Le gouvernement ivoirien prend un engagement fort à l’occasion de la Journée mondiale des télécommunications et de la société de l’information. Le ministre des Nouvelles technologies de l’information et de la communication (Ntic), Jacques Houga Bi Gohorey, dans la déclaration du gouvernement, pour cette journée du 17 mai, montre la détermination du pays à démocratiser les technologies de l’information. «En ce jour, le gouvernement de la Côte d’Ivoire s’engage à vulgariser les technologies de l’information et de la communication sur l’ensemble du territoire», annonce-t-il. Fidèle au thème de cette année, « vivre mieux en ville grâce aux technologies de l’information et de la communication», l’État entend prioriser ses actions, en commençant par les villes.
La justification est simple. Et le ministre des Ntic de souligner que, malgré les bienfaits de la télévision, du téléphone mobile ou de l’Internet, contribuant à une vie plus agréable pour des milliards de personnes dans le monde, «ces technologies restent largement inaccessibles pour une grande majorité de nos concitoyens vivant dans les villes». Les infrastructures appropriées faisant défaut.
Les premiers bénéficiaires des actions à mener sont ciblés: les universités et les écoles. Et le premier responsable des Ntic de dévoiler alors l’action à mener. C’est un défi. Il s’agit de «la connexion de tous les établissements, en particulier les écoles, dans les zones urbaines et rurales», souligne M. Houga Bi Gohorey. Pour cela, la Côte d’Ivoire s’engage à dégager d’importants moyens sur les cinq années à venir. L’affectation des ressources est la suivante selon le ministre: «cette contribution exceptionnelle concerne l’ensemble des enseignements et couvre la formation des enseignants, l’équipement et la mise en réseau des établissements ainsi que la production et la diffusion de contenus adaptés ».
Le jeu en vaut la chandelle. En les connectant, l’État veut permettre aux jeunes et aux autres membres de la communauté d’accéder au savoir et à l’information. Avec pour conséquence directe, la création de nouveaux emplois et l’établissement d’un environnement propice au développement socio-économique.
Au passage, M. Houga Bi Gohorey rappelle que cette année, les journées nationales des technologies de l’information et de la communication se tiendront du 1er au 4 juin prochain.
Adama Koné
La justification est simple. Et le ministre des Ntic de souligner que, malgré les bienfaits de la télévision, du téléphone mobile ou de l’Internet, contribuant à une vie plus agréable pour des milliards de personnes dans le monde, «ces technologies restent largement inaccessibles pour une grande majorité de nos concitoyens vivant dans les villes». Les infrastructures appropriées faisant défaut.
Les premiers bénéficiaires des actions à mener sont ciblés: les universités et les écoles. Et le premier responsable des Ntic de dévoiler alors l’action à mener. C’est un défi. Il s’agit de «la connexion de tous les établissements, en particulier les écoles, dans les zones urbaines et rurales», souligne M. Houga Bi Gohorey. Pour cela, la Côte d’Ivoire s’engage à dégager d’importants moyens sur les cinq années à venir. L’affectation des ressources est la suivante selon le ministre: «cette contribution exceptionnelle concerne l’ensemble des enseignements et couvre la formation des enseignants, l’équipement et la mise en réseau des établissements ainsi que la production et la diffusion de contenus adaptés ».
Le jeu en vaut la chandelle. En les connectant, l’État veut permettre aux jeunes et aux autres membres de la communauté d’accéder au savoir et à l’information. Avec pour conséquence directe, la création de nouveaux emplois et l’établissement d’un environnement propice au développement socio-économique.
Au passage, M. Houga Bi Gohorey rappelle que cette année, les journées nationales des technologies de l’information et de la communication se tiendront du 1er au 4 juin prochain.
Adama Koné