Les phases finales de la première coupe du Monde de Football qui se deroule en Afrique démarrent le 11 juin prochain, en Afrique du Sud. Les pays qualifiés ont un schéma clair pour leur préparation. Exceptée la Côte d’Ivoire dont le programme de préparation reste un mystère. Pour leur deuxième participation d’affiliée dans l’histoire du mondial, les tergiversations de l’encadrement technique des Eléphants sont perceptibles. Göran Erickson a reçu en héritage une équipe des Eléphants en déconfiture. Les sportifs ivoiriens espèrent qu’ils sauront relever le défi après leur désastreuse campagne en coupe d’Afrique des Nations en Angola en janvier dernier. Avant la publication de la liste des sélectionnés pour le mondial sud africain, les pays africains qualifiés ont un planning de préparation à representer. Le Cameroun, le Nigeria, l’Algérie, le Ghana et l’Afrique du Sud connaissent les dates précises, les lieux et ont clairement identifié leurs adversaires en amical. Chez les Eléphants, Erickson est au stade de supervision des joueurs. Or, en Côte d’Ivoire, l’on s’impatiente de connaître le programme complet de la préparation et les adversaires qui vont meubler cette phase. En dehors de ces inquiétudes, du reste, légitimes, les Ivoiriens voudraient savoir si Erickson a bien fait le tour des problèmes de fond concernant les dissensions entres les joueurs Ivoiriens. Même le président de la Fif, Jacques Anouma est imprégné du problème d’égo qui sévit dans le rang de ses protégés. Or, au mondial, il serait absurde d’aller démontrer à la face du monde entier, que la Côte d’Ivoire a des noms de joueurs sur du papier mais cela n’est pas une équipe de football. Erickson ignore peut être que les adversaires des Eléphants dans les phases de poule se sont bonifiés. Au dernier classement Fifa pour entrer de plein pied dans le mondial, le Portugal, premier adversaire de la Côte d’Ivoire en Afrique de Sud pointe à la troisième place pendant que le Brésil à ravi le premier rang à l’Espagne. En ce qui concerne les Eléphants, la dégringolade au niveau du classement Fifa donne à réfléchir. 27ème mondial, ces Eléphants là ne peuvent pas effrayer qui que ce soit au cours des joutes mondiales à venir. Bien au contraire, ils sont en mauvaise posture. Pour le sportif ordinaire, le technicien suédois des Eléphants devait plutôt s’atteler à rebâtir une équipe que de « voyager » de supervision en supervision pour ne devenir qu’un simple superviseur du mondial au moment où ses homologues useront de stratégies pour marquer de leur empreintes la coupe du monde au pays de Mandela.
François N’GORAN
Cette équipe …
Rebelote ! C’est ce qu’il faut penser de l’équipe nationale de Côte d’Ivoire. Une équipe qui regorge de talents, de stars (on les voit jouer en Europe) mais sans lauriers. Des dirigeants qui négocient des portables avec des joueurs, ses joueurs qui quémandent la sélection. Un sélectionneur qui n’a jamais pu monter une équipe. A la Fédération Ivoirienne de Football, ce qu’on appelle la FIF, il faut manger, manger et surtout se taire. L’homme qui officie, M. Jacques Anoma, n’accepte pas la contradiction. A quelques semaines de la Coupe Monde de Football, grand rendez vous de tous les temps. Les dirigeants ivoiriens travaillent à aller montrer piètre figure face au Portugal, le Brésil et la Corée du Nord. La tactique est simple. On sort des milliards au milieu de la FIF, l’entraîneur se promène en Europe sous prétexte que les joueurs ivoiriens sont dans cette zone. Les journalistes sportifs émargeant à la FIF sont là pour occulter l’information. Ils entretiennent les relations. Pour eux tout se passe bien. La vérité concerne les joueurs qui ont des rendements dans leurs clubs respectifs mais quand ils se retrouvent en l’équipe nationale, rien du tout. Une équipe de stars internationales sans trophée. Une équipe sans repère, une équipe qui n’a jamais eu de bons entraîneurs. Des entraîneurs choisis par des responsables peu ou pas du tout concerné par l’enjeu. Drogba est dit malade, Aruna Dindané est en négociation, Copa Barry inquiète, Romaric traîne les pieds… Les choses ne vont pas au mieux dans le meilleur des mondes. On compte pourtant représenter la Côte d’Ivoire dans le pays de Nelson Mandela. Cette équipe… elle va nous honnir. Le Brésil, le Portugal et la Corée du Nord se préparent, la Côte d’Ivoire se regarde. Tout est fait pour que la Coupe du Monde donne le tournis aux Eléphants.
Traoré B. Teguerê
François N’GORAN
Cette équipe …
Rebelote ! C’est ce qu’il faut penser de l’équipe nationale de Côte d’Ivoire. Une équipe qui regorge de talents, de stars (on les voit jouer en Europe) mais sans lauriers. Des dirigeants qui négocient des portables avec des joueurs, ses joueurs qui quémandent la sélection. Un sélectionneur qui n’a jamais pu monter une équipe. A la Fédération Ivoirienne de Football, ce qu’on appelle la FIF, il faut manger, manger et surtout se taire. L’homme qui officie, M. Jacques Anoma, n’accepte pas la contradiction. A quelques semaines de la Coupe Monde de Football, grand rendez vous de tous les temps. Les dirigeants ivoiriens travaillent à aller montrer piètre figure face au Portugal, le Brésil et la Corée du Nord. La tactique est simple. On sort des milliards au milieu de la FIF, l’entraîneur se promène en Europe sous prétexte que les joueurs ivoiriens sont dans cette zone. Les journalistes sportifs émargeant à la FIF sont là pour occulter l’information. Ils entretiennent les relations. Pour eux tout se passe bien. La vérité concerne les joueurs qui ont des rendements dans leurs clubs respectifs mais quand ils se retrouvent en l’équipe nationale, rien du tout. Une équipe de stars internationales sans trophée. Une équipe sans repère, une équipe qui n’a jamais eu de bons entraîneurs. Des entraîneurs choisis par des responsables peu ou pas du tout concerné par l’enjeu. Drogba est dit malade, Aruna Dindané est en négociation, Copa Barry inquiète, Romaric traîne les pieds… Les choses ne vont pas au mieux dans le meilleur des mondes. On compte pourtant représenter la Côte d’Ivoire dans le pays de Nelson Mandela. Cette équipe… elle va nous honnir. Le Brésil, le Portugal et la Corée du Nord se préparent, la Côte d’Ivoire se regarde. Tout est fait pour que la Coupe du Monde donne le tournis aux Eléphants.
Traoré B. Teguerê
