Concentration, maturité et rigueur tactique ont été les maîtres-mots d’une équipe conquérante de la Côte d’Ivoire qui a intimidé le Portugal.
Sven-Göran Eriksson a marqué de grands points. Grâce à son empreinte qui a fait tâche d’huile, le blond technicien suédois a permis à la Côte d’Ivoire de retrouver des vertus familières aux grandes nations de football. En si peu de temps passé à la tête de l’encadrement technique des Eléphants de Côte d’Ivoire, Eriksson a fait grimper la cote des «Pachydermes» footballeurs ivoiriens présents au Mondial 2010 en AF’Sud. Une réussite vite aperçue grâce à sa longue expérience dans le «management» des équipes et mieux, à son défi personnel de faire briller n’importe quelle sélection nationale qu’il a eue sous les mains. ‘‘Il sait transformer tout ce qu’il touche en or !’’, disent de Sven-Göran Eriksson la plupart des confrères suédois, italiens, portugais, voire anglais après qu’il a pu réaliser à chaque fois où il a «drivé» des écuries dans ces pays suscités. Dans ce match à gros enjeu qui a opposé la Côte d’Ivoire au Portugal, Eriksson a su se mettre en évidence en conférant une âme véritable au ‘‘Onze’’ ivoirien. Disciplinés tactiquement donc bien organisés, les Ivoiriens ont su trouver les ressources nécessaires pour mettre sous l’éteignoir la quasi-totalité des actions dangereuses des Portugais. Conséquence, Cristiano Ronaldo et ses coéquipiers vont perdre les pédales et adopter une autre stratégie, tirer de loin c'est-à-dire des 25 ou 30 mètres et procéder par des balles de contres. Ce qui s’est avéré vain parce que la concentration était de mise chez les Eléphants ivoiriens. Avec ce doute dans l’esprit, les Portugais vont se contenter du score de 0-0 à la pause.
Eriksson, le blond ‘‘magicien’’ suédois !
Avec son 4-4-2 se muant parfois en 3-4-3-1 à travers une armada offensive à forme de losange, Eriksson a démontré aux yeux de la planète football qu’il a de la valeur. Car jamais Deco, Liedson et Cristiano Ronaldo n’ont pu faire forte impression que sur de maigres actions d’éclat qui n’ont pu faire douter Copa Barry. Qui a passé un moment tranquille. Ce style de jeu très impressionnant concocté par Eriksson rassure pour la suite de la campagne sud-africaine des Eléphants. Eux qui commencent fort leur Mondial d’affilée. Solides et solidaires à toute épreuve, Didier Drogba et ses potes ont donné un petit aperçu d’une maturité tactique au plan du collectif ivoirien à ce rendez-vous sud-africain. Carlos Queiroz et le Portugal l’ont appris à leurs dépens. Et mieux, les balles aériennes naguère le talon d’Achille des Eléphants, a trouvé une solution grâce à Eriksson, le blond ‘‘magicien’’. Qui a sorti le dernier ‘‘tour’’ de son sac pour conférer à Kolo Touré, Guy Demel, Didier Zokora, Copa Barry et Tiéné Siaka, etc. un autre état d’esprit fait d’audace et d’assurance. Lequel a payé devant les Portugais en attendant de les voir en œuvre face aux Brésiliens et Nord-coréens. D’entrée, Eriksson a réalisé une excellente opération. Face au Brésil, le blond ‘‘magicien’’ suédois des Eléphants promet un autre tour de «magie».
Par Jean-Cyr Adopo
Sven-Göran Eriksson a marqué de grands points. Grâce à son empreinte qui a fait tâche d’huile, le blond technicien suédois a permis à la Côte d’Ivoire de retrouver des vertus familières aux grandes nations de football. En si peu de temps passé à la tête de l’encadrement technique des Eléphants de Côte d’Ivoire, Eriksson a fait grimper la cote des «Pachydermes» footballeurs ivoiriens présents au Mondial 2010 en AF’Sud. Une réussite vite aperçue grâce à sa longue expérience dans le «management» des équipes et mieux, à son défi personnel de faire briller n’importe quelle sélection nationale qu’il a eue sous les mains. ‘‘Il sait transformer tout ce qu’il touche en or !’’, disent de Sven-Göran Eriksson la plupart des confrères suédois, italiens, portugais, voire anglais après qu’il a pu réaliser à chaque fois où il a «drivé» des écuries dans ces pays suscités. Dans ce match à gros enjeu qui a opposé la Côte d’Ivoire au Portugal, Eriksson a su se mettre en évidence en conférant une âme véritable au ‘‘Onze’’ ivoirien. Disciplinés tactiquement donc bien organisés, les Ivoiriens ont su trouver les ressources nécessaires pour mettre sous l’éteignoir la quasi-totalité des actions dangereuses des Portugais. Conséquence, Cristiano Ronaldo et ses coéquipiers vont perdre les pédales et adopter une autre stratégie, tirer de loin c'est-à-dire des 25 ou 30 mètres et procéder par des balles de contres. Ce qui s’est avéré vain parce que la concentration était de mise chez les Eléphants ivoiriens. Avec ce doute dans l’esprit, les Portugais vont se contenter du score de 0-0 à la pause.
Eriksson, le blond ‘‘magicien’’ suédois !
Avec son 4-4-2 se muant parfois en 3-4-3-1 à travers une armada offensive à forme de losange, Eriksson a démontré aux yeux de la planète football qu’il a de la valeur. Car jamais Deco, Liedson et Cristiano Ronaldo n’ont pu faire forte impression que sur de maigres actions d’éclat qui n’ont pu faire douter Copa Barry. Qui a passé un moment tranquille. Ce style de jeu très impressionnant concocté par Eriksson rassure pour la suite de la campagne sud-africaine des Eléphants. Eux qui commencent fort leur Mondial d’affilée. Solides et solidaires à toute épreuve, Didier Drogba et ses potes ont donné un petit aperçu d’une maturité tactique au plan du collectif ivoirien à ce rendez-vous sud-africain. Carlos Queiroz et le Portugal l’ont appris à leurs dépens. Et mieux, les balles aériennes naguère le talon d’Achille des Eléphants, a trouvé une solution grâce à Eriksson, le blond ‘‘magicien’’. Qui a sorti le dernier ‘‘tour’’ de son sac pour conférer à Kolo Touré, Guy Demel, Didier Zokora, Copa Barry et Tiéné Siaka, etc. un autre état d’esprit fait d’audace et d’assurance. Lequel a payé devant les Portugais en attendant de les voir en œuvre face aux Brésiliens et Nord-coréens. D’entrée, Eriksson a réalisé une excellente opération. Face au Brésil, le blond ‘‘magicien’’ suédois des Eléphants promet un autre tour de «magie».
Par Jean-Cyr Adopo
