Le nouveau sélectionneur des Eléphants, Sven-Göran Eriksson, a été présenté hier au siège de la Fédération ivoirienne de football par le président de cette instance, Jacques Anouma. Le guide technique des Eléphants en a profité pour échanger sur son équipe et le challenge de la Coupe du monde.
Son parcours, son palmarès et son vécu en Coupe du monde ont convaincu la Fédération ivoirienne de football (Fif). C’est donc dans ses nouveaux habits de sélectionneur de l’équipe nationale de football de Côte d’Ivoire que Sven-Göran Eriksson est arrivé lundi à Abidjan. Le président de la Fif, Jacques Anouma, a profité de la conférence de presse d’hier, au siège de l’instance fédérale, pour présenter le nouveau patron du banc des Eléphants. « J’éprouve un réel plaisir à présenter Eriksson. Il n’est pas venu plus tôt parce que sur sa liste des 30 premiers noms ne figurent que deux gardiens qui jouent ici. Il avait donc besoin d’être plus en Europe qu’ici pour superviser les professionnels. J’ai souhaité qu’il vienne pour le présenter au peuple ivoirien », a dit le patron du football ivoirien. Pour finir, il a souhaité que le, peuple ivoirien, la presse sportive fassent corps avec la sélection. Et s’est élevé vigoureusement contre la manifestation de la négation autour des Eléphants qui a souvent caractérisé certaines personnes.
De sa nomination à la tête des Eléphants
C’est un Eriksson relaxe que le président de la Fif a présenté hier à la Maison de verre de Treichville. Le technicien suédois de 62 ans était quasiment déjà dans son élément. Et prêt à attaquer son nouveau challenge. « Quand je vois le nombre de photographes, de journalistes et de cameramen, je sens qu’il y a un réel engouement autour de la sélection. Je remercie la Fif de me donner l’occasion d’entraîner la Côte d’Ivoire à la Coupe du monde ».
Du challenge de la Coupe du monde
Eriksson connaît l’ampleur de la tâche qui l’attend. Il sait également qu’il ne dispose pas suffisamment de temps pour permettre aux Eléphants d’avoir un beau visage en Afrique du Sud lors des premiers pas des Ivoiriens à ce Mondial contre le Portugal, le Brésil et la Corée du Nord. Malgré tout, l’ancien boss de la sélection anglaise reste optimiste. « Je suis très optimiste quant à la mission que la Fif me confie. La participation à une Coupe du monde demande beaucoup de dispositions à prendre. Un mois durant, j’ai rencontré une vingtaine de joueurs. Ils disent qu’ils sont déterminés à se battre. La Côte d’Ivoire regorge de talents qui font partie des meilleurs au monde. On ne peut pas tout chambouler en deux semaines. Je vais rassembler ces talents, les mettre ensemble pour en faire une équipe. Sinon, la qualité est là, mais ce n’est pas suffisant. Si on ne joue pas en équipe on n’y arrivera pas », souligne le viking. Le premier regroupement a lieu du 17 au 23 mai en Suisse. Avec les présélectionnés dont les championnats sont terminés. Le second va se dérouler du 24 mai au 9 juin, date du départ pour l’Afrique du Sud. Deux matches amicaux sont au menu. Le Paraguay et le Japon seront les sparring-partners des Eléphants avant le Mondial.
De la liste des trente premiers noms
La Fifa a exigé que la liste des 30 présélectionnés des 32 pays qualifiés lui soit communiquée le 11 mai. La Côte d’Ivoire l’a fait. Et Eriksson l’a rendue hier. A regarder de près, la Côte d’Ivoire n’a pas mieux en Europe comme professionnels. A part Ya Konan qui méritait quand même d’y figurer, il n’y a pas débat pour le reste. Et Göran sait que tout choix est subjectif. « La liste des 30 va susciter des débats, c’est normal. Je l’ai faite sans tenir compte de quelque faveur que ce soit. Je n’ai d’opinion favorable à aucun joueur. J’ai une vision extérieure. Cette liste est le résultat d’un travail intense avec les joueurs, les entraîneurs, les manageurs. C’est donc une liste objective », rassure-t-il.
