Septembre 2002-mai 2010. Huit (8ans) que la Côte d’Ivoire est coupé en deux. Pour cause de guerre. Et pourtant, malgré des difficultés, ça et là, la Côte d’Ivoire est resté debout. Et cela, par la volonté, l’amour, le patriotisme et l’esprit républicain de certaines personnalités que le président de la République, SEM, Laurent Gbagbo a bombardé à la tête de certaines régies financières pourvoyeuses de fonds. Tel le Port Autonome d’Abidjan, dirigé par M. Marcel Gossio. A l’instar de nombre de citoyens et cadres ivoiriens, en qui le chef de l’Etat a placé une entière confiance, au regard des résultats palpables, l’on peut affirmer qu’il a eu le nez creux en confiant les rênes du poumon de l’économie ivoirienne(PAA) à M. Marcel Gossio. Et pourtant, ils étaient nombreux, les observateurs, qui ne vendaient pas chère la peau de l’actuel Directeur du Port Autonome d’Abidjan. En tout cas, quelques années seulement ont suffit à M. Marcel Gossio pour faire mentir tous ses détracteurs. En effet, après plusieurs années de crise militaro-politique qui a plongé le moteur de l’économie sous-régionale dans un marasme économique à nulle autre pareille, M. Marcel Gossio et ses collaborateurs, faisant preuve d’une vision futuriste du port d’Abidjan ont eu à nouveau la confiance des partenaires de l’Hinterland. Notamment, le Mali, le Burkina Fasso et le Niger.
De la reconquête des marchés perdus.
Incontournable, dans la sous-région, à cause des nombreuses opportunités qu’il offrait à tous les partenaires, le Port Autonome d’Abidjan(PAA), était considéré jusqu’à l’avènement de la crise ivoirienne comme le poumon de l’économie de la Côte d’Ivoire. Lorsqu’éclate la guerre le 19 septembre 2002, tous les partenaires, soucieux de garantir la pérennité de leurs activités désertaient le Port Autonome d’Abidjan pour d’autres destinations, pourtant moins compétitives que le PAA. Tel, le Port de Tema, au Ghana. D’accord politique en accord politique, sous la supervision de la communauté internationale, avec les forces d’interposition de l’ONUCI et de la force Licorne et surtout la volonté des principaux béligérants à aller à la paix, il était plus qu’impérieux pour les autorités du Port Autonome d’Abidjan d’aller à la reconquête des marchés perdus. Surtout ceux de l’Hinterland. C’est ainsi qu’avec l’accord de la Direction générale, le département communication et Marketing a décidé d’initier un séminaire de réflexion en vue de la reconquête des marchés perdus susmentionnés. Ainsi, durant 3 jours, opérateurs économiques aussi bien du monde portuaire, aéroportuaire, autorités politiques et administratives ivoiriennes, le patronnât ivoirien, décideurs de la haute finance européenne…sous la présidence effective du chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, du ministre de l’économie des finances, des réflexions sont soumises à la sagacité des décideurs pour élaborer une stratégie susceptible de ramener tous les partenaires déserteurs au Port Autonome d’Abidjan. Une fois les résolutions adoptées, des missions sont organisées dans les différents pays susmentionnés. Au cours de toutes celles-ci, la Direction du PAA, sous la houlette de M. Marcel Gossio associe tous les partenaires du Port ainsi que les Forces de Sécurité et de Défense(FDS) pour garantir une fluidité au niveau du transport inter-Etat, perturbé par le racket et les contrôles intempestifs de certains éléments des Forces de Défense et de Sécurité. Dont les actes empreints de nuisance ont éloigné plusieurs opérateurs du portuaire. Ainsi, après le partenaire naturel, le Burkina Faso, le Mali et le Niger, recevront les missions du Port et de ses partenaires. M Marcel Gossio, faisant preuve d’une vision futuriste va mettre le cap sur l’Europe, précisément à Rouen en France. Là-bas aussi, de solides relations seront également nouées. La suite on la connait. Les partenaires de l’Hinterland et certains européens ont renouvelé leur confiance au Port Autonome d’Abidjan. Sans toutefois, atteindre la vitesse de croisière, les activités ont repris considérablement au PAA. A la grande satisfaction du Président de la République, Laurent Gbagbo. Qui avait besoin de moyens financiers conséquents pour payer correctement le salaire des fonctionnaires ivoiriens. Sous la supervision de l’argentier ivoirien, Charles Diby Koffi et aussi avec le soutien et l’apport d’autres régies financières, telle la Direction Générale des Impôts, avec pour maître d’œuvre, Lambert Feh Kesse, l’Etat de Côte d’Ivoire pourra malgré la situation de guerre faire face aux exigences relatives à la récession économique criarde. En tout cas, les multiples réformes opérées par M. Marcel Gossio ont permis à la Côte d’Ivoire de rester debout malgré toutes les difficultés que rencontre le pays pour sortir de la crise dans laquelle, elle s’est engluée. M. Marcel Gossio dont l’engagement politique auprès du chef de l’Etat n’est plus à démontrer apparait aux yeux de nombre d’observateurs comme l’un des collaborateurs pourvoyeurs de fonds qui grâce au travail abattu pourront faire gagner Laurent Gbagbo à la prochaine échéance présidentielle.
