La Coupe du monde approche à grands pas. En pleine préparation avec ses coéquipiers, à Montreux en Suisse, le défenseur axial de Manchester City partage son optimisme.
Vous avez achevé la saison de Premier League à une modeste 5e place, tout de même synonyme de L’Europa Ligue. tes-vous satisfait ?
Non. L’objectif n’a tout simplement pas été atteint. Nous voulions jouer la Ligue des champions en décrochant la 4e place qualificative pour le tour préliminaire. Au lieu de cela, nous finissons à la 5e. C’est vraiment dommage. Avec le groupe que nous avons, nous méritions mieux. Mais bon, ce n’est finalement pas si mauvais que ça. Ne pas atteindre l’objectif est désagréable, mais nous sommes tout de même européens.
Que retenez-vous de cette première saison à Manchester City ?
Cela m’a beaucoup apporté. Que ce soit sur le plan humain ou sportif, j’ai beaucoup changé. Mais ce n’était pas simple. J’ai quitté Arsenal l’an dernier alors que je n’avais connu que ce club en arrivant de la Côte d’Ivoire. Cela a été vraiment dur d’en partir. Puis j’ai réussi à m’adapter à Manchester City. J’ai été très bien entouré.
Qui vous a le plus aidé à votre arrivée ?
Il y avait mon grand ami Manu (Adebayor), qui m’a tout de suite mis à l’aise. Puis Vincent (Kompany). Ce sont deux mecs supers !
Arsenal ne vous manque-t-il pas?
Comme j’ai dit, le départ a été dur. Il y a eu beaucoup d’émotions car j’avais tous mes amis là-bas. Mais la vie réserve toujours des surprises. Aujourd’hui, je suis très apprécié ici. Et je m’y sens bien.
Dans quel club rêveriez-vous de finir votre carrière ?
Je souhaite donc finir à Manchester City, tout simplement. Je ne me vois pas ailleurs. Je me suis bien adapté et tout se passe bien comme quand j’étais à Arsenal.
Votre compatriote Didier Drogba a déclaré que «jouer la Coupe du monde était une fierté» pour la Côte d’Ivoire...
Il a raison ! C’est la deuxième fois que le pays dispute la compétition. Cela montre qu’il y a de bonnes générations chez nous, avec de la qualité dans le jeu. Maintenant, c’est un honneur d’aller en Afrique du Sud, sur notre continent, pour participer à cette fête mondiale du football. Nous savons que nous allons participer à cette fête mondiale du football. Il va donc falloir batailler car le groupe est difficile. Les deux meilleures équipes au monde, le Brésil et le Portugal, vont être dures à jouer, et il faudra se méfier de la Corée du Nord. Mais nous avons une carte à jouer, nous le savons. Les outsiders que nous sommes, vont surprendre...
Vous avez achevé la saison de Premier League à une modeste 5e place, tout de même synonyme de L’Europa Ligue. tes-vous satisfait ?
Non. L’objectif n’a tout simplement pas été atteint. Nous voulions jouer la Ligue des champions en décrochant la 4e place qualificative pour le tour préliminaire. Au lieu de cela, nous finissons à la 5e. C’est vraiment dommage. Avec le groupe que nous avons, nous méritions mieux. Mais bon, ce n’est finalement pas si mauvais que ça. Ne pas atteindre l’objectif est désagréable, mais nous sommes tout de même européens.
Que retenez-vous de cette première saison à Manchester City ?
Cela m’a beaucoup apporté. Que ce soit sur le plan humain ou sportif, j’ai beaucoup changé. Mais ce n’était pas simple. J’ai quitté Arsenal l’an dernier alors que je n’avais connu que ce club en arrivant de la Côte d’Ivoire. Cela a été vraiment dur d’en partir. Puis j’ai réussi à m’adapter à Manchester City. J’ai été très bien entouré.
Qui vous a le plus aidé à votre arrivée ?
Il y avait mon grand ami Manu (Adebayor), qui m’a tout de suite mis à l’aise. Puis Vincent (Kompany). Ce sont deux mecs supers !
Arsenal ne vous manque-t-il pas?
Comme j’ai dit, le départ a été dur. Il y a eu beaucoup d’émotions car j’avais tous mes amis là-bas. Mais la vie réserve toujours des surprises. Aujourd’hui, je suis très apprécié ici. Et je m’y sens bien.
Dans quel club rêveriez-vous de finir votre carrière ?
Je souhaite donc finir à Manchester City, tout simplement. Je ne me vois pas ailleurs. Je me suis bien adapté et tout se passe bien comme quand j’étais à Arsenal.
Votre compatriote Didier Drogba a déclaré que «jouer la Coupe du monde était une fierté» pour la Côte d’Ivoire...
Il a raison ! C’est la deuxième fois que le pays dispute la compétition. Cela montre qu’il y a de bonnes générations chez nous, avec de la qualité dans le jeu. Maintenant, c’est un honneur d’aller en Afrique du Sud, sur notre continent, pour participer à cette fête mondiale du football. Nous savons que nous allons participer à cette fête mondiale du football. Il va donc falloir batailler car le groupe est difficile. Les deux meilleures équipes au monde, le Brésil et le Portugal, vont être dures à jouer, et il faudra se méfier de la Corée du Nord. Mais nous avons une carte à jouer, nous le savons. Les outsiders que nous sommes, vont surprendre...