Cette question pertinente revient chaque fois. Mais personne n'ose prendre le taureau par les cornes et trouver des solutions durables et définitives à l'épineuse problématique de la fraude et de tricherie à l'école et aux examens scolaires. La vérité, c'est que la machine est grippée. Tout le monde est dans le coup. Comme on le dit à Abidjan, "tout le monde mange dedans".
Chacun à son niveau, contribue à maintenir la fraude. Plutôt que de remplir leurs tâches avec responsabilité et honnêteté comme le leur demande chaque fois le ministre de l'Education nationale, les enseignants commis pour les épreuves orales, à la surveillance pendant les épreuves écrites, à la correction des copies et même à la réclamation après les résultats, choisissent eux de s'en mettre plein les poches. La période des examens à grand tirage est devenue pour eux, une traite. Ils multiplient les techniques de fraude pour éviter les stratégies de lutte mises en place par le ministère. Personne ne se soucie du devenir de ces enfants à qui on délivre des parchemins contre espèces sonnantes et trébuchantes. Ces pratiques ont fait perdre aujourd'hui, leur crédibilité aux diplômes ivoiriens. Ils sont nombreux ces élèves qui ont évolué dans cet environnement de fraude et de tricherie. L'heure de vérité arrive pour eux quand ces élèves habitués à la tricherie et à la fraude sont appelés à faire des 'études à l'étranger. Vu leur niveau très faible, c'est très souvent qu'ils sont ramenés à des classes inférieures pour apprendre ce qu'ils croyaient connaître mais qu'ils n'ont jamais appris en réalité. Pour ceux de ces élèves adeptes de la facilité qui parviennent à des postes de responsabilité dans l'administration au niveau du pays, leurs lacunes et leur incompétence transparaissent tout de suite. Cette année encore, des fraudeurs ont été pris en flagrant délit. Le ministre Gilbert Bleu- Lainé a vraiment du pain
Chacun à son niveau, contribue à maintenir la fraude. Plutôt que de remplir leurs tâches avec responsabilité et honnêteté comme le leur demande chaque fois le ministre de l'Education nationale, les enseignants commis pour les épreuves orales, à la surveillance pendant les épreuves écrites, à la correction des copies et même à la réclamation après les résultats, choisissent eux de s'en mettre plein les poches. La période des examens à grand tirage est devenue pour eux, une traite. Ils multiplient les techniques de fraude pour éviter les stratégies de lutte mises en place par le ministère. Personne ne se soucie du devenir de ces enfants à qui on délivre des parchemins contre espèces sonnantes et trébuchantes. Ces pratiques ont fait perdre aujourd'hui, leur crédibilité aux diplômes ivoiriens. Ils sont nombreux ces élèves qui ont évolué dans cet environnement de fraude et de tricherie. L'heure de vérité arrive pour eux quand ces élèves habitués à la tricherie et à la fraude sont appelés à faire des 'études à l'étranger. Vu leur niveau très faible, c'est très souvent qu'ils sont ramenés à des classes inférieures pour apprendre ce qu'ils croyaient connaître mais qu'ils n'ont jamais appris en réalité. Pour ceux de ces élèves adeptes de la facilité qui parviennent à des postes de responsabilité dans l'administration au niveau du pays, leurs lacunes et leur incompétence transparaissent tout de suite. Cette année encore, des fraudeurs ont été pris en flagrant délit. Le ministre Gilbert Bleu- Lainé a vraiment du pain