Tibet Kipré
Son parcours, son palmarès et son vécu en Coupe du monde ont convaincu la Fédération ivoirienne de football (Fif). C’est donc dans ses nouveaux habits de sélectionneur de l’équipe nationale de football de Côte d’Ivoire que Sven-Göran Eriksson est arrivé lundi à Abidjan. Le président de la Fif, Jacques Anouma, a profité de la conférence de presse d’hier, au siège de l’instance fédérale, pour présenter le nouveau patron du banc des Eléphants. « J’éprouve un réel plaisir à présenter Eriksson. Il n’est pas venu plus tôt parce que sur sa liste des 30 premiers noms ne figurent que deux gardiens qui jouent ici. Il avait donc besoin d’être plus en Europe qu’ici pour superviser les professionnels. J’ai souhaité qu’il vienne pour le présenter au peuple ivoirien », a dit le patron du football ivoirien. Pour finir, il a souhaité que le, peuple ivoirien, la presse sportive fassent corps avec la sélection. Et s’est élevé vigoureusement contre la manifestation de la négation autour des Eléphants qui a souvent caractérisé certaines personnes.
De sa nomination à la tête des Eléphants
C’est un Eriksson relaxe que le président de la Fif a présenté hier à la Maison de verre de Treichville. Le technicien suédois de 62 ans était quasiment déjà dans son élément. Et prêt à attaquer son nouveau challenge. « Quand je vois le nombre de photographes, de journalistes et de cameramen, je sens qu’il y a un réel engouement autour de la sélection. Je remercie la Fif de me donner l’occasion d’entraîner la Côte d’Ivoire à la Coupe du monde ».
Du challenge de la Coupe du monde
Eriksson connaît l’ampleur de la tâche qui l’attend. Il sait également qu’il ne dispose pas suffisamment de temps pour permettre aux Eléphants d’avoir un beau visage en Afrique du Sud lors des premiers pas des Ivoiriens à ce Mondial contre le Portugal, le Brésil et la Corée du Nord. Malgré tout, l’ancien boss de la sélection anglaise reste optimiste. « Je suis très optimiste quant à la mission que la Fif me confie. La participation à une Coupe du monde demande beaucoup de dispositions à prendre. Un mois durant, j’ai rencontré une vingtaine de joueurs. Ils disent qu’ils sont déterminés à se battre. La Côte d’Ivoire regorge de talents qui font partie des meilleurs au monde. On ne peut pas tout chambouler en deux semaines. Je vais rassembler ces talents, les mettre ensemble pour en faire une équipe. Sinon, la qualité est là, mais ce n’est pas suffisant. Si on ne joue pas en équipe on n’y arrivera pas », souligne le viking. Le premier regroupement a lieu du 17 au 23 mai en Suisse. Avec les présélectionnés dont les championnats sont terminés. Le second va se dérouler du 24 mai au 9 juin, date du départ pour l’Afrique du Sud. Deux matches amicaux sont au menu. Le Paraguay et le Japon seront les sparring-partners des Eléphants avant le Mondial.
De la liste des trente premiers noms
La Fifa a exigé que la liste des 30 présélectionnés des 32 pays qualifiés lui soit communiquée le 11 mai. La Côte d’Ivoire l’a fait. Et Eriksson l’a rendue hier. A regarder de près, la Côte d’Ivoire n’a pas mieux en Europe comme professionnels. A part Ya Konan qui méritait quand même d’y figurer, il n’y a pas débat pour le reste. Et Göran sait que tout choix est subjectif. « La liste des 30 va susciter des débats, c’est normal. Je l’ai faite sans tenir compte de quelque faveur que ce soit. Je n’ai d’opinion favorable à aucun joueur. J’ai une vision extérieure. Cette liste est le résultat d’un travail intense avec les joueurs, les entraîneurs, les manageurs. C’est donc une liste objective », rassure-t-il.
Tibet Kipré