Mauvaise entrée en matière pour l'Espagne qui s'est inclinée face à la Suisse (0-1). C'est la première défaite de la Roja (équipe espagnole) depuis quasiment un an.
Les champions d'Europe en titre sont tombés ! Attendue pour sa qualité de jeu remarquable qui lui confère le statut de meilleure formation actuelle, la bande à Del Bosque s'incline d'entrée dans ce Mondial qui démarre décidément timidement. Comme prévu, les Espagnols ont pris, d'entrée de jeu, le contrôle des opérations. Dominant territorialement grâce à une circulation de balle fluide, ils peinaient cependant à s'approcher du but de Benaglio. Se heurtant à un bloc bien regroupé, la Furia Roja a pourtant mis du rythme dans son jeu mais éprouvait d’énormes difficultés à aller au bout de ses actions. Hormis une action de Piqué, bien servi par Iniesta, qui achevait mal son festival en voyant Benaglio stopper sa tentative (25è minute), on avait bien du mal à s'emballer devant la stérilité de la domination ibérique. Bien repliés, les Suisses ont pris confiance au fur et à mesure, grâce à une solide défense. Le commando à Hitzfeld a surpris « le Durban Stadium », après la pause. En effet, une déviation de N'Kufo qui a trouvé Derdiyok bute sur Casillas. Mais Gelson Fernandes qui suivait bien la trajectoire du ballon, trouve la faille malgré le retour désespéré de Piqué (0-1, 52è minute). La formation suisse a tenu bon jusqu'au bout grâce à une abnégation de tout un bloc et a créé la première grosse sensation de ce Mondial. C'est seulement la deuxième défaite de l'Espagne, sous l'ère Del Bosque.
F N
Les champions d'Europe en titre sont tombés ! Attendue pour sa qualité de jeu remarquable qui lui confère le statut de meilleure formation actuelle, la bande à Del Bosque s'incline d'entrée dans ce Mondial qui démarre décidément timidement. Comme prévu, les Espagnols ont pris, d'entrée de jeu, le contrôle des opérations. Dominant territorialement grâce à une circulation de balle fluide, ils peinaient cependant à s'approcher du but de Benaglio. Se heurtant à un bloc bien regroupé, la Furia Roja a pourtant mis du rythme dans son jeu mais éprouvait d’énormes difficultés à aller au bout de ses actions. Hormis une action de Piqué, bien servi par Iniesta, qui achevait mal son festival en voyant Benaglio stopper sa tentative (25è minute), on avait bien du mal à s'emballer devant la stérilité de la domination ibérique. Bien repliés, les Suisses ont pris confiance au fur et à mesure, grâce à une solide défense. Le commando à Hitzfeld a surpris « le Durban Stadium », après la pause. En effet, une déviation de N'Kufo qui a trouvé Derdiyok bute sur Casillas. Mais Gelson Fernandes qui suivait bien la trajectoire du ballon, trouve la faille malgré le retour désespéré de Piqué (0-1, 52è minute). La formation suisse a tenu bon jusqu'au bout grâce à une abnégation de tout un bloc et a créé la première grosse sensation de ce Mondial. C'est seulement la deuxième défaite de l'Espagne, sous l'ère Del Bosque.
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