La Coupe du Monde 2010, s’est limitée qu’aux trois matches de poule pour les Eléphants de Côte d’Ivoire. De retour au bercail, le président de la Fédération Ivoirienne de Football, Jacques Anouma en compagnie du staff technique et des joueurs, a dressé le bilan sportif hier.
“Je suis un peu triste. Mais les Eléphants se sont battus comme nous l’avions souhaité après l’épisode de Cabinda. Il faut garder le cap et consolider les acquis. Il y a de nombreux challenge à venir. Nous avons abordé le Mondial sans complexe. Ce sont des moments inoubliables et nous sommes obligés chaque 4 ans d’être au Mondial. Il ne faut pas tous détruire mais beaucoup reste à faire. Nous exprimons notre gratitude au président de la République, au Premier ministre, au peuple de Côte d’Ivoire et aux chefs de partis politiques. Merci a tous nos sponsors et autres partenaires. Notre reconnaissance à Eriksson pour le travail abattu en si peu de temps. La fédération est satisfaite de son travail. Félicitations au membres du Comité Exécutif » voilà la quintessence des propos liminaires du président de la Fif lors de ce mini-bilan au plan purement sportif de la participation des Eléphants au Mondial 2010, en Afrique du Sud. Si une préoccupation a nourri la curiosité des journalistes, c’est bien l’avenir de Sven Göran Eriksson, à la tête du staff technique des Eléphants. Le bail d’Eriksson avec l’équipe nationale de Côte d’Ivoire a atteint son point d’achèvement. Là où plusieurs nourrissent des regrets, le sélectionneur suédois est fier de ses poulains qui ont offert du beau jeu au public sud-africain. S’agissant d’une probable prolongation de contrat, Sven a affirmé qu’il a rempli sa mission pour l’instant. En presque 80 jours à la tête des Eléphants, Eriksson ne rougit pas de son orchestration des Eléphants de Côte d’Ivoire. Au lieu de pleurnicher, l’ex-patron du banc de l’Angleterre s’est dit satisfait de la prestation de ses poulains. «Je suis très content de mon équipe qui a produit du jeu et qui termine par une victoire claire». C’est vrai que les Eléphants avaient la possibilité de se qualifier mais il faut aussi reconnaître que, «nous étions dans un groupe G très difficile avec de grosses machines de football. On aurait pu faire mieux en prenant plus de risque lors de nos précédentes rencontres face au Portugal et au Brésil. Mais ce groupe a un gros potentiel et il va continuer de progresser», a affirmé avec espoir Sven Gorän Eriksson. Un optimiste regard qui ne veut pas encore dire que Sven, dont le bail se termine dès à présent, restera à la tête des Eléphants. En tout cas la Fif et le technicien Suédois entendent échanger autour d’une table en se fixant de nouveaux objectifs à atteindre d’autant plus que trois compétitions, à savoir la Can 2012, 2013 et le Mondial 2014 pointent déjà le nez.
François NGORAN
“Je suis un peu triste. Mais les Eléphants se sont battus comme nous l’avions souhaité après l’épisode de Cabinda. Il faut garder le cap et consolider les acquis. Il y a de nombreux challenge à venir. Nous avons abordé le Mondial sans complexe. Ce sont des moments inoubliables et nous sommes obligés chaque 4 ans d’être au Mondial. Il ne faut pas tous détruire mais beaucoup reste à faire. Nous exprimons notre gratitude au président de la République, au Premier ministre, au peuple de Côte d’Ivoire et aux chefs de partis politiques. Merci a tous nos sponsors et autres partenaires. Notre reconnaissance à Eriksson pour le travail abattu en si peu de temps. La fédération est satisfaite de son travail. Félicitations au membres du Comité Exécutif » voilà la quintessence des propos liminaires du président de la Fif lors de ce mini-bilan au plan purement sportif de la participation des Eléphants au Mondial 2010, en Afrique du Sud. Si une préoccupation a nourri la curiosité des journalistes, c’est bien l’avenir de Sven Göran Eriksson, à la tête du staff technique des Eléphants. Le bail d’Eriksson avec l’équipe nationale de Côte d’Ivoire a atteint son point d’achèvement. Là où plusieurs nourrissent des regrets, le sélectionneur suédois est fier de ses poulains qui ont offert du beau jeu au public sud-africain. S’agissant d’une probable prolongation de contrat, Sven a affirmé qu’il a rempli sa mission pour l’instant. En presque 80 jours à la tête des Eléphants, Eriksson ne rougit pas de son orchestration des Eléphants de Côte d’Ivoire. Au lieu de pleurnicher, l’ex-patron du banc de l’Angleterre s’est dit satisfait de la prestation de ses poulains. «Je suis très content de mon équipe qui a produit du jeu et qui termine par une victoire claire». C’est vrai que les Eléphants avaient la possibilité de se qualifier mais il faut aussi reconnaître que, «nous étions dans un groupe G très difficile avec de grosses machines de football. On aurait pu faire mieux en prenant plus de risque lors de nos précédentes rencontres face au Portugal et au Brésil. Mais ce groupe a un gros potentiel et il va continuer de progresser», a affirmé avec espoir Sven Gorän Eriksson. Un optimiste regard qui ne veut pas encore dire que Sven, dont le bail se termine dès à présent, restera à la tête des Eléphants. En tout cas la Fif et le technicien Suédois entendent échanger autour d’une table en se fixant de nouveaux objectifs à atteindre d’autant plus que trois compétitions, à savoir la Can 2012, 2013 et le Mondial 2014 pointent déjà le nez.
François NGORAN