Depuis la crise de septembre 2002, la sécurisation du territoire ivoirien est l’une des priorités du président Laurent Gbagbo. Qui, pour les besoins de la cause, a nommé au sein de la Gendarmerie nationale, Edouard Tiapeu Kassaraté et Guai Bi Poin. Respectivement au Commandement Supérieur de la gendarmerie et au Centre de Commandement des Opérations de Sécurité (CECOS). Une unité montée de toute pièce par le chef de l’Etat lui-même.
L’un est Commandant supérieur de la gendarmerie nationale. L’autre est Commandant en chef du CECOS. Tous deux ont décidé de faire régner l’ordre en Eburnie, venant en soutien à la police nationale. En effet nommé à la tête de la gendarmerie nationale quelques mois après l’élection présidentielle d’octobre 2000, Edouard Kassaraté Tiapeu a réussi, à faire de ce corps d’élite, une référence dans la sous région. Jamais la Gendarmerie n’a été indexée dans les rackets et autres bévues constatées ça et là. Au point que dans les chancelleries, la Gendarmerie ivoirienne occupe une place de choix. Ne dit-on pas que lorsqu’un est arbre est bon, il ne produit que de bons fruits ? Pour dire que l’œuvre du Général Kassaraté depuis son arrivée à la tête de la Gendarmerie nationale, est faite de rigueur, probité et abnégation. « Si la Gendarmerie a servi à d’autres pour satisfaire leurs besoins politiques, avec nous, c’est l’ordre républicain et le respect des institutions », se plait-il à répéter à ses détracteurs. Qui voient en lui, un frein au désordre qu’ils veulent semer. Toujours avec un sourire, le patron de la gendarmerie ivoirienne sait dire non quand il le faut et taper sur la table pour remettre les choses en ordre. Ce pourquoi, il bénéficie de la confiance du Chef de l’Etat qui l’associe d’ailleurs à toutes les questions sécuritaires et de défense. C’est que le général Kassaraté, en bon guerrier n’hésite pas à descendre sur le terrain et diriger de mains de maitre, le théâtre des opérations. Car aguerri aux techniques de guerre pour avoir fait sa formation aussi bien en Europe qu’aux Etats unis, Edouard Kassaraté est un passionné des armes et de la rigueur. Ailleurs, on dirait de lui qu’il est un fou du travail et de l’ordre parfait. C’est pourquoi, dés sa nomination à la tête de la Gendarmerie, il a maintenu à la direction de l’Ecole nationale de la Gendarmerie, un autre tout aussi ‘’fou’’ du travail bienfait. A savoir Guiai Bi Poin.
Un nom qui rime avec le CECOS, une unité d’élite qui lutte contre la grand banditisme et la pègre. Crée il y a 5 ans, le CECOS est dirigé de mains de gendarme par le Général Guiai Bi Poin surnommé Le Blanc (un pseudonyme dû à son teint rouquin). Qui en peu de temps a réussi à faire baisser le fort taux de la criminalité à Abidjan. Au point que des politiques voient en lui, une puissante de frappe pour le pouvoir en place. Quoi de plus normale quand on sait que le respect des institutions républicaines fait partie des missions régalienne de cette unité spéciale. Qui continue de faire l’unanimité partout et particulièrement dans les grandes diplomaties. C’est que, pour ceux qui ne connaissent pas le Général Guiai Bi, l’homme en tant que premier formateur de l’école de gendarmerie, ne peut inculquer autre chose que la rigueur et la loyauté. Des vertus cardinales qu’il a apprises dans sa formation au centre d’études stratégiques à Washington et à l’académie du Bureau fédéral d’investigations, le célèbre FBI, qui fait la fierté du pays de l’oncle Sam sans oublier l’école de guerre de Paris. Bien évidemment après une licence en droit public et un diplôme universitaire en criminologie. L’on dit que sa notoriété fut encore mise en service pour mettre en branle les assaillants qui tentaient de récupérer l’Ecole de gendarmerie lors du coup d’Etat de septembre 2002. Tout comme le Général Kassaraté n’a pas voulu laisser le camp de gendarmerie d’Agban aux mains desdits assaillants. En subdivisant le CECOS en plusieurs sous unités pour mieux quadriller la ville d’Abidjan, le général Guiai Bi Poin a fini par démontrer qu’il était l’homme qu’il faut à la place qu’il faut pour faire reculer le grand banditisme et autres scélérats. Aussi, bénéficiant de la confiance du chef de l’Etat, l’homme occupe une place prépondérante dans les décisions et en matière de sécurité. N’a-t-il pas fait le célèbre FBI ? Quoi donc de plus normal, même si certains voient en lui un homme à craindre. « Le vrai gendarme, c’est celui qui fait peur sans terroriser la population », aime-t-il à dire avec un sourire en coin. Mais derrière cette baraka, se cache un homme sensible et respectueux de la chose humaine. Qui sait être méchant quand il faut. Très probe, il a décidé de faire la lumière sur toutes les activités du CECOS et ce au cours de conférences bilan.
