Où vont-ils ? Que veulent-ils ? Pourquoi et pour le compte de qui s`agitent-ils tant ces derniers temps ? Qu`est-ce qui explique, au fond, ces articles au vitriol suscités contre le président Bédié ? Le Pdci n`est pas en crise mais…
Au moment où, en rangs serrés, les Ivoiriens bataillent, poings fermés, pour arracher des élections à Gbagbo Laurent, des individus encore tapis dans l`obscurité de la caverne tirent des boules de feu dans les pattes du Pdci-Rda. On tente, par tous les moyens, de détourner l`attention des militants vers un objectif autre que les élections et la sortie de crise. Au mépris des règles qui régissent le parti, ils exigent la tête du président Bédié. Un congrès ici et maintenant. Les seconds couteaux pour ne parler de "petits couteaux" qui, jusque-là, allument les mèches, ne veulent qu`une et une seule chose : trancher la tête de M. Bédié. Et certainement installer celui qui est à la base de tout ce remue-ménage. Oubliant que le Pdci-Rda est un parti organisé, structuré qui fonctionne selon des textes acceptés par tous. Des individus se sont, en effet, laissé convaincre que le départ de Bédié de la tête du Pdci-Rda leur ouvrira les portes du paradis. Que le Pdci entier n`attend que Bédié se retire pour les consacrer comme candidat et président du parti. Il faut donc le secouer, le contraindre à la démission, le pousser vers la porte de sortie en le traînant dans la boue, en manipulant des jeunes gens pour le dénigrer, bref créer une ambiance délétère, faire croire que le consensus autour du président du Pdci est rompu et que plus que jamais, le candidat le plus sûr pour remporter la prochaine élection présidentielle doit quitter la scène politique.
De la nécessité d`un congrès
Faut-il le rappeler à ceux dont les ambitions personnelles ont totalement pris en tenaille leur mémoire que le Bureau politique du Pdci-Rda, l`unique instance habilitée, entre deux congrès, à convoquer un congrès du Pdci, s`était réuni le 28 juin 2007 au siège du Pdci à Cocody. Au cours de cette rencontre qui a battu le record de mobilisation des honorables membres de cette instance, la question avait été posée de savoir si oui ou non il fallait aller à un congrès, le mandat renouvelé à Bédié en 2002 venant à expiration. A l`unanimité et par acclamations, le Bureau politique avait jugé inopportun un tel congrès compte tenu des enjeux électoraux nationaux et décidé du maintien des instances actuelles jusqu`après toutes les élections générales. C`est ainsi que l`on a maintenu le président Bédié à la tête du Pdci, de même que les présidents de la Jpdci et de l`Ufpdci. Le Bureau politique et les autres instances restent donc en place. M. Bédié ne s`est donc pas maintenu à la tête du Pdci contre le gré de ses militants. En outre, pour se faire investir candidat du Pdci, Bédié est passé par le feu des élections. En effet, compte tenu des murmures de candidatures qui fusaient, le Pdci-Rda avait décidé de faire un appel à candidatures pour la présidentielle. Cela a duré un mois. Pour éviter toutes contestations ultérieures, les conditions de candidature à l`investiture avaient même été allégées. On a noté, Bédié a été plébiscité. Et il avait été dit qu`il demeurait le candidat jusqu`à la prochaine présidentielle. D`où vient-il qu`aujourd`hui, l`on tente de remettre en cause tout cela ? Le plus ahurissant, c`est que le débat ne se déroule pas dans le cadre du parti mais à l`extérieur. On insulte, on dénigre par voie de presse. Un journal, dont l`un des responsables, Guy Pierre Nouama, est membre du Secrétariat général du Pdci, s`illustre de façon très particulière dans les attaques contre M. Bédié. A quelle fin ? Chaque jour, le Pdci et Bédié sont dans la ligne de mire. Des confrères travaillant dans ce journal avaient même demandé à la rédaction de “Le Nouveau Réveil” de réagir à leurs écrits pour alimenter la polémique et leur "faire de la publicité". Ce que nous avons refusé.
Le Pdci est un parti de dialogue, discipliné et organisé. Où le désordre ne prospère pas. Face à cette vague d`agitation, des dignitaires du parti refusent de se prononcer mais cela ne veut pas dire qu`ils n`ont rien à dire. Qu`a fait le président Bédié pour mériter ce traitement de choc, venant de personnes qui prétendent servir le Pdci ? A qui servent le désordre et la calomnie ? Sont-ils convaincus que leur salut passe par l`humiliation du chef ? Quel Pdci veut-on conquérir en agissant de la sorte ? Sont-ils sûrs que si M. Bédié s`en va, le Pdci tombera dans leur besace ? Pour l`heure, le Secrétaire général du Pdci a décidé de prendre le taureau par les cornes. Djédjé Mady a décidé de battre le rappel des troupes. Une série de rencontres avec la Jpdci, l`Ufpdci, les délégués départementaux et communaux, les élus, les membres du Grand Conseil qui devraient déboucher sur un Bureau politique pour remettre les pendules à l`heure. Honnêtement, le Pdci n`avait pas besoin de cela.
