Coups de sifflets, klaxons, chants, chahuts, applaudissements, cris… C’est déjà l’ambiance ce dimanche 2 mai, à 8h, devant le cinéma Saguidiba de Yopougon-Kouté. Depuis 6 h 30 min, les jeunes du Front populaire ivoirien (JFPI) et ceux des autres formations de La Majorité présidentielle (LMP) convergent par petits groupes en ce lieu pour prendre part au défilé de liberté organisé à la faveur de l’édition 2010 de la fête de la liberté, qui se déroule depuis le 29 avril, à Abidjan. Chaque groupe a une banderole qui détermine la délégation, ou l’organisation avec un message précis. Au fil des minutes, la foule s’agrandit et l’effervescence monte. Plusieurs convois de car en provenance de l’intérieur du pays débarquent avec des dizaines de jeunes vêtus pour la plupart en tee-shirt blanc à l’effigie de Laurent Gbagbo.
A 8h 20 min, Youpougon-Saguidiba grouille de monde. Il est paré aux couleurs du Front populaire ivoirien (bleu-blanc). Les organisateurs du défilé, les membres du bureau exécutif national de la JFPI, prennent des dispositions avec la police pour éviter les débordements. Les délégations sont priées de se mettre en rang, au fur et à mesure. Les groupes qui arrivent se rangent derrière ceux qui sont déjà sur place. De leur côté, les éléments de la police se charge de réguler la circulation. Face au flot humain, la circulation est fermée aux véhicules. Les gbaka et taxis communaux sont contraints à faire marche arrière.
9h 25 min, c’est le top départ. Le défilé est conduit par une délégation du bureau exécutif national de la JFPI, qui est suivie d’une forte délégation du département d’Issia. Les jeunes parcours Yopougon en chantant et en dansant. “Gbagbo a déjà gagné, il n’y a plus d’élections” ; “On l’aime l’aime Gbagbo, on l’aime Gbagbo” ; “Gbagbo ayoooh Gbagbo ayoooh ; Gbagbo ayoka ka”. Les chants sont rythmés par des applaudissements et accompagnés de cris. Tout se passe dans la joie et la communion totale. Chemin faisant, de nouvelles délégations arrivent. Dans la discipline, elles se rangent derrière, pour éviter le cafouillage.
A 9 h 55 min, la tête du défilé est au niveau du commissariat du 16ème arrondissement. La queue se trouve au terminus du bus 40. Le secrétaire national de la Jeunesse du Front populaire ivoirien, Konaté Navigué, rejoint le rassemblement au niveau du Score. Quelque temps après, le leader de la galaxie patriotique, Charles Blé Goudé, Serges Kassy, Jean Marie Konin et d’autres responsables arrivent. Le défilé se poursuit dans la même ambiance bon enfant. De loin, on aperçoit bien la foule immense assimilable à un rassemblement de fourmis. Ce qui frappe aux yeux, c’est également l’uniforme du pagne de la 20ème édition de la Fête de la liberté. La plupart des jeunes étaient vêtus de ce pagne. Ceux qui ne portaient le pagne étaient vêtus de tee-shirts blancs et de casquettes.
A 10h 10, le défilé marque un arrêt, au niveau de l’église Saint-André, pour reprendre 5 min plus tard. 10h 20 min, la procession est au niveau de la mairie de Yopougon. Le défilé avance lentement, au fur et à mesure que l’on approche le Village de la liberté. Cela n’empêche pas pour autant Konaté Navigué et ses camarades de continuer à chanter et danser.
C’est sur le coup de 11h que la tête du défilé a fait son entrée dans l’enceinte du Village de la liberté. Les leaders de la jeunesse ivoirienne sont entrés au village en force et en puissance, signe de leur capacité à relever le défi de la lutte pour la liberté.
Les autres délégations ont bravé la grande pluie qui s’est abattue sur Yopougon ce dimanche. César Ebrokié
A 8h 20 min, Youpougon-Saguidiba grouille de monde. Il est paré aux couleurs du Front populaire ivoirien (bleu-blanc). Les organisateurs du défilé, les membres du bureau exécutif national de la JFPI, prennent des dispositions avec la police pour éviter les débordements. Les délégations sont priées de se mettre en rang, au fur et à mesure. Les groupes qui arrivent se rangent derrière ceux qui sont déjà sur place. De leur côté, les éléments de la police se charge de réguler la circulation. Face au flot humain, la circulation est fermée aux véhicules. Les gbaka et taxis communaux sont contraints à faire marche arrière.
9h 25 min, c’est le top départ. Le défilé est conduit par une délégation du bureau exécutif national de la JFPI, qui est suivie d’une forte délégation du département d’Issia. Les jeunes parcours Yopougon en chantant et en dansant. “Gbagbo a déjà gagné, il n’y a plus d’élections” ; “On l’aime l’aime Gbagbo, on l’aime Gbagbo” ; “Gbagbo ayoooh Gbagbo ayoooh ; Gbagbo ayoka ka”. Les chants sont rythmés par des applaudissements et accompagnés de cris. Tout se passe dans la joie et la communion totale. Chemin faisant, de nouvelles délégations arrivent. Dans la discipline, elles se rangent derrière, pour éviter le cafouillage.
A 9 h 55 min, la tête du défilé est au niveau du commissariat du 16ème arrondissement. La queue se trouve au terminus du bus 40. Le secrétaire national de la Jeunesse du Front populaire ivoirien, Konaté Navigué, rejoint le rassemblement au niveau du Score. Quelque temps après, le leader de la galaxie patriotique, Charles Blé Goudé, Serges Kassy, Jean Marie Konin et d’autres responsables arrivent. Le défilé se poursuit dans la même ambiance bon enfant. De loin, on aperçoit bien la foule immense assimilable à un rassemblement de fourmis. Ce qui frappe aux yeux, c’est également l’uniforme du pagne de la 20ème édition de la Fête de la liberté. La plupart des jeunes étaient vêtus de ce pagne. Ceux qui ne portaient le pagne étaient vêtus de tee-shirts blancs et de casquettes.
A 10h 10, le défilé marque un arrêt, au niveau de l’église Saint-André, pour reprendre 5 min plus tard. 10h 20 min, la procession est au niveau de la mairie de Yopougon. Le défilé avance lentement, au fur et à mesure que l’on approche le Village de la liberté. Cela n’empêche pas pour autant Konaté Navigué et ses camarades de continuer à chanter et danser.
C’est sur le coup de 11h que la tête du défilé a fait son entrée dans l’enceinte du Village de la liberté. Les leaders de la jeunesse ivoirienne sont entrés au village en force et en puissance, signe de leur capacité à relever le défi de la lutte pour la liberté.
Les autres délégations ont bravé la grande pluie qui s’est abattue sur Yopougon ce dimanche. César Ebrokié
