Décembre 2001. Alassane Dramane Ouattara recevant les maires de son parti avait dévoilé tout le plan diabolique qui se concoctait contre les refondateurs. " Nous n'attendons pas cinq ans pour aller aux élections. Après tout, dans certains pays, il y a des coups d'Etat et les gens s'accommodent bien de ces personnes -là pendant une certaine période. Nous avons des monarchies dans le monde et les gens acceptent bien qu'une personne non élue représente le peuple dans sa totalité. Pourquoi, devrions- nous attendre cinq ans pour que vous ayez droit à ce que vous avez droit et surtout ce que les populations réclament ? Nous avons certaines relations extérieures. Nous avons commencé à les actionner. J'aimerais vous dire aussi que nous avons convenu avec le maire Adama que nous nous aurons des réunions périodiques pour qu'ensemble nous puissions développer assez rapidement une stratégie pour la conquête du pouvoir " (In LAURENT GBAGBO, C'est le plus dur qui est le chemin). Ce livre de Cheikh Koureyssi BA et de Mamadou Wade est le plus grand livre sur la crise ivoirienne. Malheureusement, il a été bafouillé par les Editions La refondation, dont les responsables ont voulu simplement garder par devers eux les frais d'édition. (Malheur à tous ceux qui font du mal à Laurent Gbagbo !).
C'est que quand Laurent Gbagbo parvint au pouvoir, le Front Populaire Ivoirien (FPI) marque la différence dans sa gestion du pouvoir. Et en peu de temps les impérialistes et leurs bras séculiers étaient aux abois, voyant que les refondateurs les empêcheraient de piller l'économie de la Côte d'Ivoire. Il faut bien trouver un homme et une stratégie pour contrecarrer ces refondateurs qui se préparent à libérer la Côte d'Ivoire du puant néocolonialisme. L'homme, le mieux indiqué ne pouvait être qu'Alassane Dramane Ouattara. Il a toujours servi les puissances impérialistes avec abnégation. " Les français lui sont reconnaissants, jusque dans les milieux d'affaires où son épouse Dominique Follouroux rendait riches ceux qui avaient la chance de rentrer dans son cercle. Elle détenait la clé du coffre-fort d'Houphouet Boignait sans oublier qu'elle était une pièce maitresse du réseau Foccart sur lequel rampait l'hydre de la Françafrique (in Laurent Gbagbo , c'est le plus dur qui est le chemin).La preuve c'est qu'en 1991, Jacques Chirac maire de Paris , Martin Bouygues , les dirigeants des banques mondiales et centrales , les banques d'affaires et d'investissement , les hommes d'affaires, les barbouzes de la françafrique avaient célébré le mariage de mademoiselle Dominique Folloroux et de M Alassane Dramane Ouattara à Neuilly chez le maire Nicolas Sarkozy. Selon des sources concordantes, ce jour-là avait été celui de l'initiation publique d'Ado à la Françafrique. C'était aussi le pacte qui permettait à Alassane Dramane Ouattara, alors premier ministre de la Côte d'Ivoire de livrer l'économie de la Côte d'Ivoire aux impérialistes. En 1993, Il décide de passer à l'action. Le 05 mars de cette année là, une session extraordinaire de l'Assemblée nationale décide de la politique de privatisation du gouvernement dirigé par le technocrate ADO. Seuls les députés du FPI avaient dénoncé cette politique avec sa procédure de gré à gré mise sur pied pour brader les importantes entreprises de la Côte d'Ivoire. Pour les Députés du Front Populaire Ivoirien " une telle dénationalisation pourra conduire à terme à ce que un , deux, ou trois groupes financiers contrôlent entièrement tous les éléments vitaux du pays et puissent demain s'ils le veulent , mettre en place le gouvernement de leur choix ". ((in Laurent Gbagbo, c'est le plus dur qui est le chemin). Cette remarque de Laurent Gbagbo et de ses camarades avait effrayé Alassane et ses maîtres. Ainsi Alassane le Premier Ministre de la Côte d'Ivoire se mit au bradage, à une vitesse vertigineuse. A travers des sociétés écrans, les impérialistes achetèrent toutes les entreprises ivoiriennes. Soit prés de 82% du tissu industriel contribuant pour près de 55% aux recettes budgétaires. Environ 70 entreprises vendues à 322 milliards " là où une seule licence de téléphonie mobile bien négociée peut valoir 200 milliards. " (in Laurent Gbagbo, c'est le plus dur qui est le chemin ". Mais DO ferme les yeux et vend même des sociétés au franc symbolique ! " L'eau, l'énergie, les télécommunications, les transports publics, l'exploration de l'or, le diamant, la construction du 3e pont d'Abidjan et même la SIR étaient concentrés entre les mains d'un seul français : MARTIN BOUYGUES (il était aux noces de Neuilly) ". C'est parce que Laurent Gbagbo veut rectifier cette politique inique et anachronique qu'il est devenu l'ennemi des impérialistes. C'est l'ouvrage " La Côte d'Ivoire : de la déstabilisation à la refondation "(HARMATTAN), de Marie France Jaret et François -Régis Mathieu qui traduit mieux les griefs de la France de Chirac, de Bouygues, de Sarkozy contre Laurent Gbagbo.
