Reussirbusiness.com - Les assemblées générales annuelles de la Banque africaine de développement (BAD) devraient se tenir cette année du 27 au 29 mai 2010 à Abidjan en Cote d’Ivoire. Cet évènement capital sonne comme le retour de cette institution à son siège naturel.
C’est cette rencontre annuelle du Conseil des gouverneurs organe responsables des résolutions sur des questions touchant à la vie de la banque qui constitue les assemblées générales de la BAD.
Donc, ce sont ces gouverneurs qui se réunissent sur deux jours pour discuter de la vie et donner des orientations à la Direction de la banque pour l’année qui court. L’année dernière, en 2009, les assemblées se sont déroulées à Dakar, au Sénégal, et c’est à cette occasion que le Conseil des gouverneurs a décidé du pays qui doit accueillir la réunion de 2010. C’est donc à Dakar, au mois de mai 2009, que la Côte d’Ivoire a été désignée comme étant le pays hôte des assemblées 2010. Elles réuniront 77 pays, dont 50 pays africains et 27 pays non africains.
Pour le ministre ivoirien du plan et du développement Paul Antoine Bohoun Bouabré ‘’ce retour’’ des assemblées générales de la BAD à Abidjan sera l’occasion de montrer aux partenaires que la Cote d’Ivoire a retrouvé sa place dans la concert des nations. Car depuis 2002, son pays, siège naturel de la banque n’a plus organisé de telle manifestation. Pourtant, les conventions internationales exigent que les villes abritant les sièges doivent organiser une année sur deux les assemblées générales.
‘’ Nous avons tenu à briser cette chaîne qui fait croire que la Côte d’Ivoire n’offre pas de conditions de sécurité suffisantes pour organiser les assemblées et même pour accueillir à nouveau les activités opérationnelles. Nous disons « venez en Côte d’Ivoire ». Vous verrez que notre pays n’a rien perdu de ses capacités à organiser les assemblées de la Banque africaine de développement’’ a insisté le ministre.
Ce pendant à quelques jours, l’opposition ivoirienne regroupée au sein du RHDP, coalition dite houphouétiste mais soutenant la rébellion armée, profère, par ses jeunes interposés, des menaces de troubles à l’ordre public pour espérer faire annuler cette réunion de la BAD. Pour elle, la BAD n’est pas la bienvenue parce qu’elle avait fait le choix de quitter le pays pendant les années troubles pour Tunis.
C’est cette rencontre annuelle du Conseil des gouverneurs organe responsables des résolutions sur des questions touchant à la vie de la banque qui constitue les assemblées générales de la BAD.
Donc, ce sont ces gouverneurs qui se réunissent sur deux jours pour discuter de la vie et donner des orientations à la Direction de la banque pour l’année qui court. L’année dernière, en 2009, les assemblées se sont déroulées à Dakar, au Sénégal, et c’est à cette occasion que le Conseil des gouverneurs a décidé du pays qui doit accueillir la réunion de 2010. C’est donc à Dakar, au mois de mai 2009, que la Côte d’Ivoire a été désignée comme étant le pays hôte des assemblées 2010. Elles réuniront 77 pays, dont 50 pays africains et 27 pays non africains.
Pour le ministre ivoirien du plan et du développement Paul Antoine Bohoun Bouabré ‘’ce retour’’ des assemblées générales de la BAD à Abidjan sera l’occasion de montrer aux partenaires que la Cote d’Ivoire a retrouvé sa place dans la concert des nations. Car depuis 2002, son pays, siège naturel de la banque n’a plus organisé de telle manifestation. Pourtant, les conventions internationales exigent que les villes abritant les sièges doivent organiser une année sur deux les assemblées générales.
‘’ Nous avons tenu à briser cette chaîne qui fait croire que la Côte d’Ivoire n’offre pas de conditions de sécurité suffisantes pour organiser les assemblées et même pour accueillir à nouveau les activités opérationnelles. Nous disons « venez en Côte d’Ivoire ». Vous verrez que notre pays n’a rien perdu de ses capacités à organiser les assemblées de la Banque africaine de développement’’ a insisté le ministre.
Ce pendant à quelques jours, l’opposition ivoirienne regroupée au sein du RHDP, coalition dite houphouétiste mais soutenant la rébellion armée, profère, par ses jeunes interposés, des menaces de troubles à l’ordre public pour espérer faire annuler cette réunion de la BAD. Pour elle, la BAD n’est pas la bienvenue parce qu’elle avait fait le choix de quitter le pays pendant les années troubles pour Tunis.