. Ce Don Juan des temps modernes d’une petite localité de la ville d’Adzopé est un danger pour la gente féminine. Vieilles, jeunes et fillettes, mariées, fiancées ou célibataires n’étaient épargnées par cet invétéré dragueur à la libido débordante. Lui qui troublait autrefois la quiétude des populations, en les cocufiant ou en abusant de leurs enfants a cette fois ci commis une erreur qui lui a été fatale.
Les habitants d’Adzopé, n’oublieront pas de sitôt le terrible Isakoré N’Cho qui a fait parler de lui de la pire des manières. Dans la petite localité ou il vivait, les habitants n’avaient de cessés de se plaindre de lui auprès du chef du village pour son immoralité débordante et sans limite. C’était des files de plaintes que le chef de cette localité recevait à longueur de journée. Mais en sa qualité de chef, il s’arrangeait toujours à trouver le juste milieu pour le bonheur de ses administrés. Et N’Cho n’entendait pas s’arrêter en si bon chemin. On le retrouvera mêlé à une affaire d’infidélité dans laquelle il sera reconnu coupable et soumis à payer une amende au mari cocufié. Le moins que l’on puisse dire, c’est que Isakoré N’Cho est une vraie tête de mule. Non content de peindre en jaune ce dernier, il va séquestrer sa fillette de 13 ans pour ensuite, abuser d’elle pendant un bon moment. C’est après l’avoir pressée et fanée comme un citron, qu’il l’a jeté sans aucun remord. Car, il ne craignait pas la justice de son village, qui était toujours conciliante, et dont les verdicts lui étaient quasi favorables. Erreur monsieur, dira le père de la petite Laetitia qui a outrepassé la justice du village pour traduire l’indésirable N’Cho dans une juridiction supérieure. Lui, double victime de ce lugubre personnage, se constituera comme partie civile en assignant son bourreau à la justice. Le réquisitoire du juge sera sans appel pour le violeur qui a écopé d’une peine d’emprisonnement de 10 ans ferme pour une amende de 500.000 FCFA. A la partie civile, le scélérat devra remettre la coquette somme de 1.000.000 de FCFA en guise de dommage et intérêt. Fin de parcours pour un affamé sexuel sans nul pareil abonné aujourd’hui au compte de la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (Maca).
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Les habitants d’Adzopé, n’oublieront pas de sitôt le terrible Isakoré N’Cho qui a fait parler de lui de la pire des manières. Dans la petite localité ou il vivait, les habitants n’avaient de cessés de se plaindre de lui auprès du chef du village pour son immoralité débordante et sans limite. C’était des files de plaintes que le chef de cette localité recevait à longueur de journée. Mais en sa qualité de chef, il s’arrangeait toujours à trouver le juste milieu pour le bonheur de ses administrés. Et N’Cho n’entendait pas s’arrêter en si bon chemin. On le retrouvera mêlé à une affaire d’infidélité dans laquelle il sera reconnu coupable et soumis à payer une amende au mari cocufié. Le moins que l’on puisse dire, c’est que Isakoré N’Cho est une vraie tête de mule. Non content de peindre en jaune ce dernier, il va séquestrer sa fillette de 13 ans pour ensuite, abuser d’elle pendant un bon moment. C’est après l’avoir pressée et fanée comme un citron, qu’il l’a jeté sans aucun remord. Car, il ne craignait pas la justice de son village, qui était toujours conciliante, et dont les verdicts lui étaient quasi favorables. Erreur monsieur, dira le père de la petite Laetitia qui a outrepassé la justice du village pour traduire l’indésirable N’Cho dans une juridiction supérieure. Lui, double victime de ce lugubre personnage, se constituera comme partie civile en assignant son bourreau à la justice. Le réquisitoire du juge sera sans appel pour le violeur qui a écopé d’une peine d’emprisonnement de 10 ans ferme pour une amende de 500.000 FCFA. A la partie civile, le scélérat devra remettre la coquette somme de 1.000.000 de FCFA en guise de dommage et intérêt. Fin de parcours pour un affamé sexuel sans nul pareil abonné aujourd’hui au compte de la Maison d’Arrêt et de Correction d’Abidjan (Maca).
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