En effet, les refondateurs, chantres de l'économie sociale de marché étaient en train de rectifier les privatisations sauvages, faites par Alassane Dramane Ouattara, puisque c'était un véritable bradage de l'économie nationale. Pour preuve, le premier gouvernement des refondateurs avait déjà annoncé quelques mesures comme l'interruption du processus de privatisation de la SIR, en attendant une loi ouvrant au préalable le secteur à la concurrence. Il y avait aussi l'intransigeance des refondateurs au sujet de la cession de l'eau et de l'électricité au groupe Bouygues et du monopole du téléphone à France Télécom….Toutes ses mesures ajoutées au budget sécurisé ont effrayé les impérialistes, dont les budgets reposaient sur le pillage de l'économie ivoirienne. Le professeur Mamadou Koulibaly montra le visage hideux de cette politique en dénonçant la magouille du compte d'opération qui représente le crime le plus parfait contre l'Afrique et dont Alassane Dramane Ouattara est le pilier central. Sa richesse dont on parle tant, repose sur la spoliation, le vol et le pillage des biens de la Côte d'Ivoire. A qui a-t-il rendu compte des ventes de nombreuses entreprises Ivoiriennes ? De 1989 à 1993 Alassane et son épouse qui avaient la clé de la fortune d'Houphouët ont bradé l'économie de la Côte d'Ivoire. Le 18 octobre 2002, le député UMP Axel Poniatowski avait annoncé dans le Figaro " Alassane reste un des seuls véritables hommes d'Etat de l'ouest africain. Il est une des solutions possibles, quand toutes les autres ont échoué ". Ce propos résume combien Alassane Dramane Ouattara comptait pour les impérialistes qui n'hésitaient pas à endeuiller l'Afrique. Jacques Foccart, le patron du réseau de la Françafrique soutenait pour sa part que " pour les intérêts de notre pays, il ne faut pas avoir peur de mettre la main dans celle du diable ". Depuis l'avènement de Laurent Gbagbo au pouvoir les impérialistes ont mis les mains dans celles du diable pour combattre la refondation. Depuis 2002 les Ivoiriens essuient les assauts de rebelles nourris, blanchis armés par le diable. Aujourd'hui ce diable n'est plus caché même si ses sicaires tapis derrière des journaux tentent de cacher son visage à travers des publications des plus mensongères. Le rebelle Koné Zakaria n'a pas caché la vérité. Tant que " Alassane n'est pas au pouvoir, nous ne désarmons pas ". Le message a été clair dans l'esprit des Ivoiriens. Le 24 décembre 1999 quand Henri Konan Bédié a été renversé, Alassane a été célébré en tant que le tout nouveau président de la Côte d'Ivoire, dans l'avion qui le transportait de Paris à Abidjan. Personne ne peut nier sa complicité, dans tout ce qui arrive aux Ivoiriens. Il s'en moque d'ailleurs. Ceux qui écrivent pour endormir les Ivoiriens n'ont qu'à s'attendre à la riposte du peuple. Car comme le dit l'adage " toujours pour le voleur, un jour pour le propriétaire. "
Aujourd'hui, le seul espoir du mentor reste Sarkozy. (C'est lui qui a célébré le mariage de ADO). En plus, dans les coulisses l'on dit qu'il est fils d'immigré comme Sarkozy. ADO rêve. Il rêve encore d'être président de la Côte d'Ivoire comme son " frère " SARKO. Ceux qui rêvent avec lui, n'ont qu'à penser à la chute de l'URSS, du mur de Berlin et bientôt de celle de l'Euro. Qui a cru que le PDCI-RDA se disloquerait un jour avec le RDR, l'udpci, l'udcy. L'histoire ne ment pas. Le temps c'est l'autre nom de Dieu. La rétribution des méchants est proche.
