Auteur du premier but ivoirien dans ce Mondial sud-africain, Didier Drogba était impuissant, dimanche, face au Brésil. Prochain match pour Drogba et ses coéquipiers, vendredi (14h gmt) contre la Corée du Nord.
Après un nul vierge obtenu face au Portugal (0-0) et une défaite concédée devant le Brésil (1-3), les Eléphants sont au bord de l’élimination. Une situation désolante après les espoirs suscités au terme de leur première sortie plus qu’honorable contre les Portugais. Le capitaine des Eléphants refait le match de dimanche soldé par la défaite contre le Brésil. Pour Drogba, le second but brésilien a définitivement scellé le sort de la rencontre. «Je pense qu’à 1-0 nous avions encore une chance de revenir au score. A 2-0, nous étions obligés de nous découvrir et de laisser des espaces, ce dont les Brésiliens ont su parfaitement profiter. A partir de ce moment, c’est devenu trop dur pour nous. C’est dommage...» D’autant plus dommage que ce deuxième but de Luis Fabiano était entaché de deux mains évidentes. «C’est vrai...». Le capitaine des Eléphants estimerait-il que le Brésil a été favorisé en raison de son statut de grande nation ? « Non. D’ailleurs, je ne préfère pas rentrer dans ce débat, a-t-il répondu prudemment avant de concéder : Mais, bon, ça fait quand-même mal. Ça oui !». A 32 ans, le buteur de Chelsea dispute (certainement) son dernier Mondial. Et pour ses dernières foulées sur la scène internationale, il aurait souhaité aller loin. Très loin. Dommage !
Guy-Florentin Yaméogo
Après un nul vierge obtenu face au Portugal (0-0) et une défaite concédée devant le Brésil (1-3), les Eléphants sont au bord de l’élimination. Une situation désolante après les espoirs suscités au terme de leur première sortie plus qu’honorable contre les Portugais. Le capitaine des Eléphants refait le match de dimanche soldé par la défaite contre le Brésil. Pour Drogba, le second but brésilien a définitivement scellé le sort de la rencontre. «Je pense qu’à 1-0 nous avions encore une chance de revenir au score. A 2-0, nous étions obligés de nous découvrir et de laisser des espaces, ce dont les Brésiliens ont su parfaitement profiter. A partir de ce moment, c’est devenu trop dur pour nous. C’est dommage...» D’autant plus dommage que ce deuxième but de Luis Fabiano était entaché de deux mains évidentes. «C’est vrai...». Le capitaine des Eléphants estimerait-il que le Brésil a été favorisé en raison de son statut de grande nation ? « Non. D’ailleurs, je ne préfère pas rentrer dans ce débat, a-t-il répondu prudemment avant de concéder : Mais, bon, ça fait quand-même mal. Ça oui !». A 32 ans, le buteur de Chelsea dispute (certainement) son dernier Mondial. Et pour ses dernières foulées sur la scène internationale, il aurait souhaité aller loin. Très loin. Dommage !
Guy-Florentin Yaméogo