La Côte d’Ivoire veut s’insérer harmonieusement dans le Programme communautaire de développement (Pcd) de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest (Cedeao). Pour ce faire, un atelier de validation de l’étude nationale du Pcd s’est tenu à Abidjan, les 30 juin et 1er juillet derniers. Il s’est agi de créer une synergie entre la vision de développement à l’échelle communautaire et les préoccupations nationales. Techniquement, les participants ont tenté de traduire en actions à mener la « vision 2020 » des Chefs d’État et de gouvernement de la Cedeao. Vision qui consiste, selon eux, à passer de la Cedeao des États à celle des peuples.
Ce programme vise à renforcer l’intégration régionale et booster le développement économique et social des États membres en se proposant de prendre en compte les aspirations profondes des populations.
Le séminaire d’Abidjan s’est donc attelé à décliner les axes d’orientation définis par l’organisation sous-régionale, sur le plan local. Il a été question, entre autres, de l’élaboration d’une politique agricole et industrielle commune. L’objectif étant de parvenir à une souveraineté alimentaire dans la sous-région et d’impulser une industrialisation commune harmonisée.
Donc tenant compte des spécificités et de la complémentarité des économies de l’espace Cedeao. Une politique industrielle réussie doit se prolonger forcément par une interconnexion efficiente des infrastructures de transport et des technologies de l’information et de la communication. A cela s’ajoute la mise en réseau des circuits énergétiques et hydrauliques. L’intégration financière n’est pas en reste.
Ici, la préoccupation est d’assainir et de revitaliser le système financier. A terme, la Cedeao veut pouvoir mettre en place une monnaie unique ouest-africaine. Les hommes étant la première ressource, le Pcd met l’accent sur leur qualité, par la mise en cohérence d’une politique régionale de santé appuyée par un système d’éducation intégré. Toutes ces politiques de regroupement auront pour socle une intégration parfaite des populations. Cela pourrait conduire à une identité communautaire.
Adama Koné
Ce programme vise à renforcer l’intégration régionale et booster le développement économique et social des États membres en se proposant de prendre en compte les aspirations profondes des populations.
Le séminaire d’Abidjan s’est donc attelé à décliner les axes d’orientation définis par l’organisation sous-régionale, sur le plan local. Il a été question, entre autres, de l’élaboration d’une politique agricole et industrielle commune. L’objectif étant de parvenir à une souveraineté alimentaire dans la sous-région et d’impulser une industrialisation commune harmonisée.
Donc tenant compte des spécificités et de la complémentarité des économies de l’espace Cedeao. Une politique industrielle réussie doit se prolonger forcément par une interconnexion efficiente des infrastructures de transport et des technologies de l’information et de la communication. A cela s’ajoute la mise en réseau des circuits énergétiques et hydrauliques. L’intégration financière n’est pas en reste.
Ici, la préoccupation est d’assainir et de revitaliser le système financier. A terme, la Cedeao veut pouvoir mettre en place une monnaie unique ouest-africaine. Les hommes étant la première ressource, le Pcd met l’accent sur leur qualité, par la mise en cohérence d’une politique régionale de santé appuyée par un système d’éducation intégré. Toutes ces politiques de regroupement auront pour socle une intégration parfaite des populations. Cela pourrait conduire à une identité communautaire.
Adama Koné