Colbert Kouadjo.
Colbert_rna@yahoo.fr
C'est que quand Laurent Gbagbo parvint au pouvoir, le Front Populaire Ivoirien (FPI) marque la différence dans sa gestion du pouvoir. Et en peu de temps les impérialistes et leurs bras séculiers étaient aux abois, voyant que les refondateurs les empêcheraient de piller l'économie de la Côte d'Ivoire. Il faut bien trouver un homme et une stratégie pour contrecarrer ces refondateurs qui se préparent à libérer la Côte d'Ivoire du puant néocolonialisme. L'homme, le mieux indiqué ne pouvait être qu'Alassane Dramane Ouattara. Il a toujours servi les puissances impérialistes avec abnégation. " Les français lui sont reconnaissants, jusque dans les milieux d'affaires où son épouse Dominique Follouroux rendait riches ceux qui avaient la chance de rentrer dans son cercle. Elle détenait la clé du coffre-fort d'Houphouet Boignait sans oublier qu'elle était une pièce maitresse du réseau Foccart sur lequel rampait l'hydre de la Françafrique (in Laurent Gbagbo , c'est le plus dur qui est le chemin).La preuve c'est qu'en 1991, Jacques Chirac maire de Paris , Martin Bouygues , les dirigeants des banques mondiales et centrales , les banques d'affaires et d'investissement , les hommes d'affaires, les barbouzes de la françafrique avaient célébré le mariage de mademoiselle Dominique Folloroux et de M Alassane Dramane Ouattara à Neuilly chez le maire Nicolas Sarkozy. Selon des sources concordantes, ce jour-là avait été celui de l'initiation publique d'Ado à la Françafrique. C'était aussi le pacte qui permettait à Alassane Dramane Ouattara, alors premier ministre de la Côte d'Ivoire de livrer l'économie de la Côte d'Ivoire aux impérialistes. En 1993, Il décide de passer à l'action. Le 05 mars de cette année là, une session extraordinaire de l'Assemblée nationale décide de la politique de privatisation du gouvernement dirigé par le technocrate ADO. Seuls les députés du FPI avaient dénoncé cette politique avec sa procédure de gré à gré mise sur pied pour brader les importantes entreprises de la Côte d'Ivoire. Pour les Députés du Front Populaire Ivoirien " une telle dénationalisation pourra conduire à terme à ce que un , deux, ou trois groupes financiers contrôlent entièrement tous les éléments vitaux du pays et puissent demain s'ils le veulent , mettre en place le gouvernement de leur choix ". ((in Laurent Gbagbo, c'est le plus dur qui est le chemin). Cette remarque de Laurent Gbagbo et de ses camarades avait effrayé Alassane et ses maîtres. Ainsi Alassane le Premier Ministre de la Côte d'Ivoire se mit au bradage, à une vitesse vertigineuse. A travers des sociétés écrans, les impérialistes achetèrent toutes les entreprises ivoiriennes. Soit prés de 82% du tissu industriel contribuant pour près de 55% aux recettes budgétaires. Environ 70 entreprises vendues à 322 milliards " là où une seule licence de téléphonie mobile bien négociée peut valoir 200 milliards. " (in Laurent Gbagbo, c'est le plus dur qui est le chemin ". Mais DO ferme les yeux et vend même des sociétés au franc symbolique ! " L'eau, l'énergie, les télécommunications, les transports publics, l'exploration de l'or, le diamant, la construction du 3e pont d'Abidjan et même la SIR étaient concentrés entre les mains d'un seul français : MARTIN BOUYGUES (il était aux noces de Neuilly) ". C'est parce que Laurent Gbagbo veut rectifier cette politique inique et anachronique qu'il est devenu l'ennemi des impérialistes. C'est l'ouvrage " La Côte d'Ivoire : de la déstabilisation à la refondation "(HARMATTAN), de Marie France Jaret et François -Régis Mathieu qui traduit mieux les griefs de la France de Chirac, de Bouygues, de Sarkozy contre Laurent Gbagbo.
