Pour sa deuxième sortie lors de cette 19ème édition de la coupe du monde de football, l’équipe nationale du Cameroun s’est de nouveau inclinée. Une défaite contre le Danemark qui vient sonner le glas des Lions Indomptables dans la compétition.
S’ils ont été inexistants contre le Japon, les joueurs ont, à quelques exceptions près montré qu’ils avaient envie de franchir le premier tour. Une volonté qui n’a malheureusement pas suffi pour éviter la mauvaise succession de match sans victoire qui s’élève désormais à neuf. Les lions indomptables n’ont pas lavé l’affront du premier match. Malgré un système de jeu renouvelé, l’injection du sang neuf, une nette amélioration dans la qualité du jeu et plus particulièrement dans son animation offensive, les hommes de Paul Le Guen ont été moins réalistes que les Danois dans un match où chaque équipe a eu ses phases.
Le gardien
Souleymanou a fait un match plein. On peut peut-être lui reprocher d’avoir été un peu court sur le centre qui précède le premier but Danois mais, « Parade » aura le mérite d’avoir enrayé un face à face qui aurait rapidement scellé le sort des lions indomptables.
La défense
S’il a été l’homme du match contre le Japon, Assou-Ekotto est coupable d’un mauvais marquage qui a entraîné l’ouverture du score. À droite, Stéphane Mbia était très présent tant sur le plan défensif que sur le plan offensif. L’axe de la défense n’a pas été plus convaincants que contre les Japonais, des erreurs de positionnement et des insuffisances dans les duels aériens vont la caractériser.
Le milieu
C’est le compartiment qui a reçu du renfort. Trois nouveaux joueurs qui n’auront finalement pas comblé les attentes. Le cas de Achille Emana en est le parfait exemple. Repositionné à son poste de prédilection, le sociétaire du Betis Sévile a une prestation en demi teinte. Lent et moins percutant, il n’a pas été décisif au bon moment, ne prenant parfois pas ses responsabilités au moment de faire la différence face au gardien. Il s’en voudra certainement parce qu’à plusieurs reprises, il avait la balle du break dans ses jambes.
Sur le côté droit, Geremi a livré un match moyen, avec une tendance à vouloir construire le jeu à partir de l’aile.
Jean II Makoun connaitra une mauvaise fortune en secondant Assou-Ekotto porté vers l’attaque. Le Lyonnais restera impuissant contre Dennis Rommedhal.
Pour son retour dans le onze de départ Alexandre Song a évité le pire en sauvant une grosse bourde qu’il a commise au milieu de terrain. Son départ a été lent, mais il rentrait dans le match au fil des minutes.
Eyong Enoh a connu un deuxième match épouvantail. S’il est connu comme un joueur qui provoque l’adversaire, il aura plus brillé par ses absences et ses pertes de balles à répétition. Un match à oublier pour le sociétaire de l’Ajax d’Amsterdam.
L’attaque
Pour son association avec Achille Webo à la pointe de l’attaque, Samuel Eto’o Fils a fait parler ses qualités de grand attaquant. C’est lui qui sera d’ailleurs à la conclusion d’une très belle passe de Achille Webo. C’était avant que Webo ne disparaisse complètement du jeu pour réapparaitre dans un face à face perdu contre le gardien danois.
Aboubakar Vincent a percuté dès son entrée, mettant à mal la défense adverse. il a osé, et sa fraîcheur aura aidé.
Idrissou n’a pas vraiment eu l’impact attendu. Trop excentré à gauche, ses centres approximatifs et sa pauvreté technique n’ont pas aidé
Hamed Konin, envoyé spécial à Prétoria
S’ils ont été inexistants contre le Japon, les joueurs ont, à quelques exceptions près montré qu’ils avaient envie de franchir le premier tour. Une volonté qui n’a malheureusement pas suffi pour éviter la mauvaise succession de match sans victoire qui s’élève désormais à neuf. Les lions indomptables n’ont pas lavé l’affront du premier match. Malgré un système de jeu renouvelé, l’injection du sang neuf, une nette amélioration dans la qualité du jeu et plus particulièrement dans son animation offensive, les hommes de Paul Le Guen ont été moins réalistes que les Danois dans un match où chaque équipe a eu ses phases.
Le gardien
Souleymanou a fait un match plein. On peut peut-être lui reprocher d’avoir été un peu court sur le centre qui précède le premier but Danois mais, « Parade » aura le mérite d’avoir enrayé un face à face qui aurait rapidement scellé le sort des lions indomptables.
La défense
S’il a été l’homme du match contre le Japon, Assou-Ekotto est coupable d’un mauvais marquage qui a entraîné l’ouverture du score. À droite, Stéphane Mbia était très présent tant sur le plan défensif que sur le plan offensif. L’axe de la défense n’a pas été plus convaincants que contre les Japonais, des erreurs de positionnement et des insuffisances dans les duels aériens vont la caractériser.
Le milieu
C’est le compartiment qui a reçu du renfort. Trois nouveaux joueurs qui n’auront finalement pas comblé les attentes. Le cas de Achille Emana en est le parfait exemple. Repositionné à son poste de prédilection, le sociétaire du Betis Sévile a une prestation en demi teinte. Lent et moins percutant, il n’a pas été décisif au bon moment, ne prenant parfois pas ses responsabilités au moment de faire la différence face au gardien. Il s’en voudra certainement parce qu’à plusieurs reprises, il avait la balle du break dans ses jambes.
Sur le côté droit, Geremi a livré un match moyen, avec une tendance à vouloir construire le jeu à partir de l’aile.
Jean II Makoun connaitra une mauvaise fortune en secondant Assou-Ekotto porté vers l’attaque. Le Lyonnais restera impuissant contre Dennis Rommedhal.
Pour son retour dans le onze de départ Alexandre Song a évité le pire en sauvant une grosse bourde qu’il a commise au milieu de terrain. Son départ a été lent, mais il rentrait dans le match au fil des minutes.
Eyong Enoh a connu un deuxième match épouvantail. S’il est connu comme un joueur qui provoque l’adversaire, il aura plus brillé par ses absences et ses pertes de balles à répétition. Un match à oublier pour le sociétaire de l’Ajax d’Amsterdam.
L’attaque
Pour son association avec Achille Webo à la pointe de l’attaque, Samuel Eto’o Fils a fait parler ses qualités de grand attaquant. C’est lui qui sera d’ailleurs à la conclusion d’une très belle passe de Achille Webo. C’était avant que Webo ne disparaisse complètement du jeu pour réapparaitre dans un face à face perdu contre le gardien danois.
Aboubakar Vincent a percuté dès son entrée, mettant à mal la défense adverse. il a osé, et sa fraîcheur aura aidé.
Idrissou n’a pas vraiment eu l’impact attendu. Trop excentré à gauche, ses centres approximatifs et sa pauvreté technique n’ont pas aidé
Hamed Konin, envoyé spécial à Prétoria