OUI
L’espoir est permis. Cette fois, l’évènement se déroule sur nos terres. Il y aura la ferveur populaire mais moins de chaleur car l’hiver bat son plein en ce moment en Afrique du Sud. Peu importe… Ce sera l’ « enfer » sportif pour les nombreux visiteurs qui y déferleront. L’objectif pour les africains est d’atteindre la finale. Poussés par leur bouillant public, les Bafana Bafana ne lâcheront rien. Pareil pour les Algériens qui débordent de confiance. Au Cameroun, les Lions Indomptables veulent sortir les griffes. Après avoir digéré le forfait de Michaël Essien, le Ghana croit en sa jeunesse triomphante. Le Nigeria, lui, connaît la chanson et jouera son va-tout. Que dire des Eléphants de Côte d’Ivoire ? Après avoir découvert leur premier Mondial, en 2006 en Allemagne, ils atterriront au pays des Zulu, le 9 juin, pour défier tout le monde. Le Portugal, le Brésil et la Corée du Nord n’ont qu’à bien se tenir.
Choilio Diomandé
NON
Le Mondial est une course de fond. Les Africains auront-t-ils le souffle et « la maîtrise » nécessaires pour monter en puissance à l’italienne ? Je ne le crois pas. Nous venons d’apprendre que le brillant meneur Algérien Meghni est out pour blessure. Idem pour Essien. Il faudra un Ghana plus offensif, mais son coach refuse de changer sa conception attentiste. Les Ivoiriens sont dans un groupe coriace et, Eriksson aura trop de choses à mettre en place en peu de temps. L’effet de surprise jouera beaucoup moins. Alors, peut être le Nigéria de Lagerbäck ? Il se dégage un air de sérieux de la préparation des Super Eagles. Carlos Parreira, lui, est confiant avec ses Bafana Bafana. L’allant et l’enthousiasme suffiront-ils ? Sans attaquants de gros calibre ? Et puis au fait, réussir une Coupe du monde, est-ce briller seulement au premier tour ? Avoir une douzaine d’occasions, nous renverser de nos fauteuils pour perdre sur la fin (?!). Pour réussir son Mondial, l’Afrique devra placer un demi-finaliste. Au moins.
Nasser El Fadel
L’espoir est permis. Cette fois, l’évènement se déroule sur nos terres. Il y aura la ferveur populaire mais moins de chaleur car l’hiver bat son plein en ce moment en Afrique du Sud. Peu importe… Ce sera l’ « enfer » sportif pour les nombreux visiteurs qui y déferleront. L’objectif pour les africains est d’atteindre la finale. Poussés par leur bouillant public, les Bafana Bafana ne lâcheront rien. Pareil pour les Algériens qui débordent de confiance. Au Cameroun, les Lions Indomptables veulent sortir les griffes. Après avoir digéré le forfait de Michaël Essien, le Ghana croit en sa jeunesse triomphante. Le Nigeria, lui, connaît la chanson et jouera son va-tout. Que dire des Eléphants de Côte d’Ivoire ? Après avoir découvert leur premier Mondial, en 2006 en Allemagne, ils atterriront au pays des Zulu, le 9 juin, pour défier tout le monde. Le Portugal, le Brésil et la Corée du Nord n’ont qu’à bien se tenir.
Choilio Diomandé
NON
Le Mondial est une course de fond. Les Africains auront-t-ils le souffle et « la maîtrise » nécessaires pour monter en puissance à l’italienne ? Je ne le crois pas. Nous venons d’apprendre que le brillant meneur Algérien Meghni est out pour blessure. Idem pour Essien. Il faudra un Ghana plus offensif, mais son coach refuse de changer sa conception attentiste. Les Ivoiriens sont dans un groupe coriace et, Eriksson aura trop de choses à mettre en place en peu de temps. L’effet de surprise jouera beaucoup moins. Alors, peut être le Nigéria de Lagerbäck ? Il se dégage un air de sérieux de la préparation des Super Eagles. Carlos Parreira, lui, est confiant avec ses Bafana Bafana. L’allant et l’enthousiasme suffiront-ils ? Sans attaquants de gros calibre ? Et puis au fait, réussir une Coupe du monde, est-ce briller seulement au premier tour ? Avoir une douzaine d’occasions, nous renverser de nos fauteuils pour perdre sur la fin (?!). Pour réussir son Mondial, l’Afrique devra placer un demi-finaliste. Au moins.
Nasser El Fadel