De l’engagement politique auprès du chef de l’Etat.
L’image que les Ivoiriens ont de M. Marcel Gossio, c’est celle du Directeur Général du Port Autonome. Qui durant les moments difficiles rencontrés par la Côte d’Ivoire, fort de ses réformes a sauvé le pouvoir de Laurent Gbagbo aussi bien dans la gestion du PAA que de son parti politique, le FPI. Dont, il est l’un des pions sûrs, pour prendre la citadelle imprenable de Mme Aka Angui, actuel Maire de la commune de Port-Bouët. Pour mémoire, au plus fort de la crise ivoirienne, au moment où la Côte d’Ivoire était abandonnée par tous, le pouvoir de Laurent Gbagbo avait besoin d’être soutenu. M. Marcel Gossio aura été un artisan incontournable dans cette bataille aux forceps entre des hommes armés jusqu’aux dents et de jeunes ivoiriens aux mains nues. C’est justement les moyens logistiques, financiers et matériels mis à la disposition des jeunes patriotes qui leur a permis de résister pour permettre à la République de rester debout. D’ailleurs, il n’est point besoin de rappeler que les actes posés par le Directeur Général du Port Autonome sont légion. Ressortissant de l’ouest (région du moyen Cavally) comme bien d’autres cadres, Marcel Gossio, dont l’admiration pour Laurent Gbagbo est une vérité de Lapalisse, apparaît comme l’un des chevaux les plus sûrs du candidat Laurent Gbagbo au cours des prochaines joutes électorales. Sa fidélité, son courage, sa compétence le positionne comme le « barbouze » qui à n’en point douter ratissera large pour garantir la victoire du président sortant. D’ailleurs, ce ne sont pas les populations de Port-Bouët qui diront le contraire, elles qui soutiennent mordicus que le Dg du PAA est un homme affable, à l’écoute des populations et surtout disponible. Comme on peut le constater, avec Ahoua Don Melo (BNETD), Alphonse Mangly (Douanes), Zirignon Ottro (PCA Sir), Kla Sylvanus (ATCI) pour ne citer que ceux-là, la victoire du candidat Laurent Gbagbo est presqu’assurée.
Koné Moussa.
De la reconquête des marchés perdus.
Incontournable, dans la sous-région, à cause des nombreuses opportunités qu’il offrait à tous les partenaires, le Port Autonome d’Abidjan(PAA), était considéré jusqu’à l’avènement de la crise ivoirienne comme le poumon de l’économie de la Côte d’Ivoire. Lorsqu’éclate la guerre le 19 septembre 2002, tous les partenaires, soucieux de garantir la pérennité de leurs activités désertaient le Port Autonome d’Abidjan pour d’autres destinations, pourtant moins compétitives que le PAA. Tel, le Port de Tema, au Ghana. D’accord politique en accord politique, sous la supervision de la communauté internationale, avec les forces d’interposition de l’ONUCI et de la force Licorne et surtout la volonté des principaux béligérants à aller à la paix, il était plus qu’impérieux pour les autorités du Port Autonome d’Abidjan d’aller à la reconquête des marchés perdus. Surtout ceux de l’Hinterland. C’est ainsi qu’avec l’accord de la Direction générale, le département communication et Marketing a décidé d’initier un séminaire de réflexion en vue de la reconquête des marchés perdus susmentionnés. Ainsi, durant 3 jours, opérateurs économiques aussi bien du monde portuaire, aéroportuaire, autorités politiques et administratives ivoiriennes, le patronnât ivoirien, décideurs de la haute finance européenne…sous la présidence effective du chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, du ministre de l’économie des finances, des réflexions sont soumises à la sagacité des décideurs pour élaborer une stratégie susceptible de ramener tous les partenaires déserteurs au Port Autonome d’Abidjan. Une fois les résolutions adoptées, des missions sont organisées dans les différents pays susmentionnés. Au cours de toutes celles-ci, la Direction du PAA, sous la houlette de M. Marcel Gossio associe tous les partenaires du Port ainsi que les Forces