A une dizaine de jours de l’ouverture des assemblées annuelles de la Banque africaine de développement, Laurent Gbagbo est allé voir le site qui va accueillir les assises.
Rien, absolument rien, ne s’oppose désormais à la tenue des prochaines assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (Bad), prévues du 24 au 28 mai à Abidjan. «Nous sommes prêts pour recevoir les assemblées annuelles de la Bad. Je voudrais le dire à la Côte d’Ivoire, à la Bad et au monde. La Bad peut venir travailler dans des conditions agréables», a joyeusement lancé mercredi à Abidjan Laurent Gbagbo au terme de la visite guidée qu’il a effectuée à l’hôtel Ivoire en pleine réhabilitation. En fait, la rénovation de la partie de l’édifice qui accueillera les assises est pratiquement terminée. «Je voudrais féliciter l’architecte Pierre Fakhoury pour le travail. Avec lui, on ne s’attendait pas à moins. (...) Nos amis de la Bad sont venus plusieurs fois visiter le chantier. Eux-mêmes sont contents », a-t-il déclaré, ébloui par la dextérité du technicien. En effet, pendant plusieurs mois, Pierre Fakhoury Operator-Côte d’Ivoire (PFO-CI), a dû puiser au tréfonds de la beauté pour donner un visage aussi merveilleux que fantastique à l’hôtel Ivoire qui présente désormais une allure majestueuse avec de meilleures commodités. L’hôtel Ivoire rénové, c’est le nouvel habillage de la tour principale ; de l’ensemble des restaurants et leurs cuisines ; des bureaux au rez-de-chaussée ; des premier, deuxième et troisième étages des bâtiments (principal et extension) ; de la patinoire aménagée en salle de banquets ; de l’esplanade ; du totem portant le masque totalement restauré en polyester pour lui donner une durée de vie prolongée ; du plafond du hall totalement refait avec des écrans plasma ; des salles entièrement relookées dont le Palais des Congrès avec ses luminaires de dernière génération et une capacité pouvant passer de 13.000 à 16.000 places selon l’importance des événements, adossée une régie de consoles numériques pouvant diffuser jusqu’à 10 kilowatts. Le travail a été réalisé par une multitude d’ouvriers qui ont travaillé 7 jours sur 7 pour réaliser ce projet dit «Programme Bad». Il a bénéficié de l’appui technique du Bureau national d’études techniques et de développement (Bnetd). Pour Laurent Gbagbo, les assises vont accoucher de grandes décisions. L’institution va-t-elle retourner en Côte d’Ivoire, à Abidjan, au Plateau, à la rue des Banques ? Le chef de l’Etat n’est pas allé à l’aventure. Tout simplement, «On va changer le capital de la Bad ; on va élire ou réélire un nouveau président », a-t-il lâché. Par ailleurs, après les assises, les travaux de réhabilitation reprendront. Il faudra encore 1 à 1 an et demi pour finir. «Aujourd’hui, nous avons réhabilité ce qu’il faut pour accueillir les travaux de la Bad. Mais, nous n’avons pas fini la réhabilitation de l’hôtel Ivoire », a expliqué M. Gbagbo, appelant à davantage de rigueur dans la gestion. « On ne peut pas laisser l’hôtel Ivoire mourir, puisque c’est un monument de la Côte d’Ivoire, de la ville d’Abidjan. Sur toutes les cartes postales, c’est l’hôtel Ivoire qui représente la ville d’Abidjan. Il faut, dès à présent, instaurer la rigueur, pour que plus jamais, on n’en arrive à une telle situation », a-t-il lancé.
Lanciné Bakayoko
Rien, absolument rien, ne s’oppose désormais à la tenue des prochaines assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (Bad), prévues du 24 au 28 mai à Abidjan. «Nous sommes prêts pour recevoir les assemblées annuelles de la Bad. Je voudrais le dire à la Côte d’Ivoire, à la Bad et au monde. La Bad peut venir travailler dans des conditions agréables», a joyeusement lancé mercredi à Abidjan Laurent Gbagbo au terme de la visite guidée qu’il a effectuée à l’hôtel Ivoire en pleine réhabilitation. En fait, la rénovation de la partie de l’édifice qui accueillera les assises est pratiquement terminée. «Je voudrais féliciter l’architecte Pierre Fakhoury pour le travail. Avec lui, on ne s’attendait pas à moins. (...) Nos amis de la Bad sont venus plusieurs fois visiter le chantier. Eux-mêmes sont contents », a-t-il déclaré, ébloui par la dextérité du technicien. En effet, pendant plusieurs mois, Pierre Fakhoury Operator-Côte d’Ivoire (PFO-CI), a dû puiser au tréfonds de la beauté pour donner un visage aussi merveilleux que fantastique à l’hôtel Ivoire qui présente désormais une allure majestueuse avec de meilleures commodités. L’hôtel Ivoire rénové, c’est le nouvel habillage de la tour principale ; de l’ensemble des restaurants et leurs cuisines ; des bureaux au rez-de-chaussée ; des premier, deuxième et troisième étages des bâtiments (principal et extension) ; de la patinoire aménagée en salle de banquets ; de l’esplanade ; du totem portant le masque totalement restauré en polyester pour lui donner une durée de vie prolongée ; du plafond du hall totalement refait avec des écrans plasma ; des salles entièrement relookées dont le Palais des Congrès avec ses luminaires de dernière génération et une capacité pouvant passer de 13.000 à 16.000 places selon l’importance des événements, adossée une régie de consoles numériques pouvant diffuser jusqu’à 10 kilowatts. Le travail a été réalisé par une multitude d’ouvriers qui ont travaillé 7 jours sur 7 pour réaliser ce projet dit «Programme Bad». Il a bénéficié de l’appui technique du Bureau national d’études techniques et de développement (Bnetd). Pour Laurent Gbagbo, les assises vont accoucher de grandes décisions. L’institution va-t-elle retourner en Côte d’Ivoire, à Abidjan, au Plateau, à la rue des Banques ? Le chef de l’Etat n’est pas allé à l’aventure. Tout simplement, «On va changer le capital de la Bad ; on va élire ou réélire un nouveau président », a-t-il lâché. Par ailleurs, après les assises, les travaux de réhabilitation reprendront. Il faudra encore 1 à 1 an et demi pour finir. «Aujourd’hui, nous avons réhabilité ce qu’il faut pour accueillir les travaux de la Bad. Mais, nous n’avons pas fini la réhabilitation de l’hôtel Ivoire », a expliqué M. Gbagbo, appelant à davantage de rigueur dans la gestion. « On ne peut pas laisser l’hôtel Ivoire mourir, puisque c’est un monument de la Côte d’Ivoire, de la ville d’Abidjan. Sur toutes les cartes postales, c’est l’hôtel Ivoire qui représente la ville d’Abidjan. Il faut, dès à présent, instaurer la rigueur, pour que plus jamais, on n’en arrive à une telle situation », a-t-il lancé.
Lanciné Bakayoko
