Les vaccins permettent de prévenir contre les maladies. Cependant, il arrive que malgré l’existence de leur vaccin, ces maladies font rage. Un spécialiste explique pourquoi.
La Côte d’Ivoire a du mal à se débarrasser de la fièvre jaune. Depuis 2000, nous assistons à la résurgence des épidémies de la fièvre jaune. Ce qui devient donc un problème de santé publique. De 2001 à 2009, la Côte d’Ivoire a fait face à plusieurs épidémies qui ont causé la mort de plus d’une centaine de personnes. Ces informations ont été données, au cours d’un séminaire sur la vaccinologie, à l’Institut national d’hygiène publique (Inhp). Selon le Dr Attoh-Touré Harvey, cette résurgence s’explique par le fait que les campagnes préventives ne sont pas privilégiées. Pourtant, ce sont elles seules qui peuvent mettre fin aux épidémies. Une étude menée de 2001 à 2007 par l’Inhp témoigne que 83 % des cas confirmés de fièvre jaune avaient plus de 15 ans. Ce qui pourrait être expliqué par l’absence d’immunité à cet âge. Les adolescents et les adultes ne sont pas vaccinés. Ils ne sont plus pris en compte par le Programme élargi de vaccination (Pev). D’où une nécessité de réviser ce programme. Maladie virale aiguë, la fièvre jaune est également une maladie du péril fécal. C’est-à-dire qu’elle est causée en grande partie par le manque d’hygiène. Le moustique vecteur (Aedes) réside dans ces endroits peu sains. La fièvre jaune est une maladie hémorragique virale aiguë transmise par des moustiques infectés. Le terme «jaune» fait référence à la jaunisse présentée par certains patients. L’infection par le virus de la fièvre jaune (ou virus amaril) peut provoquer une maladie grave et le décès. Jusqu’à 50% des personnes gravement atteintes qui ne sont pas traitées, vont en mourir. Elle sévit surtout dans les pays à bas niveau d’hygiène. Selon le spécialiste, un cas découvert veut dire qu’il y a une épidémie. Parce qu’une seule personne atteinte peut contaminer 20 autres.
Adélaïde Konin
La Côte d’Ivoire a du mal à se débarrasser de la fièvre jaune. Depuis 2000, nous assistons à la résurgence des épidémies de la fièvre jaune. Ce qui devient donc un problème de santé publique. De 2001 à 2009, la Côte d’Ivoire a fait face à plusieurs épidémies qui ont causé la mort de plus d’une centaine de personnes. Ces informations ont été données, au cours d’un séminaire sur la vaccinologie, à l’Institut national d’hygiène publique (Inhp). Selon le Dr Attoh-Touré Harvey, cette résurgence s’explique par le fait que les campagnes préventives ne sont pas privilégiées. Pourtant, ce sont elles seules qui peuvent mettre fin aux épidémies. Une étude menée de 2001 à 2007 par l’Inhp témoigne que 83 % des cas confirmés de fièvre jaune avaient plus de 15 ans. Ce qui pourrait être expliqué par l’absence d’immunité à cet âge. Les adolescents et les adultes ne sont pas vaccinés. Ils ne sont plus pris en compte par le Programme élargi de vaccination (Pev). D’où une nécessité de réviser ce programme. Maladie virale aiguë, la fièvre jaune est également une maladie du péril fécal. C’est-à-dire qu’elle est causée en grande partie par le manque d’hygiène. Le moustique vecteur (Aedes) réside dans ces endroits peu sains. La fièvre jaune est une maladie hémorragique virale aiguë transmise par des moustiques infectés. Le terme «jaune» fait référence à la jaunisse présentée par certains patients. L’infection par le virus de la fièvre jaune (ou virus amaril) peut provoquer une maladie grave et le décès. Jusqu’à 50% des personnes gravement atteintes qui ne sont pas traitées, vont en mourir. Elle sévit surtout dans les pays à bas niveau d’hygiène. Selon le spécialiste, un cas découvert veut dire qu’il y a une épidémie. Parce qu’une seule personne atteinte peut contaminer 20 autres.
Adélaïde Konin
