Le Mondial sud-africain ne commencera pas par une victoire des Bafana Bafana. Ainsi en a décidé le Mexique. Hier, les mexicains ont contraint le pays organisateur à partager les points après un match nul (1-1). Les choses n’auraient d’ailleurs pas pu être autrement dans cette partie où les deux équipes ont eu leur période de domination. C’est le Mexique qui, d’entrée, profite de la crispation des Boys, certainement gênés, par leur nombreux public pour prendre la partie à son compte. Les occasions se multiplient mais la baraka épargne les hommes du Brésilien Carlos Alberto Pereira. Mais Steven Pienaar et ses amis finissent par sortir de leur torpeur et réussissent à équilibrer la partie. L’expérience des Mexicains n’arrivant pas à tromper l’enthousiasme des Bafana Bafana, l’arbitre ouzbek, Ravshan Irmatov, convoque les deux formations à la pause. Période que met à profit la nation arc-en-ciel pour se réarmer moralement.
Du retour des vestiaires, le capitaine Aaron et ses amis appuient sur l’accélérateur. Le Mexique du petit prodige, Giovanni est dépassé. Tshabalala en profite pour inscrire un magnifique but. Les fans sont aux anges et croient tenir la première victoire de leur équipe. Malheureusement les Sud-africains s’enflamment et vendangent les occasions de faire le break. Le Mexique puise dans ses derniers retranchements et fait appel à son expérience. Et qui mieux que le barcelonais Rafael Marquez pour monter au front et obtenir l’égalisation. Les deux équipes partagent finalement la poire en deux et ouvre le Mondial sur un match nul (1-1).
Koné Lassiné (Envoyé spécial)
Du retour des vestiaires, le capitaine Aaron et ses amis appuient sur l’accélérateur. Le Mexique du petit prodige, Giovanni est dépassé. Tshabalala en profite pour inscrire un magnifique but. Les fans sont aux anges et croient tenir la première victoire de leur équipe. Malheureusement les Sud-africains s’enflamment et vendangent les occasions de faire le break. Le Mexique puise dans ses derniers retranchements et fait appel à son expérience. Et qui mieux que le barcelonais Rafael Marquez pour monter au front et obtenir l’égalisation. Les deux équipes partagent finalement la poire en deux et ouvre le Mondial sur un match nul (1-1).
Koné Lassiné (Envoyé spécial)