Comme quoi, avec les Généraux Edouard Kassaraté Tiapeu et Guiai Bi Poin, le fléau du grand banditisme et la sécurisation du pays sont à l’honneur. Eut égard aux chiffres et lauriers glanées par ces deux hommes. Qui ont fait de la sécurité du territoire leur affaire personnelle.
Janelle Orlane
L’un est Commandant supérieur de la gendarmerie nationale. L’autre est Commandant en chef du CECOS. Tous deux ont décidé de faire régner l’ordre en Eburnie, venant en soutien à la police nationale. En effet nommé à la tête de la gendarmerie nationale quelques mois après l’élection présidentielle d’octobre 2000, Edouard Kassaraté Tiapeu a réussi, à faire de ce corps d’élite, une référence dans la sous région. Jamais la Gendarmerie n’a été indexée dans les rackets et autres bévues constatées ça et là. Au point que dans les chancelleries, la Gendarmerie ivoirienne occupe une place de choix. Ne dit-on pas que lorsqu’un est arbre est bon, il ne produit que de bons fruits ? Pour dire que l’œuvre du Général Kassaraté depuis son arrivée à la tête de la Gendarmerie nationale, est faite de rigueur, probité et abnégation. « Si la Gendarmerie a servi à d’autres pour satisfaire leurs besoins politiques, avec nous, c’est l’ordre républicain et le respect des institutions », se plait-il à répéter à ses détracteurs. Qui voient en lui, un frein au désordre qu’ils veulent semer. Toujours avec un sourire, le patron de la gendarmerie ivoirienne sait dire non quand il le faut et taper sur la table pour remettre les choses en ordre. Ce pourquoi, il bénéficie de la confiance du Chef de l’Etat qui l’associe d’ailleurs à toutes les questions sécuritaires et de défense. C’est que le général Kassaraté, en bon guerrier n’hésite pas à descendre sur le terrain et diriger de mains de maitre, le théâtre des opérations. Car aguerri aux techniques de guerre pour avoir fait sa formation aussi bien en Europe qu’aux Etats unis, Edouard Kassaraté est un passionné des armes et de la rigueur. Ailleurs, on dirait de lui qu’il est un fou du travail et de l’ordre parfait. C’est pourquoi, dés sa nomination à la tête de la Gendarmerie, il a maintenu à la direction de l’Ecole nationale de la Gendarmerie, un autre tout aussi ‘’fou’’ du travail bienfait. A savoir Guiai Bi Poin.
Un nom qui rime avec le CECOS, une unité d’élite qui lutte contre la grand banditisme et la pègre. Crée il y a 5 ans, le CECOS est dirigé de mains de gendarme par le Général Guiai Bi Poin surnommé Le Blanc (un pseudonyme dû à son teint rouquin). Qui en peu de temps a réussi à faire baisser le fort taux de la criminalité à Abidjan. Au point que des politiques voient en lui, une puissante de frappe pour le pouvoir en place. Quoi de plus normale quand on sait que le respect des institutions républicaines fait partie des missions régalienne de cette unité spéciale. Qui continue de faire l’unanimité partout et particulièrement dans les grandes diplomaties. C’est que, pour ceux qui ne connaissent pas le Général Guiai Bi, l’homme en tant que premier formateur de l’école de gendarmerie, ne peut inculquer autre chose que la rigueur et la loyauté. Des vertus cardinales qu’il a apprises dans sa formation au centre d’études stratégiques à Washington et à l’académie du Bureau fédéral d’investigations, le célèbre FBI, qui fait la fierté du pays de l’oncle Sam sans oublier l’école de guerre de Paris. Bien évidemment après une licence en droit public et un diplôme universitaire en criminologie. L’on dit que sa notoriété fut encore mise en service pour mettre en branle les assaillants qui tentaient de récupérer l’Ecole de gendarmerie lors du coup d’Etat de septembre 2002. Tout comme le Général Kassaraté n’a pas voulu laisser le camp de gendarmerie d’Agban aux mains desdits assaillants. En subdivisant le CECOS en plusieurs sous unités pour mieux quadriller la ville d’Abidjan, le général Guiai Bi Poin a fini par démontrer qu’il était l’homme qu’il faut à la place qu’il faut pour faire reculer le grand banditisme et autres scélérats. Aussi, bénéficiant de la confiance du chef de l’Etat, l’homme occupe une place prépondérante dans les décisions et en matière de sécurité. N’a-t-il pas fait le célèbre FBI ? Quoi donc de plus normal, même si certains voient en lui un homme à craindre. « Le vrai gendarme, c’est celui qui fait peur sans terroriser la population », aime-t-il à dire avec un sourire en coin. Mais derrière cette baraka, se cache un homme sensible et respectueux de la chose humaine. Qui sait être méchant quand il faut. Très probe, il a décidé de faire la lumière sur toutes les activités du CECOS et ce au cours de conférences bilan.
Comme quoi, avec les Généraux Edouard Kassaraté Tiapeu et Guiai Bi Poin, le fléau du grand banditisme et la sécurisation du pays sont à l’honneur. Eut égard aux chiffres et lauriers glanées par ces deux hommes. Qui ont fait de la sécurité du territoire leur affaire personnelle.
Janelle Orlane
