« Il n’ya pas de mauvais vents, il n ya que de piètres navigateurs ». Dixit Stéphane Eholiè(DG de Simat). Ces propos, traduiraient –ils le comportement irrévérencieux et mesquin du Directeur général de la Simat ? Tout porte à le croire. Pour mémoire, la Simat a été créé depuis 2001. C’est une société anonyme au capital initial de 400millions FCFA. De fait, c’est une entreprise Qui appartient à la famille Amethier. Depuis quelques années, la Simat est entrée en bourse à Paris sur le marché d’Euronext. C’est donc cette société dont les mérites commencent à être reconnus qui s’est illustré de la très mauvaise manière en 2004, vis-à vis du groupe de presse Le National SA qui venait d’acquérir une rotative à des centaines de millions. Les faits. Avec la complicité d’une banque ivoirienne (la BNI) qui n’est pas exempte de reproches, la Simat a contribué à détériorer le matériel acquis à des millions de francs. Et pourtant, ladite banque, comme son nom l’indique a pour vocation d’aider ces derniers à mener à bien leurs activités respectives. Comme un tour de magie, sans avertir la direction dudit groupe, la SIMAT qui devait s’occuper des opérations de chargement et de déchargement en zone sous douane, aurait exposé tout le matériel aux intempéries en zone portuaire. Toute chose qui a causé un préjudice au groupe de presse Le National au grand dam du Président Directeur Général M. Tapé Koulou Laurent et son personnel. Malgré les nombreuses démarches pour que réparation soit faite, rien ‘ y fit. Car la banque non seulement a saisi l’essentiel du matériel mais aussi abandonné une partie non négligeable à la merci du sel marin. A la vérité, l’attitude de M.M Stéphane Eholié DG de Simat et Victor Nembellessini(PDG de la BNI), traduit en filagramme leur volonté de nuire à M Tapé Koulou et à sa société. Et dire que c’est cet opérateur économique ivoirien qui est cité en exemple. Cela peut se comprendre aisément, si l’on part du principe selon lequel, il faut écraser les autres pour prospérer. C’est, cela vérité.
Koné Moussa.
Koné Moussa.