Le ministre Emile Guiriéoulou a installé, hier, les nouveaux dirigeants de l'Ecole nationale de l'administration (Ena). Il leur a demandé de redorer le blason terni de cette école.
Emile Guiriéoulou, le ministre de la Fonction publique et de l'emploi, a officiellement installé, hier, les nouveaux dirigeants de l'Ecole nationale de l'administration (Ena) nommés le 3 juin. Il s'agit de Mme Yapo Evelyne, directeur général de l'Ena, Oulaï Déazi André, le nouveau secrétaire général de cette institution. A côté d'eux, il y a également eu l'installation officielle de Traoré Salamata, reconduite dans ses fonctions de directeur de l'Ecole de gestion administrative et de la diplomatie, Palé Olo Sib, administrateur des services financiers et Ackah Miézan également administrateur des services financiers. «Malgré tous les succès, les critiques fondées ou non, se font entendre sur le mode de recrutement à l'Ena», a indiqué le ministre. Pour lui, il faut corriger cette mauvaise image de l'école. Elle doit être un lieu de référence. « Des changements étaient nécessaires », a-t-il expliqué. Après avoir remis à chacun sa feuille de route, le ministre a indiqué à la nouvelle équipe dirigeante de l'Ena qu'il est à leur disposition.
Raphaël Tanoh
Emile Guiriéoulou, le ministre de la Fonction publique et de l'emploi, a officiellement installé, hier, les nouveaux dirigeants de l'Ecole nationale de l'administration (Ena) nommés le 3 juin. Il s'agit de Mme Yapo Evelyne, directeur général de l'Ena, Oulaï Déazi André, le nouveau secrétaire général de cette institution. A côté d'eux, il y a également eu l'installation officielle de Traoré Salamata, reconduite dans ses fonctions de directeur de l'Ecole de gestion administrative et de la diplomatie, Palé Olo Sib, administrateur des services financiers et Ackah Miézan également administrateur des services financiers. «Malgré tous les succès, les critiques fondées ou non, se font entendre sur le mode de recrutement à l'Ena», a indiqué le ministre. Pour lui, il faut corriger cette mauvaise image de l'école. Elle doit être un lieu de référence. « Des changements étaient nécessaires », a-t-il expliqué. Après avoir remis à chacun sa feuille de route, le ministre a indiqué à la nouvelle équipe dirigeante de l'Ena qu'il est à leur disposition.
Raphaël Tanoh