Au Front Populaire Ivoirien (Fpi), le parti au pouvoir, on ne tergiverse pas quand il s’agit de défendre la position de M. Laurent Gbagbo. Les arcanes du pouvoir se mettent rapidement en éveil. L’homme ou la femme qui a osé, est livré à la vindicte populaire. Ne sommes nous pas au Front Populaire Ivoirien ? Il faut dire au quidam qui rouspéte qu’il a frappé à la mauvaise porte. Tout peut s’ouvrir sur son passé. Le cas de M. Koulibaly est traité autrement. On ne veut pas l’affronter. Il est de ceux qui savent des choses à cacher. Que M. Mamadou Koulibaly se retrouve à une fête dite de LIBERTE est un non évènement. Pourquoi ne va-t-il pas à l’Assemblée Nationale dont il est le président ? Le budget national, il s’en moque. Au Fpi, personne ne veut parler des écarts de M. Koulibaly. La directive ? Sauver les apparences. M. Mamadou Koulibaly est un refondateur. Il doit rester et surtout participer aux rencontres du Fpi. Les apparences, c’est dit plus haut, il faut les entretenir. M. Koulibaly lui, a sa pensée. Il sait où il va. Il n’a donc pas besoin de s’acquoquiner à des prédateurs. D’où son retrait que l’on veut forcer, mais en réalité décidé. La refondation ? M. Koulibaly n’en veut plus. En tout cas pas du modèle de M. Gbagbo. M. Gbagbo qui se dit Houphouëtiste quand M. Koulibaly reste son farouche adversaire.
T B. T
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