Akwaba Saint-Clair
Au moment où, en rangs serrés, les Ivoiriens bataillent, poings fermés, pour arracher des élections à Gbagbo Laurent, des individus encore tapis dans l`obscurité de la caverne tirent des boules de feu dans les pattes du Pdci-Rda. On tente, par tous les moyens, de détourner l`attention des militants vers un objectif autre que les élections et la sortie de crise. Au mépris des règles qui régissent le parti, ils exigent la tête du président Bédié. Un congrès ici et maintenant. Les seconds couteaux pour ne parler de "petits couteaux" qui, jusque-là, allument les mèches, ne veulent qu`une et une seule chose : trancher la tête de M. Bédié. Et certainement installer celui qui est à la base de tout ce remue-ménage. Oubliant que le Pdci-Rda est un parti organisé, structuré qui fonctionne selon des textes acceptés par tous. Des individus se sont, en effet, laissé convaincre que le départ de Bédié de la tête du Pdci-Rda leur ouvrira les portes du paradis. Que le Pdci entier n`attend que Bédié se retire pour les consacrer comme candidat et président du parti. Il faut donc le secouer, le contraindre à la démission, le pousser vers la porte de sortie en le traînant dans la boue, en manipulant des jeunes gens pour le dénigrer, bref créer une ambiance délétère, faire croire que le consensus autour du président du Pdci est rompu et que plus que jamais, le candidat le plus sûr pour remporter la prochaine élection présidentielle doit quitter la scène politique.
De la nécessité d`un congrès
Faut-il le rappeler à ceux dont les ambitions personnelles ont totalement pris en tenaille leur mémoire que le Bureau politique du Pdci-Rda, l`unique instance habilitée, entre deux congrès, à convoquer un congrès du Pdci, s`était réuni le 28 juin 2007 au siège du Pdci à Cocody. Au cours de cette rencontre qui a battu le record de mobilisation des honorables membres de cette instance, la question avait été posée de savoir si oui ou non il fallait aller à un congrès, le mandat renouvelé à Bédié en 2002 venant à expiration. A l`unanimité et par acclamations, le Bureau politique avait jugé inopportun un tel congrès compte tenu des enjeux électoraux nationaux et décidé du maintien des instances actuelles jusqu`après toutes les élections générales. C`est ainsi que l`on a maintenu le président Bédié à la tête du Pdci, de même que les présidents de la Jpdci et de l`Ufpdci. Le Bureau politique et les autres instances restent donc en place. M. Bédié ne s`est donc pas maintenu à la tête du Pdci contre le gré de ses militants. En outre, pour se faire investir candidat du Pdci, Bédié est passé par le feu des élections. En effet, compte tenu des murmures de candidatures qui fusaient, le Pdci-Rda avait décidé de faire un appel à candidatures pour la présidentielle. Cela a duré un mois. Pour éviter toutes contestations ultérieures, les conditions de candidature à l`investiture avaient même été allégées. On a noté, Bédié a été plébiscité. Et il avait été dit qu`il demeurait le candidat jusqu`à la prochaine présidentielle. D`où vient-il qu`aujourd`hui, l`on tente de remettre en cause tout cela ? Le plus ahurissant, c`est que le débat ne se déroule pas dans le cadre du parti mais à l`extérieur. On insulte, on dénigre par voie de presse. Un journal, dont l`un des responsables, Guy Pierre Nouama, est membre du Secrétariat général du Pdci, s`illustre de façon très particulière dans les attaques contre M. Bédié. A quelle fin ? Chaque jour, le Pdci et Bédié sont dans la ligne de mire. Des confrères travaillant dans ce journal avaient même demandé à la rédaction de “Le Nouveau Réveil” de réagir à leurs écrits pour alimenter la polémique et leur "faire de la publicité". Ce que nous avons refusé.
Le Pdci est un parti de dialogue, discipliné et organisé. Où le désordre ne prospère pas. Face à cette vague d`agitation, des dignitaires du parti refusent de se prononcer mais cela ne veut pas dire qu`ils n`ont rien à dire. Qu`a fait le président Bédié pour mériter ce traitement de choc, venant de personnes qui prétendent servir le Pdci ? A qui servent le désordre et la calomnie ? Sont-ils convaincus que leur salut passe par l`humiliation du chef ? Quel Pdci veut-on conquérir en agissant de la sorte ? Sont-ils sûrs que si M. Bédié s`en va, le Pdci tombera dans leur besace ? Pour l`heure, le Secrétaire général du Pdci a décidé de prendre le taureau par les cornes. Djédjé Mady a décidé de battre le rappel des troupes. Une série de rencontres avec la Jpdci, l`Ufpdci, les délégués départementaux et communaux, les élus, les membres du Grand Conseil qui devraient déboucher sur un Bureau politique pour remettre les pendules à l`heure. Honnêtement, le Pdci n`avait pas besoin de cela.
Akwaba Saint-Clair
