Le syndrome d’apnée du sommeil, le SAS, multiplie par deux le risque d’accident vasculaire cérébral, l’AVC. Et selon une étude américaine, les hommes seraient plus particulièrement concernés.
Première originalité de ce travail, l’importance de la cohorte étudiée : plus de 5 400 femmes et hommes de 40 ans et plus, tous non-fumeurs. Ce point est important, le tabagisme étant un cofacteur de risque important tout à la fois du syndrome d’apnée du sommeil… et de l’AVC.
Pourquoi les hommes souffrant d’un SAS seraient-ils plus concernés pas le risque d’accident vasculaire cérébral ? Parce que selon les auteurs, ils développent la maladie plus précocement que les femmes. Et toujours par rapport à ces dernières, ils attendent davantage pour se traiter….
A noter : le risque augmente avec la gravité du trouble. Les hommes souffrant d’apnée du sommeil sévère ont en effet, un risque d’AVC trois fois plus élevé que les autres. ,
www.destinationsante.com
Première originalité de ce travail, l’importance de la cohorte étudiée : plus de 5 400 femmes et hommes de 40 ans et plus, tous non-fumeurs. Ce point est important, le tabagisme étant un cofacteur de risque important tout à la fois du syndrome d’apnée du sommeil… et de l’AVC.
Pourquoi les hommes souffrant d’un SAS seraient-ils plus concernés pas le risque d’accident vasculaire cérébral ? Parce que selon les auteurs, ils développent la maladie plus précocement que les femmes. Et toujours par rapport à ces dernières, ils attendent davantage pour se traiter….
A noter : le risque augmente avec la gravité du trouble. Les hommes souffrant d’apnée du sommeil sévère ont en effet, un risque d’AVC trois fois plus élevé que les autres. ,
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