien indéfectible du Front Populaire Ivoirien (FPI) et de Blé Goudé, Directeur National de Campagne chargé de la Jeunesse du Candidat de la majorité Présidentielle Laurent Gbagbo dans sa sale besogne de détruire l’école Ivoirienne, révoltent les élèves et étudiants. Pour lui, il faut le lessivage du système socio-éducatif qui passe par « l’action d’envergure du débarras de cette vermine de KB qui constitue à n’en point douter la gangrène du milieu universitaire et scolaire ».
« Par la faute de cet individu aux idées lugubres, la FESCI manque de démocratie en interne. Il est rare de voir un Secrétaire Général (SG) fruit ou émanation réelle de l’expression de la volonté des élèves et étudiants », tempête le SG de la Fesci « made in Yamoussoukro ». Ensuite, il « descend » son rival Mian Augustin, qui, à l’en croire, a desservi la FESCI, car n’ayant rien fait pour les élèves et étudiants de Côte d’Ivoire en deux (02) ans de mandat. « Il a plutôt livré la FESCI corps et âme à KB qui en a abusé. Là doit s’arrêter le règne sans partage de KB qui, telle une sangsue profite de la FESCI tout en œuvrant à sa disparition », martèle Zagol. C’est pourquoi, il estime qu’il faut donc élire des personnes courageuses et crédibles, soucieuses du présent et de l’avenir des élèves et étudiant (e)s. Cela permettra, à ses yeux, d’en finir avec la violence, les rackets et extorsions de fonds. Mieux, Zagol plaide pour l’instauration d’une vraie démocratie au sein de la FESCI garante d’une élite nationale. C’est pourquoi, il exhorte les décideurs afin que la communauté estudiantine et scolaire soit lessivée de cette gangrène. « Nous demandons aussi à nos camarades militants de la liberté et de la démocratie à se tenir prêts à faire barrage par tous les moyens possibles aux sataniques manœuvres de KB et de ses sbires, car l’école a de la valeur à nos yeux ainsi aucun sacrifice n’est trop grand pour la sauver », lance t-il, en invitant ses camarades étudiants à « refuser le package bestial qu’on leur inflige dans des chambres alors qu’on en met en location à la pelle ». A ceux-ci, il demande de se munir d’intrépidité et d’abnégation. « Tenez-vous prêts car le jour de la libération de notre syndicat est arrivé. L’horizon est lumineux, les derniers pans de l’ombre de la nuit s’étiolent à jamais… », conclut-il, avec une pointe d’espoir. YS
« Notre scrutation objective de la situation nous amène à cerner l’une des principales raisons tributaires de la volonté manifeste d’un certain Kacou Brou alias KB, Sous-Directeur de la Garde Côtière à la Direction Générale des Affaires Maritimes de caporaliser la structure, dans le souci de préserver ses acquis dans les résidences universitaires et écoles de Côte d’Ivoire », accuse ouvertement Zagol. Avant d’ajouter : « S’autoproclamant parrain de la FESCI, ce sinistre individu qui n’a jamais occupé le moindre poste de responsabilité au sein de la structure, a néanmoins compris que les franchises universitaires pouvaient lui assurer une couverture, une impunité pour ses pratiques mafieuses ». Lesquelles, poursuit Zagol, sont : expropriation des chambres aux ayant-droit (2800 lits), extorsions de fonds sur les bourses des laborieux élèves et étudiants, instauration des frais d’inscription excessifs (inscriptions pédagogiques dans les universités dans les lycées, collèges et grandes écoles dont les perdiems lui sont reversés grâce aux chantages et actes d’intimidation exercés sur les chefs d’Etablissements), dépravation des mœurs au « MARE NIGHT-CLUB » à la Cité rouge-Cocody St-Jean dont il est le propriétaire, où les lundis, sont organisées des soirées de strip-tease qui aboutissent à des partouzes, piraterie artistique et duplication des œuvres de l’esprit dont il perçoit les ristournes, atteinte à l’intégrité des étudiants handicapés physiques sur les résidences universitaires.
Selon Zagol, les mensonges du « fanfaron » de KB, qui fait croire qu’il a le soutien indéfectible du Front Populaire Ivoirien (FPI) et de Blé Goudé, Directeur National de Campagne chargé de la Jeunesse du Candidat de la majorité Présidentielle Laurent Gbagbo dans sa sale besogne de détruire l’école Ivoirienne, révoltent les élèves et étudiants. Pour lui, il faut le lessivage du système socio-éducatif qui passe par « l’action d’envergure du débarras de cette vermine de KB qui constitue à n’en point douter la gangrène du milieu universitaire et scolaire ».
« Par la faute de cet individu aux idées lugubres, la FESCI manque de démocratie en interne. Il est rare de voir un Secrétaire Général (SG) fruit ou émanation réelle de l’expression de la volonté des élèves et étudiants », tempête le SG de la Fesci « made in Yamoussoukro ». Ensuite, il « descend » son rival Mian Augustin, qui, à l’en croire, a desservi la FESCI, car n’ayant rien fait pour les élèves et étudiants de Côte d’Ivoire en deux (02) ans de mandat. « Il a plutôt livré la FESCI corps et âme à KB qui en a abusé. Là doit s’arrêter le règne sans partage de KB qui, telle une sangsue profite de la FESCI tout en œuvrant à sa disparition », martèle Zagol. C’est pourquoi, il estime qu’il faut donc élire des personnes courageuses et crédibles, soucieuses du présent et de l’avenir des élèves et étudiant (e)s. Cela permettra, à ses yeux, d’en finir avec la violence, les rackets et extorsions de fonds. Mieux, Zagol plaide pour l’instauration d’une vraie démocratie au sein de la FESCI garante d’une élite nationale. C’est pourquoi, il exhorte les décideurs afin que la communauté estudiantine et scolaire soit lessivée de cette gangrène. « Nous demandons aussi à nos camarades militants de la liberté et de la démocratie à se tenir prêts à faire barrage par tous les moyens possibles aux sataniques manœuvres de KB et de ses sbires, car l’école a de la valeur à nos yeux ainsi aucun sacrifice n’est trop grand pour la sauver », lance t-il, en invitant ses camarades étudiants à « refuser le package bestial qu’on leur inflige dans des chambres alors qu’on en met en location à la pelle ». A ceux-ci, il demande de se munir d’intrépidité et d’abnégation. « Tenez-vous prêts car le jour de la libération de notre syndicat est arrivé. L’horizon est lumineux, les derniers pans de l’ombre de la nuit s’étiolent à jamais… », conclut-il, avec une pointe d’espoir. YS
