ABIDJAN - Le président malien Amadou Toumani Touré a mis en exergue jeudi à Abidjan les "progrès importants" réalisés dans son pays grâce à la Banque africaine de développement (BAD) qu'il a qualifiée de "principale organisation financière" du continent africain.
"Je témoigne et je prends à témoin le président de la BAD: j'ai vu mon pays qui change, j'ai vu un pays que j'ai peine à reconnaître tellement les progrès ont été faits dans le cadre du développement", a indiqué Amadou Toumani Touré lors de l'ouverture des 45èmes assemblées générales de la BAD.
Selon le président malien, "les progrès sont indéniables" et ce sont les interventions de la BAD qui ont changé le paysage dans bien de régions de son pays dans le développement social ou dans les domaines des infrastructures routières et énergétiques, dans le secteur de l'eau et de l'assainissement.
"Une part importante dans ces progrès a été prise par la Banque africaine de développement", a-t-il souligné assurant que "c'est une fierté et un réconfort".
Il a toutefois appelé au renforcement des ressources du Fonds africain de développement (FAD) tout en se réjouissant de l'augmentation du capital de la Banque africaine de développement.
Le président de la BAD, Ronald Kaberuka, a indiqué que la Banque avait "joué son rôle" en doublant le volume de ses opérations en 2009.
"À la fin de l'année, notre concours s'élevait à 12,6 milliards de dollar contre 5,5 milliards l'année précédente", a-t-il précisé indiquant que le FAD "à lui seul a augmenté ses décaissements de 53% en 2009". Fin
"Je témoigne et je prends à témoin le président de la BAD: j'ai vu mon pays qui change, j'ai vu un pays que j'ai peine à reconnaître tellement les progrès ont été faits dans le cadre du développement", a indiqué Amadou Toumani Touré lors de l'ouverture des 45èmes assemblées générales de la BAD.
Selon le président malien, "les progrès sont indéniables" et ce sont les interventions de la BAD qui ont changé le paysage dans bien de régions de son pays dans le développement social ou dans les domaines des infrastructures routières et énergétiques, dans le secteur de l'eau et de l'assainissement.
"Une part importante dans ces progrès a été prise par la Banque africaine de développement", a-t-il souligné assurant que "c'est une fierté et un réconfort".
Il a toutefois appelé au renforcement des ressources du Fonds africain de développement (FAD) tout en se réjouissant de l'augmentation du capital de la Banque africaine de développement.
Le président de la BAD, Ronald Kaberuka, a indiqué que la Banque avait "joué son rôle" en doublant le volume de ses opérations en 2009.
"À la fin de l'année, notre concours s'élevait à 12,6 milliards de dollar contre 5,5 milliards l'année précédente", a-t-il précisé indiquant que le FAD "à lui seul a augmenté ses décaissements de 53% en 2009". Fin