En effet, les refondateurs, chantres de l'économie sociale de marché étaient en train de rectifier les privatisations sauvages, faites par Alassane Dramane Ouattara, puisque c'était un véritable bradage de l'économie nationale. Pour preuve, le premier gouvernement des refondateurs avait déjà annoncé quelques mesures comme l'interruption du processus de privatisation de la SIR, en attendant une loi ouvrant au préalable le secteur à la concurrence. Il y avait aussi l'intransigeance des refondateurs au sujet de la cession de l'eau et de l'électricité au groupe Bouygues et du monopole du téléphone à France Télécom….Toutes ses mesures ajoutées au budget sécurisé ont effrayé les impérialistes, dont les budgets reposaient sur le pillage de l'économie ivoirienne. Le professeur Mamadou Koulibaly montra le visage hideux de cette politique en dénonçant la magouille du compte d'opération qui représente le crime le plus parfait contre l'Afrique et dont Alassane Dramane Ouattara est le pilier central. Sa richesse dont on parle tant, repose sur la spoliation, le vol et le pillage des biens de la Côte d'Ivoire. A qui a-t-il rendu compte des ventes de nombreuses entreprises Ivoiriennes ? De 1989 à 1993 Alassane et son épouse qui avaient la clé de la fortune d'Houphouët ont bradé l'économie de la Côte d'Ivoire. Le 18 octobre 2002, le député UMP Axel Poniatowski avait annoncé dans le Figaro " Alassane reste un des seuls véritables hommes d'Etat de l'ouest africain. Il est une des solutions possibles, quand toutes les autres ont échoué ". Ce propos résume combien Alassane Dramane Ouattara comptait pour les impérialistes qui n'hésitaient pas à endeuiller l'Afrique. Jacques Foccart, le patron du réseau de la Françafrique soutenait pour sa part que " pour les intérêts de notre pays, il ne faut pas avoir peur de mettre la main dans celle du diable ". Depuis l'avènement de Laurent Gbagbo au pouvoir les impérialistes ont mis les mains dans celles du diable pour combattre la refondation. Depuis 2002 les Ivoiriens essuient les assauts de rebelles nourris, blanchis armés par le diable. Aujourd'hui ce diable n'est plus caché même si ses sicaires tapis derrière des journaux tentent de cacher son visage à travers des publications des plus mensongères. Le rebelle Koné Zakaria n'a pas caché la vérité. Tant que " Alassane n'est pas au pouvoir, nous ne désarmons pas ". Le message a été clair dans l'esprit des Ivoiriens. Le 24 décembre 1999 quand Henri Konan Bédié a été renversé, Alassane a été célébré en tant que le tout nouveau président de la Côte d'Ivoire, dans l'avion qui le transportait de Paris à Abidjan. Personne ne peut nier sa complicité, dans tout ce qui arrive aux Ivoiriens. Il s'en moque d'ailleurs. Ceux qui écrivent pour endormir les Ivoiriens n'ont qu'à s'attendre à la riposte du peuple. Car comme le dit l'adage " toujours pour le voleur, un jour pour le propriétaire. "
Aujourd'hui, le seul espoir du mentor reste Sarkozy. (C'est lui qui a célébré le mariage de ADO). En plus, dans les coulisses l'on dit qu'il est fils d'immigré comme Sarkozy. ADO rêve. Il rêve encore d'être président de la Côte d'Ivoire comme son " frère " SARKO. Ceux qui rêvent avec lui, n'ont qu'à penser à la chute de l'URSS, du mur de Berlin et bientôt de celle de l'Euro. Qui a cru que le PDCI-RDA se disloquerait un jour avec le RDR, l'udpci, l'udcy. L'histoire ne ment pas. Le temps c'est l'autre nom de Dieu. La rétribution des méchants est proche.
Colbert Kouadjo.
Colbert_rna@yahoo.fr