Faire connaître davantage le Conseil national à l’Initiative de transparence des industries extractives (Cn-Itie) créé par décret le 21 février 2008 à la presse et au public. C’est le sens de l’atelier de validation de la stratégie de communication Itie Côte d’Ivoire organisé, hier, aux Deux-Plateaux. Il s’agissait, au cours de cet échange, de combiner des actions de communication capables de faire connaître l’Itie-Ci, et permettre une véritable dissémination de l’information liée aux secteurs minier, gazier et pétrolier ivoiriens.
Ainsi, dans un souci de clarification, Benjamin Bioulé du second cabinet cité, présentant le document de communication, a énuméré les problèmes liés aux sources d’informations : insuffisance de transparence dans les industries extractives, difficile accès à l’information réelle sur les flux générés par l’exploitation des ressources. Pour une meilleure compréhension du public, il a suggéré d’informer sur les principes, critères et avantages de l’Itie, de diffuser l’information sur les structures d’animation et activités du Cn-Itie et vulgariser le rapport de conciliation et ses enseignements.
Les cibles de toutes les stratégies bâties seront les contributeurs à la production des données du rapport de conciliation (compagnies pétrolières, gazières et minières, etc.), les Ong et associations intéressées par les questions de transparence dans les industries extractives et la bonne gouvernance/lutte contre la corruption et les détournements de deniers publics, le gouvernement. Pour atteindre les objectifs, M. Bioulé a demandé au Cn-Itie de s’appuyer sur la presse, les médias audiovisuels, l’internet. Il a, en outre, préconisé que l’information ne soit pas un tabou, que les médias s’impliquent davantage dans la vulgarisation du Cn-Itie en venant aux sources.
Issa T. Yéo
Ainsi, dans un souci de clarification, Benjamin Bioulé du second cabinet cité, présentant le document de communication, a énuméré les problèmes liés aux sources d’informations : insuffisance de transparence dans les industries extractives, difficile accès à l’information réelle sur les flux générés par l’exploitation des ressources. Pour une meilleure compréhension du public, il a suggéré d’informer sur les principes, critères et avantages de l’Itie, de diffuser l’information sur les structures d’animation et activités du Cn-Itie et vulgariser le rapport de conciliation et ses enseignements.
Les cibles de toutes les stratégies bâties seront les contributeurs à la production des données du rapport de conciliation (compagnies pétrolières, gazières et minières, etc.), les Ong et associations intéressées par les questions de transparence dans les industries extractives et la bonne gouvernance/lutte contre la corruption et les détournements de deniers publics, le gouvernement. Pour atteindre les objectifs, M. Bioulé a demandé au Cn-Itie de s’appuyer sur la presse, les médias audiovisuels, l’internet. Il a, en outre, préconisé que l’information ne soit pas un tabou, que les médias s’impliquent davantage dans la vulgarisation du Cn-Itie en venant aux sources.
Issa T. Yéo