Le monde célèbre le dimanche 25 avril 2010, la Journée mondiale de lutte contre le paludisme.Le paludisme touche encore 40% de la population mondiale. Il infecte plus de 500 millions de personnes par an et en tue plus d'un million. C'est en Afrique subsaharienne que la charge du paludisme est la plus lourde, mais la maladie affecte aussi l'Asie, l'Amérique latine, le Moyen-Orient et même certaines parties de l'Europe.
La Journée mondiale de lutte contre le paludisme - instituée par l'Assemblée mondiale de la Santé lors de sa 60ème session en mai 2007 - a pour but de faire prendre conscience de l'effort mondial nécessaire pour lutter efficacement contre le paludisme. Elle donne l'occasion, d’abord aux pays affectés, de tirer profit des expériences des uns et des autres et de s'entraider; ensuite à de nouveaux bailleurs de fonds, de rejoindre un partenariat mondial contre le paludisme. Aux institutions académiques et instituts de recherche, elle permet d'attirer l'attention tant des experts que du grand public sur leurs progrès scientifiques et aux partenaires internationaux; aux entreprises et fondations, de montrer les actions entreprises et de réfléchir aux moyens de développer davantage ce qui a bien marché. L’Afrique noire une des zones les plus endémiques, est le continent le plus touché par le paludisme. La Côte d’Ivoire, consciente du fait que cette maladie crée un véritable problème de santé publique a, mis en place le Programme national de lutte contre le paludisme, organe chargé de coordonner la lutte en matière de prévention, de recherche scientifique et de pratique curative. Malgré tout, la maladie est la première source de mortalité dans le pays, faisant des ravages chez les enfants, les femmes et les personnes âgées.
Olivier Guédé
La Journée mondiale de lutte contre le paludisme - instituée par l'Assemblée mondiale de la Santé lors de sa 60ème session en mai 2007 - a pour but de faire prendre conscience de l'effort mondial nécessaire pour lutter efficacement contre le paludisme. Elle donne l'occasion, d’abord aux pays affectés, de tirer profit des expériences des uns et des autres et de s'entraider; ensuite à de nouveaux bailleurs de fonds, de rejoindre un partenariat mondial contre le paludisme. Aux institutions académiques et instituts de recherche, elle permet d'attirer l'attention tant des experts que du grand public sur leurs progrès scientifiques et aux partenaires internationaux; aux entreprises et fondations, de montrer les actions entreprises et de réfléchir aux moyens de développer davantage ce qui a bien marché. L’Afrique noire une des zones les plus endémiques, est le continent le plus touché par le paludisme. La Côte d’Ivoire, consciente du fait que cette maladie crée un véritable problème de santé publique a, mis en place le Programme national de lutte contre le paludisme, organe chargé de coordonner la lutte en matière de prévention, de recherche scientifique et de pratique curative. Malgré tout, la maladie est la première source de mortalité dans le pays, faisant des ravages chez les enfants, les femmes et les personnes âgées.
Olivier Guédé