Incontestablement, il fut le meilleur Ivoirien au cours de la Coupe du monde 2010. Tioté Cheick Ismaël a définitivement pris des galons au cœur du jeu des Eléphants.
Vous avez réussi votre Coupe du monde, quelles analyses faites-vous de votre première participation à cette épreuve ?
Le plus important était de gagner. Je suis un peu déçu car nous n’avons pas pu nous qualifier. Nous avons tout perdu face au Brésil. Si on avait gagné ce match, on se serait qualifié. Mais c’est aussi cela le football.
Avant le coup d’envoi du mondial, avez-vous pensé que c’était possible de sortir gagnant de ce groupe?
C’était possible de faire quelque chose. Nous avons essayé, mais ce n’est pas arrivé. Nous allons continuer à travailler.
Pour une première participation, vous n’étiez pas complexé. Quelle a été votre force ?
C’est le football. Lorsque vous avez quelque chose dans le pied, il faut le démontrer au cours d’une grande compétition comme la Coupe du monde. Je n’ai pas eu de pression. J’ai joué et j’ai montré ce que je connaissais. Je remercie le bon Dieu pour cela.
Entretien réalisé par Choilio Diomandé, envoyé spécial à Johannesburg
Vous avez réussi votre Coupe du monde, quelles analyses faites-vous de votre première participation à cette épreuve ?
Le plus important était de gagner. Je suis un peu déçu car nous n’avons pas pu nous qualifier. Nous avons tout perdu face au Brésil. Si on avait gagné ce match, on se serait qualifié. Mais c’est aussi cela le football.
Avant le coup d’envoi du mondial, avez-vous pensé que c’était possible de sortir gagnant de ce groupe?
C’était possible de faire quelque chose. Nous avons essayé, mais ce n’est pas arrivé. Nous allons continuer à travailler.
Pour une première participation, vous n’étiez pas complexé. Quelle a été votre force ?
C’est le football. Lorsque vous avez quelque chose dans le pied, il faut le démontrer au cours d’une grande compétition comme la Coupe du monde. Je n’ai pas eu de pression. J’ai joué et j’ai montré ce que je connaissais. Je remercie le bon Dieu pour cela.
Entretien réalisé par Choilio Diomandé, envoyé spécial à Johannesburg