Les Eléphants jouent gros, demain soir (18h 30 UTC), face au Brésil (Groupe G). Un match extrêmement important pour les poulains d’Eriksson.
Au Riverside Hôtel, les Eléphants ne tremblent pas à l’idée de croiser le fer demain soir (18h 30 UTC), au Soccer City de Johannesburg avec le Brésil, favori historique et naturel de la Coupe du monde. « Ce Brésil est prenable. Nous n’avons aucun complexe à affronter cette équipe-là », a déclaré Tioté Cheick, le milieu de terrain des Eléphants, hier, lors de la conférence de presse, au camp des Eléphants. Déjà mardi soir, certains avaient donné le ton. « Nous respectons le Brésil, qui est une très bonne équipe, mais nous allons jouer notre match et c’est ce genre de match, qu’on retient. Je crois que nous n’allons pas décevoir les Ivoiriens », avait affirmé Didier Zokora, très brillant au cœur de la défense face au Portugal de Cristiano Ronaldo (0-0), mardi dernier, au Nelson Mandela Bay de Port Elisabeth. Guy Demel, le latéral droit des Eléphants, avait lui aussi abondé dans le même sens. « Je crois, qu’il n’y a pas à avoir peur, même s’il est vrai que le Brésil reste le Brésil ». Et une bonne nouvelle pour la Côte d’Ivoire, son attaquant vedette, Didier Drogba pourrait débuter la partie selon Sven Göran Eriksson, le coach des Eléphants. Ce qui est sûr, ce Brésil-Côte d’Ivoire, ressemble au match de l’année. Hier, dans les cafés du Nelson Mandela Square, l’endroit le plus chic de Johannesburg, ce match était l’objet de toutes les discussions. Des supportrices brésiliennes ont chanté et dansé toute l’après-midi, en scandant des « Brasilia, Brasilia… ». Mais demain soir, les anciens vice-champions d’Afrique devront hisser un tantinet leur niveau de jeu, car la Seleçao de Dunga est souvent difficile à jouer. Elle rêve de réussir la passe de deux dans ce groupe G, après son succès face à la Corée du Nord (2-1). Elle est plus technique, plus tactique et plus collective que l’autre Selecçao. Et jamais dans l’histoire de la Coupes du monde, aucune sélection africaine n’a encore réussi à terrasser ces Brésiliens-là. Les Eléphants vont –ils créer l’exploit ? Réponse demain soir, au sortir du Soccer City.
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Johannesburg
Au Riverside Hôtel, les Eléphants ne tremblent pas à l’idée de croiser le fer demain soir (18h 30 UTC), au Soccer City de Johannesburg avec le Brésil, favori historique et naturel de la Coupe du monde. « Ce Brésil est prenable. Nous n’avons aucun complexe à affronter cette équipe-là », a déclaré Tioté Cheick, le milieu de terrain des Eléphants, hier, lors de la conférence de presse, au camp des Eléphants. Déjà mardi soir, certains avaient donné le ton. « Nous respectons le Brésil, qui est une très bonne équipe, mais nous allons jouer notre match et c’est ce genre de match, qu’on retient. Je crois que nous n’allons pas décevoir les Ivoiriens », avait affirmé Didier Zokora, très brillant au cœur de la défense face au Portugal de Cristiano Ronaldo (0-0), mardi dernier, au Nelson Mandela Bay de Port Elisabeth. Guy Demel, le latéral droit des Eléphants, avait lui aussi abondé dans le même sens. « Je crois, qu’il n’y a pas à avoir peur, même s’il est vrai que le Brésil reste le Brésil ». Et une bonne nouvelle pour la Côte d’Ivoire, son attaquant vedette, Didier Drogba pourrait débuter la partie selon Sven Göran Eriksson, le coach des Eléphants. Ce qui est sûr, ce Brésil-Côte d’Ivoire, ressemble au match de l’année. Hier, dans les cafés du Nelson Mandela Square, l’endroit le plus chic de Johannesburg, ce match était l’objet de toutes les discussions. Des supportrices brésiliennes ont chanté et dansé toute l’après-midi, en scandant des « Brasilia, Brasilia… ». Mais demain soir, les anciens vice-champions d’Afrique devront hisser un tantinet leur niveau de jeu, car la Seleçao de Dunga est souvent difficile à jouer. Elle rêve de réussir la passe de deux dans ce groupe G, après son succès face à la Corée du Nord (2-1). Elle est plus technique, plus tactique et plus collective que l’autre Selecçao. Et jamais dans l’histoire de la Coupes du monde, aucune sélection africaine n’a encore réussi à terrasser ces Brésiliens-là. Les Eléphants vont –ils créer l’exploit ? Réponse demain soir, au sortir du Soccer City.
Choilio Diomandé, envoyé spécial à Johannesburg