Un test grandeur nature (2-2) contre le Paraguay, un autre face à un club local (6-0) et une liste de 23 sans Baky, Emerse Faé, Akalé, Gyapi… voilà le bilan des douze jours de préparation des Eléphants en Suisse. Un bilan diversement interprété. En effet, l’équipe de Sven-Göran Eriksson n’a jusque-là pas réussi à présenter une copie différente de celle de ses prédécesseurs.
Seulement, l’on a vu un léger progrès au niveau mental, avec une solidarité exemplaire des joueurs au milieu du terrain. En revanche, la défense continue de traîner comme un boulet à la cheville ses carences congénitales. Malgré les aménagements du technicien suédois qui a ramené Maestro (milieu défensif) au poste de libéro, l’expérience n’a tenu que 70 minutes.
Puisque l’équipe ivoirienne a relâché dans les moments ultimes de la partie. Encaissant deux buts en quinze minutes. Des buts encaissés dans le même registre depuis quelques années. Si ce n’est pas des balles plombées dans le dos de la défense, c’est un mauvais placement des défenseurs. «C’est vrai que lorsqu’une équipe encaisse un but, les défenseurs sont les premiers accusés. Mais une équipe, c’est 11 joueurs et en cela, les premiers défenseurs devraient être les attaquants.
Malheureusement, pour le commun des observateurs du football, c’est aux attaquants de marquer des buts et aux défenseurs d’empêcher de prendre des buts. Bref, je retrouve un poste où j’ai commencé quand j’étais tout jeune. Le rôle de libéro me plait et j’espère mettre mon talent au service du groupe. Dans le travail défensif, la communication entre les joueurs est primordiale et je pense avoir les atouts nécessaires pour y faire face», explique le néo-libéro de la sélection, Didier Zokora. Espérant que la mayonnaise prendra avant le coup d’envoi du Mondial.
Face au Japon ce matin (10 h 20) à Sion, l’ancien sélectionneur des Three Lions d’Angleterre et son équipe devront convaincre les Ivoiriens de leur capacité réelle à sortir du groupe G de la mort où les attendent de pied ferme des équipes comme le Portugal, le premier adversaire des Ivoiriens, le Brésil et la Corée du Nord.
Ce matin, Eriksson commencera avec son équipe type pour la Coupe du monde. Didier Drogba, Salomon Kalou, Dindane. Dans l’entre-jeu, Yaya Touré, Cheick Tioté et Romaric. Tandis que Barry Copa, fidèle à son poste de gardien de but, aura devant sa cage, Zokora, Kolo, Bamba, Chico (à gauche) et Demel ou Eboué à (droite). L’équipe nipponne qui cherche également ses marques à la veille de la compétition planétaire est un sparring-partner assez intéressant pour la bande à Eriksson, qui devra rassurer les Ivoiriens.
Paul Bagnini
Seulement, l’on a vu un léger progrès au niveau mental, avec une solidarité exemplaire des joueurs au milieu du terrain. En revanche, la défense continue de traîner comme un boulet à la cheville ses carences congénitales. Malgré les aménagements du technicien suédois qui a ramené Maestro (milieu défensif) au poste de libéro, l’expérience n’a tenu que 70 minutes.
Puisque l’équipe ivoirienne a relâché dans les moments ultimes de la partie. Encaissant deux buts en quinze minutes. Des buts encaissés dans le même registre depuis quelques années. Si ce n’est pas des balles plombées dans le dos de la défense, c’est un mauvais placement des défenseurs. «C’est vrai que lorsqu’une équipe encaisse un but, les défenseurs sont les premiers accusés. Mais une équipe, c’est 11 joueurs et en cela, les premiers défenseurs devraient être les attaquants.
Malheureusement, pour le commun des observateurs du football, c’est aux attaquants de marquer des buts et aux défenseurs d’empêcher de prendre des buts. Bref, je retrouve un poste où j’ai commencé quand j’étais tout jeune. Le rôle de libéro me plait et j’espère mettre mon talent au service du groupe. Dans le travail défensif, la communication entre les joueurs est primordiale et je pense avoir les atouts nécessaires pour y faire face», explique le néo-libéro de la sélection, Didier Zokora. Espérant que la mayonnaise prendra avant le coup d’envoi du Mondial.
Face au Japon ce matin (10 h 20) à Sion, l’ancien sélectionneur des Three Lions d’Angleterre et son équipe devront convaincre les Ivoiriens de leur capacité réelle à sortir du groupe G de la mort où les attendent de pied ferme des équipes comme le Portugal, le premier adversaire des Ivoiriens, le Brésil et la Corée du Nord.
Ce matin, Eriksson commencera avec son équipe type pour la Coupe du monde. Didier Drogba, Salomon Kalou, Dindane. Dans l’entre-jeu, Yaya Touré, Cheick Tioté et Romaric. Tandis que Barry Copa, fidèle à son poste de gardien de but, aura devant sa cage, Zokora, Kolo, Bamba, Chico (à gauche) et Demel ou Eboué à (droite). L’équipe nipponne qui cherche également ses marques à la veille de la compétition planétaire est un sparring-partner assez intéressant pour la bande à Eriksson, qui devra rassurer les Ivoiriens.
Paul Bagnini
