Convoqué par Sven-Göran Eriksson pour le stage de préparation au Mondial qui débute le 23 mai, l’ailier ivoirien Kanga Akalé est aux anges. Le Lensois sait qu’il revient de loin.
Condamné au banc durant la première partie de la saison, le milieu offensif excentré du RC Lens, Kanga Akalé, a effectué un retour édifiant à partir du mois de février, au point d’avoir été retenu dans les 30 présélectionnés pour le Mondial par Sven-Göran Eriksson. L’intéressé situe lui-même son renouveau à partir du seizième de finale de la Coupe de France contre Marseille. Ce jour-là, l’ancien Auxerrois avait crevé l’écran et fait bien des misères aux Phocéens. Aujourd’hui, sa présence parmi les 30 Eléphants le ravit. « Je ne m'y attendais pas trop, avoue-t-il dans les colonnes de La Voix des Sports. Être dans les trente, ça se mérite. Maintenant, à mes yeux, j'ai une chance sur deux de faire partie des 23. Le travail a payé même si le plus dur reste à faire.»
En sélection, le miraculé du Nord mise un peu sur sa spécificité pour faire la différence. « En plus, on manque de gauchers dans cette équipe, ajoute-t-il avec malice. Il n'y a que Romaric à jouer du pied gauche préférentiellement. C'est ma chance. J'irai en stage pour me montrer. Mais, sur le plan mental, c'est une bonne chose d'être toujours dans la course pour disputer ma deuxième phase finale de Coupe du monde après 2006. » Cela tombe bien, cette formation de Côte d’Ivoire a sans doute besoin de morts de faim pour se sublimer encore plus.
F.C (Rédaction Football365/FootSud
Condamné au banc durant la première partie de la saison, le milieu offensif excentré du RC Lens, Kanga Akalé, a effectué un retour édifiant à partir du mois de février, au point d’avoir été retenu dans les 30 présélectionnés pour le Mondial par Sven-Göran Eriksson. L’intéressé situe lui-même son renouveau à partir du seizième de finale de la Coupe de France contre Marseille. Ce jour-là, l’ancien Auxerrois avait crevé l’écran et fait bien des misères aux Phocéens. Aujourd’hui, sa présence parmi les 30 Eléphants le ravit. « Je ne m'y attendais pas trop, avoue-t-il dans les colonnes de La Voix des Sports. Être dans les trente, ça se mérite. Maintenant, à mes yeux, j'ai une chance sur deux de faire partie des 23. Le travail a payé même si le plus dur reste à faire.»
En sélection, le miraculé du Nord mise un peu sur sa spécificité pour faire la différence. « En plus, on manque de gauchers dans cette équipe, ajoute-t-il avec malice. Il n'y a que Romaric à jouer du pied gauche préférentiellement. C'est ma chance. J'irai en stage pour me montrer. Mais, sur le plan mental, c'est une bonne chose d'être toujours dans la course pour disputer ma deuxième phase finale de Coupe du monde après 2006. » Cela tombe bien, cette formation de Côte d’Ivoire a sans doute besoin de morts de faim pour se sublimer encore plus.
F.C (Rédaction Football365/FootSud