Depuis toujours, la FIFA fait très attention à ce que le politique n'influe pas sur le sportif et à ce que le football reste loin de ces considérations. La réception de Thierry Henry par Nicolas Sarkozy, le Ministère de la Jeunesse et des Sports terriblement présent sur le front médiatique suite à la débâcle bleue au Mondial... Tout cela entraîne la méfiance des instances dirigeantes du football mondial. «S'il y a ingérence politique dans les affaires de la Fédération française de football, on réagira, comme on le ferait dans n'importe quel pays», a affirmé, samedi, le secrétaire général de la Fédération internationale de football, Jérôme Valcke. Ce dernier a bien rappelé que «le pouvoir politique ne peut exiger la démission d'un dirigeant de football»
Coulisses Publié le lundi 28 juin 2010 | Nord-Sud