Donald Kaberuka (président de la Bad) : «La Bad va aider l’Afrique à se nourrir»
«Nous avons parcouru un long chemin, qui s’inscrit dans une évolution positive dans laquelle les institutions régionales prennent la place qui leur revient. Il suffit de se rappeler que la Bad a vu le jour avec un capital de 250 millions de dollars EU. Si l’AGC-VI est approuvé, son capital passera à 100 milliards de dollars EU. Ce capital permettra de répondre aux besoins actuels de l’Afrique, en comblant le déficit en infrastructures, en se concentrant sur ses routes, ses lignes ferroviaires, ses voies d’eau, le haut débit, les dispositifs d’adduction d’eau relatif au changement climatique. Il permettra à la banque d’aider le continent à se nourrir, en accélérant l’intégration et la présence du secteur privé dans les pays à faible revenu, et en réhabilitant nos centres d’enseignement supérieur.»
Henriette Diabaté (secrétaire général du Rdr) : «La banque devra travailler pour tous les Ivoiriens»
Nous espérons que la banque, une fois revenue en Côte d’Ivoire, travaillera pour tous les Ivoiriens, sans choix de partie politique, de région ni d’ethnie. Je représente le président du Rassemblement des républicain (Rdr), Alassane Dramane Ouattara. C’est avec beaucoup de plaisir et beaucoup d’encouragement que nous sommes présents à cette séance d’ouverture. Je pense que les conditions sont en train d’être réunies pour le retour de la banque en Côte d’Ivoire. Je pense qu’au moment où la banque sera en train de revenir, dans le temps qu’il lui sera imparti pour s’installer, les conditions lui seront déjà réunies. Tous les Ivoiriens sont prêts, je crois, à faire en sorte que la paix revienne.
Daniel Kablan représentant le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci) : «Le retour de la Bad est entre les mains des Ivoiriens»
Je crois qu’il faut d’abord travailler au retour définitif de la Banque africaine de développement. En faisant en sorte que des élections justes et transparentes aient lieu, le plus tôt possible pour le retour de la Bad. En tant que représentant du président du Pdci-Rda, Henri Konan Bédié, nous souhaitons le retour de cette institution en Côte d’Ivoire. Parce que la Côte d’Ivoire, en son temps, était le quatrième actionnaire de la Bad, et à ce titre la banque était le meilleur financier de ce pays et de la sous-région ouest-africaine. Il faut faire en sorte que cette banque revienne en organisant des élections transparentes. Ce sont les Ivoiriens qui doivent faire en sorte que ces conditions soient réunies pour le retour de la Bad. Il faut faire en sorte que la sécurité et la concorde reviennent.
Pascale Affi N’Guessan, président du Front populaire ivoirien (Fpi) : «La Côte d’Ivoire a assez fait pour le retour de la Bad»
Nos attentes, c’est que cette assemblée renforce l’institution. Parce que toute l’Afrique a besoin de la Bad pour son développement économique et social. Mais au-delà même de la consolidation de l’Institution, il faut que le staff de la Bad constate que la Côte d’Ivoire est prête à recevoir de nouveau le siège de la banque. Les conditions sont réunies pour le retour de la Bad. Vous savez, la sécurité est une question internationale, même les Etat-Unis ne sont pas à l’abri de trouble d’insécurité. Les autorités ivoiriennes ont suffisamment fait, il y a beaucoup d’Institutions internationales qui sont présentement en Côte d’Ivoire, malgré la situation de crise. Donc la Bad peut revenir.
Propos retranscrits par Raphaël Tanoh
«Nous avons parcouru un long chemin, qui s’inscrit dans une évolution positive dans laquelle les institutions régionales prennent la place qui leur revient. Il suffit de se rappeler que la Bad a vu le jour avec un capital de 250 millions de dollars EU. Si l’AGC-VI est approuvé, son capital passera à 100 milliards de dollars EU. Ce capital permettra de répondre aux besoins actuels de l’Afrique, en comblant le déficit en infrastructures, en se concentrant sur ses routes, ses lignes ferroviaires, ses voies d’eau, le haut débit, les dispositifs d’adduction d’eau relatif au changement climatique. Il permettra à la banque d’aider le continent à se nourrir, en accélérant l’intégration et la présence du secteur privé dans les pays à faible revenu, et en réhabilitant nos centres d’enseignement supérieur.»
Henriette Diabaté (secrétaire général du Rdr) : «La banque devra travailler pour tous les Ivoiriens»
Nous espérons que la banque, une fois revenue en Côte d’Ivoire, travaillera pour tous les Ivoiriens, sans choix de partie politique, de région ni d’ethnie. Je représente le président du Rassemblement des républicain (Rdr), Alassane Dramane Ouattara. C’est avec beaucoup de plaisir et beaucoup d’encouragement que nous sommes présents à cette séance d’ouverture. Je pense que les conditions sont en train d’être réunies pour le retour de la banque en Côte d’Ivoire. Je pense qu’au moment où la banque sera en train de revenir, dans le temps qu’il lui sera imparti pour s’installer, les conditions lui seront déjà réunies. Tous les Ivoiriens sont prêts, je crois, à faire en sorte que la paix revienne.
Daniel Kablan représentant le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci) : «Le retour de la Bad est entre les mains des Ivoiriens»
Je crois qu’il faut d’abord travailler au retour définitif de la Banque africaine de développement. En faisant en sorte que des élections justes et transparentes aient lieu, le plus tôt possible pour le retour de la Bad. En tant que représentant du président du Pdci-Rda, Henri Konan Bédié, nous souhaitons le retour de cette institution en Côte d’Ivoire. Parce que la Côte d’Ivoire, en son temps, était le quatrième actionnaire de la Bad, et à ce titre la banque était le meilleur financier de ce pays et de la sous-région ouest-africaine. Il faut faire en sorte que cette banque revienne en organisant des élections transparentes. Ce sont les Ivoiriens qui doivent faire en sorte que ces conditions soient réunies pour le retour de la Bad. Il faut faire en sorte que la sécurité et la concorde reviennent.
Pascale Affi N’Guessan, président du Front populaire ivoirien (Fpi) : «La Côte d’Ivoire a assez fait pour le retour de la Bad»
Nos attentes, c’est que cette assemblée renforce l’institution. Parce que toute l’Afrique a besoin de la Bad pour son développement économique et social. Mais au-delà même de la consolidation de l’Institution, il faut que le staff de la Bad constate que la Côte d’Ivoire est prête à recevoir de nouveau le siège de la banque. Les conditions sont réunies pour le retour de la Bad. Vous savez, la sécurité est une question internationale, même les Etat-Unis ne sont pas à l’abri de trouble d’insécurité. Les autorités ivoiriennes ont suffisamment fait, il y a beaucoup d’Institutions internationales qui sont présentement en Côte d’Ivoire, malgré la situation de crise. Donc la Bad peut revenir.
Propos retranscrits par Raphaël Tanoh
