Le 3ème cours international de neurologie s’est ouvert mercredi à l’hôtel du Golf. A l’initiative de la Société ivoirienne de neurologie (Sin), en collaboration avec la Fédération mondiale de neurologie et la Fédération européenne des sociétés de neurologie, il vise à « améliorer les connaissances des neurologues de la sous-région sur les maladies du cerveau et les démences », selon la présidente du comité d’organisation, Pr Sonan Douayoua Thérèse, par ailleurs présidente de la Sin.
En effet, de plus en plus connues sous nos cieux, les maladies neurologiques constituent la première cause de consultation dans les hôpitaux, au dire du Pr Akani Ayé François, du service de neurologie du Chu de Cocody, par ailleurs président de l’Association de lutte contre l’épilepsie (Aile).
D’éminents neurologues enseignants venant de Suisse, d’Australie, de Grand-Bretagne, Belgique, de la Grèce, de la France, des Etats-Unis et de la Côte d’Ivoire sont ainsi chargés de dispenser des cours théoriques et pratiques à des neurologues de la sous-région, en formation.
La neurologie est une discipline de la médecine qui traite des affections du système nerveux, du cerveau, de la moelle, des nerfs, des muscles. Ces affections se manifestent généralement par les méningites, les comas, les épilepsies, les paralysies, les sciatiques, les troubles de la mémoire, de la concentration et le manque de sommeil, explique le Pr Akani. Toujours à en croire le spécialiste, les infections, les bactéries, les virus et les champignons, en sont les causes principales.
Quant aux accidents vasculaires cérébraux (Avc), l’un des thèmes du cours, aux côtés des maladies de la démence, ils sont occasionnés par le « couple hypertension-diabète ».
Maladies de mieux en mieux connues, les démences se caractérisent par « une régression de la faculté intellectuelle ». En d’autres termes, le patient perd la mémoire et ne reconnaît plus son entourage, ainsi que les espaces familiers. L’une des formes les plus connues est la maladie de l’Alzheimer, selon les neurologues. Présente au sein de la population vieillissante, elle est de mieux en mieux connue en Côte d’Ivoire.
Le cours vise, par ailleurs, poursuit la présidente de la Société ivoirienne de neurologie, à « attirer l’attention du public sur cette maladie que l’on peut qualifier de problème de santé publique ».
Le cours s’achève aujourd’hui.
La deuxième édition a eu lieu en Ethiopie, après celle de Dakar en 2008.
Marcelline Gneproust
En effet, de plus en plus connues sous nos cieux, les maladies neurologiques constituent la première cause de consultation dans les hôpitaux, au dire du Pr Akani Ayé François, du service de neurologie du Chu de Cocody, par ailleurs président de l’Association de lutte contre l’épilepsie (Aile).
D’éminents neurologues enseignants venant de Suisse, d’Australie, de Grand-Bretagne, Belgique, de la Grèce, de la France, des Etats-Unis et de la Côte d’Ivoire sont ainsi chargés de dispenser des cours théoriques et pratiques à des neurologues de la sous-région, en formation.
La neurologie est une discipline de la médecine qui traite des affections du système nerveux, du cerveau, de la moelle, des nerfs, des muscles. Ces affections se manifestent généralement par les méningites, les comas, les épilepsies, les paralysies, les sciatiques, les troubles de la mémoire, de la concentration et le manque de sommeil, explique le Pr Akani. Toujours à en croire le spécialiste, les infections, les bactéries, les virus et les champignons, en sont les causes principales.
Quant aux accidents vasculaires cérébraux (Avc), l’un des thèmes du cours, aux côtés des maladies de la démence, ils sont occasionnés par le « couple hypertension-diabète ».
Maladies de mieux en mieux connues, les démences se caractérisent par « une régression de la faculté intellectuelle ». En d’autres termes, le patient perd la mémoire et ne reconnaît plus son entourage, ainsi que les espaces familiers. L’une des formes les plus connues est la maladie de l’Alzheimer, selon les neurologues. Présente au sein de la population vieillissante, elle est de mieux en mieux connue en Côte d’Ivoire.
Le cours vise, par ailleurs, poursuit la présidente de la Société ivoirienne de neurologie, à « attirer l’attention du public sur cette maladie que l’on peut qualifier de problème de santé publique ».
Le cours s’achève aujourd’hui.
La deuxième édition a eu lieu en Ethiopie, après celle de Dakar en 2008.
Marcelline Gneproust
