Le centième numéro de Res Publica, bulletin interne d’information de la Présidence de la République, a été célébré mardi. Une occasion qui a été saluée par le Secrétaire général adjoint de la Présidence, Coulibaly Sangolobé, représentant le Président Laurent Gbagbo, au cours d’une cérémonie organisée par la cellule Communication. Pour lui, ce long parcours de Res Publica – chose publique, en latin – témoigne de la vitalité de la Présidence de la République et de celle de sa cellule Communication dont il a salué les efforts et le mérite. A sa suite, le Conseiller spécial du Président de la République chargé de la Communication a retracé sommairement l’historique du bulletin et reconnu qu’après « quelques balbutiements», il est aujourd’hui un produit «assez présentable», résultat obtenu «à force de travail».
Sylvère Nebout a exprimé sa reconnaissance à l’endroit du Président de la République qui, «soucieux des conditions de vie et de travail de ses collaborateurs», a accepté la création de Res Publica il y a quatre ans. «L’esprit du journal, c’est de faire en sorte que nous puissions aimer la chose publique, c’est-à-dire la République», a expliqué le Conseiller spécial, entouré de ses collaborateurs. Il a ensuite affirmé que la date de parution du centième numéro était «un grand jour», car il était loin de s’imaginer que son «bébé» aurait eu un tel parcours.
«Ce n’était pas évident, d’autant que, certains jours, le journal ne paraissait pas», a révélé le patron de la Communication de la Présidence de la République. Même s’il déclare ne pas être encore pleinement satisfait de Res Publica, il est tout à fait disposé à mettre tout en œuvre pour qu’il aille de l’avant, au service de la République de Côte d’Ivoire et de la personne qui l’incarne.
Guy Bertrand Kuyo, le rédacteur en chef, a lui aussi dit sa gratitude à l’endroit du Chef de l’Etat pour la confiance placée en lui et en son équipe ; ce qui les oblige à travailler davantage.
Res Publica est tiré à cinq mille exemplaires sur papier glacé est destiné à faire la promotion des idées du Président de la République. Jusqu’ici de 4 pages, il est passé à 8 depuis son centième numéro dont la grande Une est consacrée au cinquantenaire des Etats africains. Son Coordonnateur, Coulibaly T. Senn, a plaidé pour l’augmentation de son tirage.
C. Tiessé
Sylvère Nebout a exprimé sa reconnaissance à l’endroit du Président de la République qui, «soucieux des conditions de vie et de travail de ses collaborateurs», a accepté la création de Res Publica il y a quatre ans. «L’esprit du journal, c’est de faire en sorte que nous puissions aimer la chose publique, c’est-à-dire la République», a expliqué le Conseiller spécial, entouré de ses collaborateurs. Il a ensuite affirmé que la date de parution du centième numéro était «un grand jour», car il était loin de s’imaginer que son «bébé» aurait eu un tel parcours.
«Ce n’était pas évident, d’autant que, certains jours, le journal ne paraissait pas», a révélé le patron de la Communication de la Présidence de la République. Même s’il déclare ne pas être encore pleinement satisfait de Res Publica, il est tout à fait disposé à mettre tout en œuvre pour qu’il aille de l’avant, au service de la République de Côte d’Ivoire et de la personne qui l’incarne.
Guy Bertrand Kuyo, le rédacteur en chef, a lui aussi dit sa gratitude à l’endroit du Chef de l’Etat pour la confiance placée en lui et en son équipe ; ce qui les oblige à travailler davantage.
Res Publica est tiré à cinq mille exemplaires sur papier glacé est destiné à faire la promotion des idées du Président de la République. Jusqu’ici de 4 pages, il est passé à 8 depuis son centième numéro dont la grande Une est consacrée au cinquantenaire des Etats africains. Son Coordonnateur, Coulibaly T. Senn, a plaidé pour l’augmentation de son tirage.
C. Tiessé