de Sécurité et de Défense(FDS) pour garantir une fluidité au niveau du transport inter-Etat, perturbé par le racket et les contrôles intempestifs de certains éléments des Forces de Défense et de Sécurité. Dont les actes empreints de nuisance ont éloigné plusieurs opérateurs du portuaire. Ainsi, après le partenaire naturel, le Burkina Faso, le Mali et le Niger, recevront les missions du Port et de ses partenaires. M Marcel Gossio, faisant preuve d’une vision futuriste va mettre le cap sur l’Europe, précisément à Rouen en France. Là-bas aussi, de solides relations seront également nouées. La suite on la connait. Les partenaires de l’Hinterland et certains européens ont renouvelé leur confiance au Port Autonome d’Abidjan. Sans toutefois, atteindre la vitesse de croisière, les activités ont repris considérablement au PAA. A la grande satisfaction du Président de la République, Laurent Gbagbo. Qui avait besoin de moyens financiers conséquents pour payer correctement le salaire des fonctionnaires ivoiriens. Sous la supervision de l’argentier ivoirien, Charles Diby Koffi et aussi avec le soutien et l’apport d’autres régies financières, telle la Direction Générale des Impôts, avec pour maître d’œuvre, Lambert Feh Kesse, l’Etat de Côte d’Ivoire pourra malgré la situation de guerre faire face aux exigences relatives à la récession économique criarde. En tout cas, les multiples réformes opérées par M. Marcel Gossio ont permis à la Côte d’Ivoire de rester debout malgré toutes les difficultés que rencontre le pays pour sortir de la crise dans laquelle, elle s’est engluée. M. Marcel Gossio dont l’engagement politique auprès du chef de l’Etat n’est plus à démontrer apparait aux yeux de nombre d’observateurs comme l’un des collaborateurs pourvoyeurs de fonds qui grâce au travail abattu pourront faire gagner Laurent Gbagbo à la prochaine échéance présidentielle.
De l’engagement politique auprès du chef de l’Etat.
L’image que les Ivoiriens ont de M. Marcel Gossio, c’est celle du Directeur Général du Port Autonome. Qui durant les moments difficiles rencontrés par la Côte d’Ivoire, fort de ses réformes a sauvé le pouvoir de Laurent Gbagbo aussi bien dans la gestion du PAA que de son parti politique, le FPI. Dont, il est l’un des pions sûrs, pour prendre la citadelle imprenable de Mme Aka Angui, actuel Maire de la commune de Port-Bouët. Pour mémoire, au plus fort de la crise ivoirienne, au moment où la Côte d’Ivoire était abandonnée par tous, le pouvoir de Laurent Gbagbo avait besoin d’être soutenu. M. Marcel Gossio aura été un artisan incontournable dans cette bataille aux forceps entre des hommes armés jusqu’aux dents et de jeunes ivoiriens aux mains nues. C’est justement les moyens logistiques, financiers et matériels mis à la disposition des jeunes patriotes qui leur a permis de résister pour permettre à la République de rester debout. D’ailleurs, il n’est point besoin de rappeler que les actes posés par le Directeur Général du Port Autonome sont légion. Ressortissant de l’ouest (région du moyen Cavally) comme bien d’autres cadres, Marcel Gossio, dont l’admiration pour Laurent Gbagbo est une vérité de Lapalisse, apparaît comme l’un des chevaux les plus sûrs du candidat Laurent Gbagbo au cours des prochaines joutes électorales. Sa fidélité, son courage, sa compétence le positionne comme le « barbouze » qui à n’en point douter ratissera large pour garantir la victoire du président sortant. D’ailleurs, ce ne sont pas les populations de Port-Bouët qui diront le contraire, elles qui soutiennent mordicus que le Dg du PAA est un homme affable, à l’écoute des populations et surtout disponible. Comme on peut le constater, avec Ahoua Don Melo (BNETD), Alphonse Mangly (Douanes), Zirignon Ottro (PCA Sir), Kla Sylvanus (ATCI) pour ne citer que ceux-là, la victoire du candidat Laurent Gbagbo est presqu’assurée.
Koné Moussa.