La Côte d’Ivoire est sur la bonne voie pour atteindre le point d’achèvement de l’initiative du Programme des pays pauvres très endettés (Ppte)
Depuis hier mardi, la Côte d’Ivoire totalise trois appuis budgétaires de la Banque mondiale. C’est au total un montant de 275 millions de dollars US, soit environ 137,5 milliards de FCFA. Le troisième appui budgétaire, d’un montant de 90 millions de dollars US soit 45 milliards de FCFA, a été accordé hier par les responsables de la banque aux autorités ivoiriennes. Le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi, a précisé au cours de cette cérémonie que cette œuvre résulte de la mise en pratique des mesures et réformes retenues dans les secteurs clés de l’économie, à savoir les finances publiques, le secteur de l’énergie, de la filière café-cacao… « Le gouvernement entend poursuivre ses efforts, notamment en ce qui concerne l’exécution des mesures à mettre en œuvre en vue de la mobilisation avant la fin de l’année», a-t-il indiqué. A l’en croire, tous les efforts déployés par le gouvernement visent l’assainissement du cadre macroéconomique et des finances publiques. Le ministre a par ailleurs expliqué que la dette extérieure est un obstacle majeur à lever pour parvenir à la fiabilité des finances publiques et offrir ainsi les possibilités d’une politique économique crédible. « Pour ce faire, nous devons axer nos efforts vers le point d’achement de l’initiative PPTE, que nous envisageons dans les meilleurs délais. Nous ne ménagerons aucun effort pour la mise en œuvre des réformes retenues et partant pour le respect de l’ensemble de nos engagements. Ce pari est possible et à notre portée si nous continuons d’y croire », a souhaité le ministre Charles Diby Koffi. Le directeur des opérations de la Banque mondiale Madani Tall, a remercié chaleureusement les autorités ivoiriennes pour les réformes entreprises dans divers secteurs de l’économie nationale. «Ces réformes tendent essentiellement à l’amélioration de la gestion des Finances publiques à la résorption des distorsions dans le secteur café-cacao et ce dans l’intérêt des paysans producteurs », a-t-il expliqué.
Benjamin Soro
Depuis hier mardi, la Côte d’Ivoire totalise trois appuis budgétaires de la Banque mondiale. C’est au total un montant de 275 millions de dollars US, soit environ 137,5 milliards de FCFA. Le troisième appui budgétaire, d’un montant de 90 millions de dollars US soit 45 milliards de FCFA, a été accordé hier par les responsables de la banque aux autorités ivoiriennes. Le ministre de l’Economie et des Finances, Charles Diby Koffi, a précisé au cours de cette cérémonie que cette œuvre résulte de la mise en pratique des mesures et réformes retenues dans les secteurs clés de l’économie, à savoir les finances publiques, le secteur de l’énergie, de la filière café-cacao… « Le gouvernement entend poursuivre ses efforts, notamment en ce qui concerne l’exécution des mesures à mettre en œuvre en vue de la mobilisation avant la fin de l’année», a-t-il indiqué. A l’en croire, tous les efforts déployés par le gouvernement visent l’assainissement du cadre macroéconomique et des finances publiques. Le ministre a par ailleurs expliqué que la dette extérieure est un obstacle majeur à lever pour parvenir à la fiabilité des finances publiques et offrir ainsi les possibilités d’une politique économique crédible. « Pour ce faire, nous devons axer nos efforts vers le point d’achement de l’initiative PPTE, que nous envisageons dans les meilleurs délais. Nous ne ménagerons aucun effort pour la mise en œuvre des réformes retenues et partant pour le respect de l’ensemble de nos engagements. Ce pari est possible et à notre portée si nous continuons d’y croire », a souhaité le ministre Charles Diby Koffi. Le directeur des opérations de la Banque mondiale Madani Tall, a remercié chaleureusement les autorités ivoiriennes pour les réformes entreprises dans divers secteurs de l’économie nationale. «Ces réformes tendent essentiellement à l’amélioration de la gestion des Finances publiques à la résorption des distorsions dans le secteur café-cacao et ce dans l’intérêt des paysans producteurs », a-t-il expliqué.
Benjamin Soro