Anglais et Algériens ont besoin de victoire. Tout à l’heure, ils ne se feront aucun cadeau.
Certitudes
Le sort du champion du monde 1966 passe par l’Algérie cet après-midi … Cela veut tout dire ! Un match nul ou une défaite sont déjà interdits pour la sélection aux trois lions. Il est donc sûr que Capello remaniera son équipe avec les rentrées de Jo Cole et de Jermain Defoe car il faut obligatoirement prendre des initiatives. Il faudra « agir » et non pas seulement «réagir» comme s’en contentent généralement les Anglais. Des doutes subsistent autour de la participation de Ledley King, touché aux adducteurs pendant le premier match. Les observateurs ont beau rappeler qu’en « 1966, 1990 et 1996, les Anglais n’avaient pas réussi à gagner la première rencontre mais le résultat final avait été positif », ne donnera aucun passe-droit. Il faudra aller chercher la victoire avec les tripes face aux Fennecs.
Incertitudes
Il n’y a pas plus dangereux et plus redoutables que les Algériens quand il s’agit de fierté et d’honneur. C’est le genre de matches qu’ils affectionnent et qui les transcendent. Comme contre l’Allemagne le 16 juin 1982 au stade El Molinon de Gijon où Dahleb, Belloumi, Assad, Madjer, Fergani avaient réalisé l’un des plus gros « coups » de l’histoire de la Coupe du monde en battant la grande Allemagne fédérale de Rummenige, Magath, Stielike, Hrubesch. Aujourd’hui, la sélection algérienne n’a certes pas les mêmes qualités individuelles de ses devancières mais l’esprit n’a pas changé. Tactiquement les Fennecs aiment bien être dans ce registre face à un adversaire obligé de jouer. Battre l’Angleterre n’est pas impossible pour les solidaires coéquipiers de Majid Bougherra.
AVANTAGE : Algérie
Nasser El Fadel
Certitudes
Le sort du champion du monde 1966 passe par l’Algérie cet après-midi … Cela veut tout dire ! Un match nul ou une défaite sont déjà interdits pour la sélection aux trois lions. Il est donc sûr que Capello remaniera son équipe avec les rentrées de Jo Cole et de Jermain Defoe car il faut obligatoirement prendre des initiatives. Il faudra « agir » et non pas seulement «réagir» comme s’en contentent généralement les Anglais. Des doutes subsistent autour de la participation de Ledley King, touché aux adducteurs pendant le premier match. Les observateurs ont beau rappeler qu’en « 1966, 1990 et 1996, les Anglais n’avaient pas réussi à gagner la première rencontre mais le résultat final avait été positif », ne donnera aucun passe-droit. Il faudra aller chercher la victoire avec les tripes face aux Fennecs.
Incertitudes
Il n’y a pas plus dangereux et plus redoutables que les Algériens quand il s’agit de fierté et d’honneur. C’est le genre de matches qu’ils affectionnent et qui les transcendent. Comme contre l’Allemagne le 16 juin 1982 au stade El Molinon de Gijon où Dahleb, Belloumi, Assad, Madjer, Fergani avaient réalisé l’un des plus gros « coups » de l’histoire de la Coupe du monde en battant la grande Allemagne fédérale de Rummenige, Magath, Stielike, Hrubesch. Aujourd’hui, la sélection algérienne n’a certes pas les mêmes qualités individuelles de ses devancières mais l’esprit n’a pas changé. Tactiquement les Fennecs aiment bien être dans ce registre face à un adversaire obligé de jouer. Battre l’Angleterre n’est pas impossible pour les solidaires coéquipiers de Majid Bougherra.
AVANTAGE : Algérie
Nasser El Fadel