C’est sûr, la fête des pères ne connaîtra pas le même engouement que celle des mères.
Il y a eu tout un tapage autour de la fête des mères, bien avant le jour-j de cette fête-là.
Que ce soit dans les foyers comme dans les entreprises et structures étatiques, plusieurs
manifestations ont été organisées pour les femmes. Elles ont bénéficié de tous les honneurs
dus à leur rang d’être celle qui donne la vie. S’il est légitime de célébrer la porteuse de vie
qu’est la femme, il est indéniable de reconnaître à l’homme son rôle de garant de la famille.
Surtout que toute seule, la femme ne peut être mère. Il faut le concours de l’homme pour
que la conception ait lieu. Alors, pourquoi donner tant d’attentions à la femme sans toutefois
daigner en accorder un minimum à l’homme ? Celui qu’on clame sur tous les toits qu’il est
le maître de la maison, le chef de famille. Le 20 juin prochain, ce sera la fête des pères et
on ne sent pas du tout la fête. Rien ne présage, à aucun coin de rue, qu’il y a une fête de
père qui se profile à l’horizon. Combien de d’enfants sont actuellement en train de réfléchir
au cadeau qu’elles offriraient à leur géniteurs ? On peut les compter sur les dix doigts de
la main. Une chose est sûre, si on fait les statistiques, on n’en dénombrera pas 10%. Les
magasins et supermarchés sont à peine pleins, parce qu’aucune importance n’est accordée
à cette célébration des pères. Les cadeaux sont en train d’être couverts de poussières
parce que personne n’ose accoster le commerçant afin d’en discuter du prix. Les cadeaux
attendent les acheteuses. Même si l’homme ne se rend pas à la maternité comme la femme,
il mérite qu’on lui accorde la même affection qu’à la femme. Il n’est pas encore tard de bien
faire les choses,les enfants, salariés, ouvriers ou exerçant des professions libérales peuvent
pour une fois, honorer leur père? Un détour dans une grande surface de la place ou chez le
commerçant du marché pour offrir un présent à papa, ne ferait qu’apporter un peu plus de
joie à la maison le 20 juin prochain.
Nathalie Kassi
Il y a eu tout un tapage autour de la fête des mères, bien avant le jour-j de cette fête-là.
Que ce soit dans les foyers comme dans les entreprises et structures étatiques, plusieurs
manifestations ont été organisées pour les femmes. Elles ont bénéficié de tous les honneurs
dus à leur rang d’être celle qui donne la vie. S’il est légitime de célébrer la porteuse de vie
qu’est la femme, il est indéniable de reconnaître à l’homme son rôle de garant de la famille.
Surtout que toute seule, la femme ne peut être mère. Il faut le concours de l’homme pour
que la conception ait lieu. Alors, pourquoi donner tant d’attentions à la femme sans toutefois
daigner en accorder un minimum à l’homme ? Celui qu’on clame sur tous les toits qu’il est
le maître de la maison, le chef de famille. Le 20 juin prochain, ce sera la fête des pères et
on ne sent pas du tout la fête. Rien ne présage, à aucun coin de rue, qu’il y a une fête de
père qui se profile à l’horizon. Combien de d’enfants sont actuellement en train de réfléchir
au cadeau qu’elles offriraient à leur géniteurs ? On peut les compter sur les dix doigts de
la main. Une chose est sûre, si on fait les statistiques, on n’en dénombrera pas 10%. Les
magasins et supermarchés sont à peine pleins, parce qu’aucune importance n’est accordée
à cette célébration des pères. Les cadeaux sont en train d’être couverts de poussières
parce que personne n’ose accoster le commerçant afin d’en discuter du prix. Les cadeaux
attendent les acheteuses. Même si l’homme ne se rend pas à la maternité comme la femme,
il mérite qu’on lui accorde la même affection qu’à la femme. Il n’est pas encore tard de bien
faire les choses,les enfants, salariés, ouvriers ou exerçant des professions libérales peuvent
pour une fois, honorer leur père? Un détour dans une grande surface de la place ou chez le
commerçant du marché pour offrir un présent à papa, ne ferait qu’apporter un peu plus de
joie à la maison le 20 juin prochain.
Nathalie Kassi
