Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M .Cissé Bacongo, a ouvert mardi dernier au Palais de la culture, en collaboration avec le ministère de l’Industrie et de la Promotion du secteur privé, la 3ème édition de la semaine de la promotion de la recherche ivoirienne (Sepri). Sous le thème « La recherche scientifique et l’innovation technologique au service de l’entrepreneuriat ». Cette semaine, au dire du ministre Cissé Bacongo, se veut une plate forme de rencontres et d’échanges entre le secteur privé et l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Selon lui, il s’agira, au cours de cette semaine, de se faire mieux connaître afin d’amener la recherche au cœur du développement.
En effet, indique le ministre Cissé, la recherche scientifique a des difficultés de financement, avec 0,05 % du budget octroyé par le gouvernement. Alors que, révèle-t-il, les accords de Lagos ont souligné que chaque pays doit accorder 1% de son Pib à la recherche. Et c’est fort de cela que le ministère a été contraint de chercher des appuis extérieurs.
Ainsi, la Suisse a octroyé 5 milliards de F CFA, qui serviront à la mise en place du Fonds national pour la recherche scientifique. Marcel Zadi Kessi, président du conseil d’administration du groupe Cie-Sodeci, se prononçant sur le thème, a soutenu que la recherche demeure le moteur du développement à l’échelle d’un pays ou d’une société au niveau humain, industriel, économique et social.
Avant d’ajouter qu’elle « est une arme de compétitivité qui vous place au centre de la décision et de la production ». Pr Sidibé Valy, directeur général de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, a pour sa part fait savoir qu’elle est incontournable pour alimenter la croissance économique et sociale de la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, « il est important de doter nos universités et centres de recherche d’un capital consistant », a-t-il prôné.
Il a invité les entreprises à s’engager dans la voie de la collaboration avec les chercheurs. Car « aucune recherche ne vaut sans application sur le terrain » a-t-il dit. La semaine prend fin aujourd’hui.
Grâce Ouattara
En effet, indique le ministre Cissé, la recherche scientifique a des difficultés de financement, avec 0,05 % du budget octroyé par le gouvernement. Alors que, révèle-t-il, les accords de Lagos ont souligné que chaque pays doit accorder 1% de son Pib à la recherche. Et c’est fort de cela que le ministère a été contraint de chercher des appuis extérieurs.
Ainsi, la Suisse a octroyé 5 milliards de F CFA, qui serviront à la mise en place du Fonds national pour la recherche scientifique. Marcel Zadi Kessi, président du conseil d’administration du groupe Cie-Sodeci, se prononçant sur le thème, a soutenu que la recherche demeure le moteur du développement à l’échelle d’un pays ou d’une société au niveau humain, industriel, économique et social.
Avant d’ajouter qu’elle « est une arme de compétitivité qui vous place au centre de la décision et de la production ». Pr Sidibé Valy, directeur général de la Recherche scientifique et de l’Innovation technologique, a pour sa part fait savoir qu’elle est incontournable pour alimenter la croissance économique et sociale de la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, « il est important de doter nos universités et centres de recherche d’un capital consistant », a-t-il prôné.
Il a invité les entreprises à s’engager dans la voie de la collaboration avec les chercheurs. Car « aucune recherche ne vaut sans application sur le terrain » a-t-il dit. La semaine prend fin aujourd’hui.
Grâce Ouattara